Mois : mars 2019 (Page 3 de 14)
Nous avons créé le Parc Georges Brassens et nous avons réussi à faire en sorte
que les enfants, les familles, les personnes âgées aient tous leur place dans
ce petit havre de Paix, tout en côtoyant la faune et la flore, grâce aux petits
étangs créés, parce que les services municipaux pratiquent la fauche tardive pour
favoriser la biodiversité, parce que nous avons installé des hôtels à insectes,
ou encore des nichoirs à oiseaux… parce que la plupart des habitants qui viennent
s’y promener ou jouer respectent la nature.
On peut donc y trouver des cygnes, des canards, des oiseaux, des grenouilles,
des libellules, des nénuphars, des essences d’arbres variées,… La nature est
venue à la rencontre de la vie urbaine et y a (re)pris toute sa place.
N’oublions pas qu’au bord de la Meurthe, le site où ont lieu nos fêtes populaires,
s’appelle l’Ile aux Oies, parce qu’avant le rescindement de la Meurthe, il y avait une
vraie ile : »l’Ile aux Oies » et parce qu’avant Tomblaine se dénommait « Tomblaine aux
Oyes ».
Les cygnes chaque année quittent le Parc Georges Brassens et la « Grand-mare
des canards » en été, aux moments de canicule, pour rejoindre les bords de Meurthe
et y trouver de la fraicheur.
Il y a deux ans, ils avaient niché dans les roseaux et des petits cygneaux avaient éclos !
Magique !
L’an dernier, ils avaient niché à nouveau, on avait vu des œufs, mais on n’a jamais vu naitre
de petits cygnes. On s’est toujours demandé s’ils n’avaient pas été dérangés…
les cygnes sont revenus dans le Parc Georges Brassens et comme pour nous donner une
leçon, il y a quelques semaines, ils ont niché, dans les roseaux, mais dans un endroit très
reculé. L’intelligence animale leur a peut-être fait prendre ces précautions pour rester à
l’abri des regards des humains ? Et voilà qu’on y a aperçu des œufs !!!
Alors je lance un appel à toutes et à tous ! Mobilisons-nous, soyons vigilants, pour que
ces cygnes ne soient pas importunés, pour qu’on ait le plaisir de voir les premiers pas des
petits cygneaux, ce printemps sur les pelouses du parc Georges Brassens.
Protégeons-les ! Préservons leur quiétude, il y va de notre responsabilité collective. Offrons
aux enfants de Tomblaine la plus belle leçon d’histoire naturelle qu’il soit !
Nous avons créé le Parc Georges Brassens et nous avons réussi à faire en sorte
que les enfants, les familles, les personnes âgées aient tous leur place dans
ce petit havre de Paix, tout en côtoyant la faune et la flore, grâce aux petits
étangs créés, parce que les services municipaux pratiquent la fauche tardive pour
favoriser la biodiversité, parce que nous avons installé des hôtels à insectes,
ou encore des nichoirs à oiseaux… parce que la plupart des habitants qui viennent
s’y promener ou jouer respectent la nature.
On peut donc y trouver des cygnes, des canards, des oiseaux, des grenouilles,
des libellules, des nénuphars, des essences d’arbres variées,… La nature est
venue à la rencontre de la vie urbaine et y a (re)pris toute sa place.
N’oublions pas qu’au bord de la Meurthe, le site où ont lieu nos fêtes populaires,
s’appelle l’Ile aux Oies, parce qu’avant le rescindement de la Meurthe, il y avait une
vraie ile : »l’Ile aux Oies » et parce qu’avant Tomblaine se dénommait « Tomblaine aux
Oyes ».
Les cygnes chaque année quittent le Parc Georges Brassens et la « Grand-mare
des canards » en été, aux moments de canicule, pour rejoindre les bords de Meurthe
et y trouver de la fraicheur.
Il y a deux ans, ils avaient niché dans les roseaux et des petits cygneaux avaient éclos !
Magique !
L’an dernier, ils avaient niché à nouveau, on avait vu des œufs, mais on n’a jamais vu naitre
de petits cygnes. On s’est toujours demandé s’ils n’avaient pas été dérangés…
les cygnes sont revenus dans le Parc Georges Brassens et comme pour nous donner une
leçon, il y a quelques semaines, ils ont niché, dans les roseaux, mais dans un endroit très
reculé. L’intelligence animale leur a peut-être fait prendre ces précautions pour rester à
l’abri des regards des humains ? Et voilà qu’on y a aperçu des œufs !!!
Alors je lance un appel à toutes et à tous ! Mobilisons-nous, soyons vigilants, pour que
ces cygnes ne soient pas importunés, pour qu’on ait le plaisir de voir les premiers pas des
petits cygneaux, ce printemps sur les pelouses du parc Georges Brassens.
Protégeons-les ! Préservons leur quiétude, il y va de notre responsabilité collective. Offrons
aux enfants de Tomblaine la plus belle leçon d’histoire naturelle qu’il soit !
Conseil Municipal marathon hier à Tomblaine qui s’est terminé à 22h30 ! Au programme en particulier le Compte Administratif 2018 et le Budget 2019 de la Commune. Et sur 26 délibérations, tout a été voté à l’unanimité ! Les taux d’imposition n’augmentent pas pour la 16ème année consécutive (quand la Ville de Nancy exceptionnellement n’augmente pas ses taux, cela fait la une dans la presse, nous ça passera inaperçu, alors je le dis). Les résultats constatés montrent une capacité d’autofinancement renforcée, un endettement sage, un budget de fonctionnement maitrisé et pourtant des services publics performants, des politiques publiques de solidarité et de nombreux investissements sur ce seul mandat (École Elisabeth et Robert Badinter, continuité de la Place des Arts, Maison de Santé Pluriprofessionnelle, Parc Georges Brassens, Espace Naturel Sensible, rénovation pluriannuelle des écoles Jules Ferry et Brossolette,…). Cette situation budgétaire équilibrée nous permet de nous engager encore : au dernier trimestre de cette année, sera livrée la nouvelle crèche intercommunale Frimousse (24 lits pour Tomblaine) et en 2019 commenceront les travaux de construction d’une école primaire (3 classes de maternelle et 2 classes pour CP et CE1), avec restauration scolaire et une structure multiaccueil de la petite enfance. Objectif : ouverture en septembre 2020. La population augmente, le nombre des commerces et les entreprises aussi, nous continuons à investir pour une qualité de vie. Tomblaine restera une sorte de grand village à taille humaine, l’unanimité du Conseil Municipal est une vraie reconnaissance pour notre travail.