Le projet du Grand Nancy Thermal pose d’énormes interrogations : coût, légalité, procédures, pertinence du projet en termes d’esthétisme, de cohérence environnementale et patrimoniale, d’accessibilité à ce qu’il subsistera du service public…
Mais André Rossinot et son exécutif s’entêtent, ils continuent à marche forcée, ils s’enfoncent, persistent… et signent le contrat de trop !
Ils tentent désespérément de persuader les Grands Nancéiens de l’intérêt de ce projet, en publiant une revue de communication, financée par l’argent public.
… Mais voilà, dans cet univers impitoyable, un petit groupe d’irréductibles citoyens composé de 9 personnes de l’association « le bien commun », de trois élus métropolitains (Annie Lévi-Cyferman, Stéphanie Gruet et Hervé Féron) et d’une élue de Nancy (Françoise Hervé), sont entrés en résistance…
Quelques jours avant de déposer un recours au Tribunal Administratif, ils ont considéré que cette revue était truffée de contre-vérités, d’omissions lourdes de conséquences, d’affirmations non démontrées,… 
Bref, on vous ment !
Ils souhaitent vous présenter un nouvel éclairage et vous ont concocté … 
LA CONTRE-REVUE !