Agir pour vous et avec vous

Mois : juin 2019 (Page 2 de 14)

Premier des séjours de vacances organisés par le CCAS de la Ville de Tomblaine, 32 personnes âgées sont parties très tôt samedi matin en direction de Vic sur Cere en Auvergne. Le bus était, bien sûr, climatisé, mais, au cas où, nos anciens avaient prévu des éventails… 

Le voyage s’est bien passé, et quand à 20 km de l’arrivée, des bouchons ont ralenti la circulation, la solution la plus sage était de s’arrêter au restaurant…

Arrivé à l’hôtel tout ce petit monde s’est installé dans les chambres et nous envoie cette photo prise devant la Maison des eaux minérales de Vic sur Cere. Bonnes vacances à tous !

 

 

 

L’agenda du Maire :

C’est un peu compliqué de pratiquer le marathon, quand on s’est occasionné un claquage
au mollet (jeudi en jouant au volley avec les élus contre le Tomblaine Volley Ball)…

– Je n’y étais pas, mais dès 6h du matin, mon adjointe Denise Gundelwein était au départ
des 32 personnes âgées de Tomblaine qui partaient en vacances pour 15 jours à Vic sur Cere 
(en Auvergne), accompagnées par Brigitte Mion, Conseillère Municipale. Brigitte rend un
service énorme, elle est tonique, compétente, positive et très appréciée par nos vacanciers,
avec qui elle est aux petits soins.

Voilà ensuite mon agenda…
– 9h Les enfants du GSAT, club de foot tomblainois partaient pour la journée à Waligator !
Des U6 aux U15, une bonne vingtaine d’enfants, accompagnés par certains parents, des
dirigeants du club et par les jeunes de la batucada (ils sont de tous les coups !). 
Le bus municipal mis à disposition, Hinde Magada organisatrice, leur a donné toutes les 
consignes : casquettes sur la tête, boire de l’eau, 6 enfants pour deux grands,… belle 
organisation et super ambiance !

– 9h30 : visite au Conseil Municipal d’enfants, en formation initiation aux gestes qui sauvent 
(premiers secours) avec François Willm, formateur à l’ALNAS. Un beau diplôme sera décerné
aux jeunes conseillers municipaux.

– 10h : Bilan politique accueil petite enfance, avec Nadia Nicolay, Présidente de l’association « La 
p’tite tribu » et Christiane Defaux, adjointe au maire.

– 11h : inauguration de la fresque peinte par Martine Sauvageot et vernissage de l’exposition
historique en hommage aux anciens et actuels commerçants de Tomblaine.

– 13h : je vais voir un spectacle au Parc Ste Marie ( l’illustre théâtre des frères Sabattini), dans
la perspective d’une programmation ultérieure à Tomblaine ?

– 14h : mariage.

– 15h : mariage.

– de 15h à minuit, anniversaire d’occupation des locaux par le collectif « la piscine ».

– 16h : mariage.

– 17h : audition de fin d’année de l’école de musique Tempo.

– 19h : apéritif des donneurs de sang au GSAT.

– 19h30 : fête des voisins rue Jean Ferrat.

 

 

L’agenda du Maire :

C’est un peu compliqué de pratiquer le marathon, quand on s’est occasionné un claquage
au mollet (jeudi en jouant au volley avec les élus contre le Tomblaine Volley Ball)…

– Je n’y étais pas, mais dès 6h du matin, mon adjointe Denise Gundelwein était au départ
des 32 personnes âgées de Tomblaine qui partaient en vacances pour 15 jours à Vic sur Cere 
(en Auvergne), accompagnées par Brigitte Mion, Conseillère Municipale. Brigitte rend un
service énorme, elle est tonique, compétente, positive et très appréciée par nos vacanciers,
avec qui elle est aux petits soins.

Voilà ensuite mon agenda…
– 9h Les enfants du GSAT, club de foot tomblainois partaient pour la journée à Waligator !
Des U6 aux U15, une bonne vingtaine d’enfants, accompagnés par certains parents, des
dirigeants du club et par les jeunes de la batucada (ils sont de tous les coups !). 
Le bus municipal mis à disposition, Hinde Magada organisatrice, leur a donné toutes les 
consignes : casquettes sur la tête, boire de l’eau, 6 enfants pour deux grands,… belle 
organisation et super ambiance !

– 9h30 : visite au Conseil Municipal d’enfants, en formation initiation aux gestes qui sauvent 
(premiers secours) avec François Willm, formateur à l’ALNAS. Un beau diplôme sera décerné
aux jeunes conseillers municipaux.

– 10h : Bilan politique accueil petite enfance, avec Nadia Nicolay, Présidente de l’association « La 
p’tite tribu » et Christiane Defaux, adjointe au maire.

– 11h : inauguration de la fresque peinte par Martine Sauvageot et vernissage de l’exposition
historique en hommage aux anciens et actuels commerçants de Tomblaine.

– 13h : je vais voir un spectacle au Parc Ste Marie ( l’illustre théâtre des frères Sabattini), dans
la perspective d’une programmation ultérieure à Tomblaine ?

– 14h : mariage.

– 15h : mariage.

– de 15h à minuit, anniversaire d’occupation des locaux par le collectif « la piscine ».

– 16h : mariage.

– 17h : audition de fin d’année de l’école de musique Tempo.

– 19h : apéritif des donneurs de sang au GSAT.

– 19h30 : fête des voisins rue Jean Ferrat.

 

 

On vit une époque formidable, dans une région extraordinaire.
Les associations sont logées à la même enseigne et maltraitées de la même façon que les Communes…

Le Conseil Départemental a transféré il y a deux ans certains de ses domaines de compétences à la Métropole du Grand Nancy,  parmi lesquelles le soutien aux écoles de musique.

À Tomblaine, il existe une école de musique associative : « Tempo », particulièrement performante et novatrice.

Mais, pour reconnaitre, en tant que telle, une école de musique, il faut plaire à des fonctionaires qui ont le pouvoir de décider, même s’ils ne sortent jamais de leur bureau pour aller constater la pertinence des actions pédagogiques et des programmes enseignés. Comme les élus suivent tout ça de très, très loin, ça n’arrange rien à ce système bureaucratique et sans âme.
Alors, une école de musique à Tomblaine, dans une Zone Urbaine Sensible, ça n’était pas possible. Il y avait donc (petite) subvention, mais TEMPO n’émargeait pas sur la ligne des écoles de musiques « reconnues » (tout cela en catimini, nous n’en savions rien. Et pour cause, il n’y avait aucune raison pour ne pas reconnaitre cette école de musique).
Le conseil Départemental (qui vient d’ailleurs de dissoudre l’association « Pass’sport et culture » que nous avions créée avec le regretté Michel Dinet, défenseur de l’Éducation Populaire), a donc, conformément à la Loi, transféré le soutien aux école de musique à la Métropole du Grrrrrand Nancy, en oubliant juste… TEMPO, école de 
Tomblaine !
La Métropole, dans son mode de  fonctionnement habituellement sectaire, a sauté sur l’occasion pour ne pas reconnaitre TEMPO et cela fait donc deux ans que l’école de musique de Tomblaine, malgré mes multiples interventions, est la seule de l’aglomération à ne pas être subventionnée par la Métropole. Même fonctionnement : des fonctionnaires et des élus tout aussi incompétents, qui ont le pouvoir de décider de tout, même s’ils n’y connaissent rien (je fais un pari : on fait une battle eux contre moi, sur la musique, les méthodes pédagogiques sur les apprentissages, la maitrise de l’instrument, l’éveil musical, etc. Et on compte les points… chiche ?). Et pire encore, quand ils décident de refouler une association, ils n’en informent pas l’assemblée des élus. Seraient-ils honteux de leurs méthodes ?
Récemment, j’ai appris que ces gens-là (comme disait Brel), dans leur grande mansuétude, ont accepté d’attribuer une (petite) subvention à TEMPO, à partir de documents fournis qui démontre clairement le niveau d’ingérence (hors la loi) de ces collectivités (les puissants qui décident) vis à vis des associations (les petits qui travaillent en proximité).
Ouf !
Quelques exemples récents pour démontrer le niveau d’incompétence de ces gens-là pour déterminer la qualité d’une école de musique, ainsi que le caractère discriminant :
– quand un jeune élève de Tempo réussit le concours d’entrée au conservatoire…
– Nicolas Tuaillon, professeur de saxophone à TEMPO est parti en tournée avec… Vanessa Paradis.
– Lisa Brachet, professeure à Tempo, à la chorale et prof de violon dans « l’orchestre à l’école » en plein Quartier Prioritaire de la Politique de la Ville (encore une action qui mériterait que le Conseil Départemental et la Métropole apportent un soutien décent…), Lisa vient de réussir son concours et obtient son diplôme d’État de professeure de violon. C’est à dire qu’elle pourrait être professeure en Conservatoire. 
Quand est-ce qu’on dégage tout ça ?

On vit une époque formidable, dans une région extraordinaire.
Les associations sont logées à la même enseigne et maltraitées de la même façon que les Communes…

Le Conseil Départemental a transféré il y a deux ans certains de ses domaines de compétences à la Métropole du Grand Nancy,  parmi lesquelles le soutien aux écoles de musique.

À Tomblaine, il existe une école de musique associative : « Tempo », particulièrement performante et novatrice.

Mais, pour reconnaitre, en tant que telle, une école de musique, il faut plaire à des fonctionaires qui ont le pouvoir de décider, même s’ils ne sortent jamais de leur bureau pour aller constater la pertinence des actions pédagogiques et des programmes enseignés. Comme les élus suivent tout ça de très, très loin, ça n’arrange rien à ce système bureaucratique et sans âme.
Alors, une école de musique à Tomblaine, dans une Zone Urbaine Sensible, ça n’était pas possible. Il y avait donc (petite) subvention, mais TEMPO n’émargeait pas sur la ligne des écoles de musiques « reconnues » (tout cela en catimini, nous n’en savions rien. Et pour cause, il n’y avait aucune raison pour ne pas reconnaitre cette école de musique).
Le conseil Départemental (qui vient d’ailleurs de dissoudre l’association « Pass’sport et culture » que nous avions créée avec le regretté Michel Dinet, défenseur de l’Éducation Populaire), a donc, conformément à la Loi, transféré le soutien aux école de musique à la Métropole du Grrrrrand Nancy, en oubliant juste… TEMPO, école de 
Tomblaine !
La Métropole, dans son mode de  fonctionnement habituellement sectaire, a sauté sur l’occasion pour ne pas reconnaitre TEMPO et cela fait donc deux ans que l’école de musique de Tomblaine, malgré mes multiples interventions, est la seule de l’aglomération à ne pas être subventionnée par la Métropole. Même fonctionnement : des fonctionnaires et des élus tout aussi incompétents, qui ont le pouvoir de décider de tout, même s’ils n’y connaissent rien (je fais un pari : on fait une battle eux contre moi, sur la musique, les méthodes pédagogiques sur les apprentissages, la maitrise de l’instrument, l’éveil musical, etc. Et on compte les points… chiche ?). Et pire encore, quand ils décident de refouler une association, ils n’en informent pas l’assemblée des élus. Seraient-ils honteux de leurs méthodes ?
Récemment, j’ai appris que ces gens-là (comme disait Brel), dans leur grande mansuétude, ont accepté d’attribuer une (petite) subvention à TEMPO, à partir de documents fournis qui démontre clairement le niveau d’ingérence (hors la loi) de ces collectivités (les puissants qui décident) vis à vis des associations (les petits qui travaillent en proximité).
Ouf !
Quelques exemples récents pour démontrer le niveau d’incompétence de ces gens-là pour déterminer la qualité d’une école de musique, ainsi que le caractère discriminant :
– quand un jeune élève de Tempo réussit le concours d’entrée au conservatoire…
– Nicolas Tuaillon, professeur de saxophone à TEMPO est parti en tournée avec… Vanessa Paradis.
– Lisa Brachet, professeure à Tempo, à la chorale et prof de violon dans « l’orchestre à l’école » en plein Quartier Prioritaire de la Politique de la Ville (encore une action qui mériterait que le Conseil Départemental et la Métropole apportent un soutien décent…), Lisa vient de réussir son concours et obtient son diplôme d’État de professeure de violon. C’est à dire qu’elle pourrait être professeure en Conservatoire. 
Quand est-ce qu’on dégage tout ça ?

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