Agir pour vous et avec vous

Jour : 28 juin 2019 (Page 1 de 2)

On vit une époque formidable, dans une région extraordinaire.
Les associations sont logées à la même enseigne et maltraitées de la même façon que les Communes…

Le Conseil Départemental a transféré il y a deux ans certains de ses domaines de compétences à la Métropole du Grand Nancy,  parmi lesquelles le soutien aux écoles de musique.

À Tomblaine, il existe une école de musique associative : « Tempo », particulièrement performante et novatrice.

Mais, pour reconnaitre, en tant que telle, une école de musique, il faut plaire à des fonctionaires qui ont le pouvoir de décider, même s’ils ne sortent jamais de leur bureau pour aller constater la pertinence des actions pédagogiques et des programmes enseignés. Comme les élus suivent tout ça de très, très loin, ça n’arrange rien à ce système bureaucratique et sans âme.
Alors, une école de musique à Tomblaine, dans une Zone Urbaine Sensible, ça n’était pas possible. Il y avait donc (petite) subvention, mais TEMPO n’émargeait pas sur la ligne des écoles de musiques « reconnues » (tout cela en catimini, nous n’en savions rien. Et pour cause, il n’y avait aucune raison pour ne pas reconnaitre cette école de musique).
Le conseil Départemental (qui vient d’ailleurs de dissoudre l’association « Pass’sport et culture » que nous avions créée avec le regretté Michel Dinet, défenseur de l’Éducation Populaire), a donc, conformément à la Loi, transféré le soutien aux école de musique à la Métropole du Grrrrrand Nancy, en oubliant juste… TEMPO, école de 
Tomblaine !
La Métropole, dans son mode de  fonctionnement habituellement sectaire, a sauté sur l’occasion pour ne pas reconnaitre TEMPO et cela fait donc deux ans que l’école de musique de Tomblaine, malgré mes multiples interventions, est la seule de l’aglomération à ne pas être subventionnée par la Métropole. Même fonctionnement : des fonctionnaires et des élus tout aussi incompétents, qui ont le pouvoir de décider de tout, même s’ils n’y connaissent rien (je fais un pari : on fait une battle eux contre moi, sur la musique, les méthodes pédagogiques sur les apprentissages, la maitrise de l’instrument, l’éveil musical, etc. Et on compte les points… chiche ?). Et pire encore, quand ils décident de refouler une association, ils n’en informent pas l’assemblée des élus. Seraient-ils honteux de leurs méthodes ?
Récemment, j’ai appris que ces gens-là (comme disait Brel), dans leur grande mansuétude, ont accepté d’attribuer une (petite) subvention à TEMPO, à partir de documents fournis qui démontre clairement le niveau d’ingérence (hors la loi) de ces collectivités (les puissants qui décident) vis à vis des associations (les petits qui travaillent en proximité).
Ouf !
Quelques exemples récents pour démontrer le niveau d’incompétence de ces gens-là pour déterminer la qualité d’une école de musique, ainsi que le caractère discriminant :
– quand un jeune élève de Tempo réussit le concours d’entrée au conservatoire…
– Nicolas Tuaillon, professeur de saxophone à TEMPO est parti en tournée avec… Vanessa Paradis.
– Lisa Brachet, professeure à Tempo, à la chorale et prof de violon dans « l’orchestre à l’école » en plein Quartier Prioritaire de la Politique de la Ville (encore une action qui mériterait que le Conseil Départemental et la Métropole apportent un soutien décent…), Lisa vient de réussir son concours et obtient son diplôme d’État de professeure de violon. C’est à dire qu’elle pourrait être professeure en Conservatoire. 
Quand est-ce qu’on dégage tout ça ?

On vit une époque formidable, dans une région extraordinaire.
Les associations sont logées à la même enseigne et maltraitées de la même façon que les Communes…

Le Conseil Départemental a transféré il y a deux ans certains de ses domaines de compétences à la Métropole du Grand Nancy,  parmi lesquelles le soutien aux écoles de musique.

À Tomblaine, il existe une école de musique associative : « Tempo », particulièrement performante et novatrice.

Mais, pour reconnaitre, en tant que telle, une école de musique, il faut plaire à des fonctionaires qui ont le pouvoir de décider, même s’ils ne sortent jamais de leur bureau pour aller constater la pertinence des actions pédagogiques et des programmes enseignés. Comme les élus suivent tout ça de très, très loin, ça n’arrange rien à ce système bureaucratique et sans âme.
Alors, une école de musique à Tomblaine, dans une Zone Urbaine Sensible, ça n’était pas possible. Il y avait donc (petite) subvention, mais TEMPO n’émargeait pas sur la ligne des écoles de musiques « reconnues » (tout cela en catimini, nous n’en savions rien. Et pour cause, il n’y avait aucune raison pour ne pas reconnaitre cette école de musique).
Le conseil Départemental (qui vient d’ailleurs de dissoudre l’association « Pass’sport et culture » que nous avions créée avec le regretté Michel Dinet, défenseur de l’Éducation Populaire), a donc, conformément à la Loi, transféré le soutien aux école de musique à la Métropole du Grrrrrand Nancy, en oubliant juste… TEMPO, école de 
Tomblaine !
La Métropole, dans son mode de  fonctionnement habituellement sectaire, a sauté sur l’occasion pour ne pas reconnaitre TEMPO et cela fait donc deux ans que l’école de musique de Tomblaine, malgré mes multiples interventions, est la seule de l’aglomération à ne pas être subventionnée par la Métropole. Même fonctionnement : des fonctionnaires et des élus tout aussi incompétents, qui ont le pouvoir de décider de tout, même s’ils n’y connaissent rien (je fais un pari : on fait une battle eux contre moi, sur la musique, les méthodes pédagogiques sur les apprentissages, la maitrise de l’instrument, l’éveil musical, etc. Et on compte les points… chiche ?). Et pire encore, quand ils décident de refouler une association, ils n’en informent pas l’assemblée des élus. Seraient-ils honteux de leurs méthodes ?
Récemment, j’ai appris que ces gens-là (comme disait Brel), dans leur grande mansuétude, ont accepté d’attribuer une (petite) subvention à TEMPO, à partir de documents fournis qui démontre clairement le niveau d’ingérence (hors la loi) de ces collectivités (les puissants qui décident) vis à vis des associations (les petits qui travaillent en proximité).
Ouf !
Quelques exemples récents pour démontrer le niveau d’incompétence de ces gens-là pour déterminer la qualité d’une école de musique, ainsi que le caractère discriminant :
– quand un jeune élève de Tempo réussit le concours d’entrée au conservatoire…
– Nicolas Tuaillon, professeur de saxophone à TEMPO est parti en tournée avec… Vanessa Paradis.
– Lisa Brachet, professeure à Tempo, à la chorale et prof de violon dans « l’orchestre à l’école » en plein Quartier Prioritaire de la Politique de la Ville (encore une action qui mériterait que le Conseil Départemental et la Métropole apportent un soutien décent…), Lisa vient de réussir son concours et obtient son diplôme d’État de professeure de violon. C’est à dire qu’elle pourrait être professeure en Conservatoire. 
Quand est-ce qu’on dégage tout ça ?

Mardi 25 juin, avec mes adjoints nous nous sommes rendus à l’Espace Jean Jaurès pour réceptionner le nouveau ring de boxe mobile d’ores et déjà installé. La Ville a investi (pour 6 120 €) dans ce nouvel équipement plus pratique afin que le club de boxe puisse faire ses entraînements dans de bonnes conditions.

René CORDIER, « l’entraîneur des champions », était d’ailleurs présent pour l’occasion avec quelques boxeurs pour l’inaugurer.

En plus du ring de boxe, une poire de vitesse, trois sacs de frappe, des potences et une armoire de rangement viendront prochainement s’ajouter à l’équipement de la salle. 

Ce nouveau matériel était nécessaire pour une activité fréquentée par de nombreux jeunes Tomblainois. Quelques-uns ont d’ailleurs proposé une démonstration aux élus : Stéfina Villaume, championne 

Grand Est, Clara Leitao-Aleixo, qui a à son palmarès deux assauts, dont deux victoires et Lucas Backorni, six assauts – six victoires. 

De la graine de champion !

 

 

 

Mardi 25 juin, avec mes adjoints nous nous sommes rendus à l’Espace Jean Jaurès pour réceptionner le nouveau ring de boxe mobile d’ores et déjà installé. La Ville a investi (pour 6 120 €) dans ce nouvel équipement plus pratique afin que le club de boxe puisse faire ses entraînements dans de bonnes conditions.

René CORDIER, « l’entraîneur des champions », était d’ailleurs présent pour l’occasion avec quelques boxeurs pour l’inaugurer.

En plus du ring de boxe, une poire de vitesse, trois sacs de frappe, des potences et une armoire de rangement viendront prochainement s’ajouter à l’équipement de la salle. 

Ce nouveau matériel était nécessaire pour une activité fréquentée par de nombreux jeunes Tomblainois. Quelques-uns ont d’ailleurs proposé une démonstration aux élus : Stéfina Villaume, championne 

Grand Est, Clara Leitao-Aleixo, qui a à son palmarès deux assauts, dont deux victoires et Lucas Backorni, six assauts – six victoires. 

De la graine de champion !

 

 

 

Mardi 25 juin, le Conseil Municipal mettait à l’honneur le petit Logan,
fils de Charlène GERARDIN, employée municipale à temps complet en
qualité de cuisinière au Restaurant Léo Lagrange, et Yann RENAC.
À sa naissance le 10 mars 2019, Logan mesurait 53 cm et pesait 4 kg 500.
Avec mon adjointe Christiane Defaux, au nom du Conseil Municipal, j’ai
offert un cadeau de bienvenue à Logan et nous avons félicité les heureux
parents.

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