Agir pour vous et avec vous

Jour : 9 novembre 2019 (Page 2 de 2)

 

Très belle soirée, organisée jeudi, conjointement par l’Association Aux Actes Citoyens et la Ville de Tomblaine
soirée sportive et culturelle à la fois. 
Tout d’abord, nous recevions Lionel Chamoulaud et Philippe Lorin. Lionel Chamoulaud, plus de 40 ans de
journalisme sportif à France Télévision, vient d’écrire un très beau livre « Champions en Or » dans lequel
il relate l’histoire de 3O médaillés d’Or Olympique Français. Il s’agissait de présenter ce livre, mais c’était
aussi le temps du vernissage de l’exposition des illustrations de Philippe Lorin. Car c’est Philippe Lorin,
illustrateur de renom et ami de Tomblaine, qui a illustré le livre « Champions en Or ».
Cette exposition sera visible à l’Espace Jean Jaurès durant 3 semaines. 

Avant la séance de dédicaces, Lionel Chamoulaud et Philippe Lorin ont échangé avec le public et de nombreux
sportifs locaux. En effet nous avions invités des champions qui sont allés aux Jeux Olympiques, mais aussi des
jeunes de la « génération 2024 », qui devraient donc aller aux Jeux. La rencontre était belle, car pour ces jeunes 
sportifs l’objectif, comme le rêve est d’aller un jours aux JO, et rencontrer les champions qui les y ont précédés.
Cette soirée a permis d’évoquer la concrétisation du rêve, les efforts fournis ou encore les valeurs du sport et de 
l’Olympisme.

Philippe Lorrin et Lionel Chamoulaud sont tous deux talentueux, mais aussi très sympatiques, le public était ravi.
Si vous avez raté ça, sachez que le livre « Champions en Or » est en vente à la librairie « le hall du livre » qui était
partenaire de cette manifestation.

Nous avons eu le plaisir d’accueillir Pierre Houin (aviron, médaille d’or aux JO de Rio en 2016), Dominique Nato
(boxe), Pascal Lance (cyclisme), Jeff Pénin, Elisabeth Pénin, David Bernoy (judo), Pascal Thiébaut (1500 et 5000m),
Emmanuel Romary (110m haies), Norbert Brige (saut en hauteur). Etaient présents aussi nombre de dirigeants 
des clubs sportifs tomblainois.

Les jeunes sportifs qui iront aux JO, en « génération 2024 » et qui étaient présents sont : 
– Laura Ruiz, scolarisée au Lycée Varoquaux de Tomblaine, en terminale STG, championne de France, d’Europe et du
Monde en canoë biplace (et pour Laura, on est assuré qu’elle ira aux JO de Tokyo en 2020 avant Paris 2024 !).

– Ibrahim Boukedim, lycée Varoquaux de Tomblaine en terminale STG, Champion de France et Vice-Champion d’Europe 
junior en boxe anglaise.

– Clémence Beretta (en licence pro marketing digital) championne et recordwoman de France du 20km à la marche athlétique.

– Sonia Hecquel n’est pas en « génération 2024 », mais on sait qu’elle ira aux Jeux Paralympiques de Tokyo 2020 en Boccia par
équipe, puisqu’elle est membre de l’équipe de France avec laquelle elle est championne d’Europe 2019.

Un jeune Tomblainois devrait aussi aller aux JO de Paris 2024, il s’agit de Romain Cavallaro, 14 ans, champion de France de 
gymnastique en 2020 pour la 4ème année consécutive, il n’était pas présent jeudi, car il était avec l’équipe de France à Athènes, 
accompagné de son coach Boris Noack.
La Ville de Tomblaine compte un habitant sur 3 qui a moins de 19 ans. Le sport scolaire y est particulièrement développé. Mais 
sans compter le sport scolaire, pour une Ville de 9200 habitants, nous recensons 2400 licenciés sportifs… Et puis, monsieur Barbier,
Principal du Collège Jean Moulin à Tomblaine était aussi présent, ce collège de Tomblaine est le seul établissement scolaire de toute
l’Académie qui est labellisé « génération 2024 » !

La deuxième partie de soirée était théâtrale, avec le Théâtre Job de Bordeaux, mais sur le même thème, puisque leur dernière création
s’intitule « les Jeux sont faits » et dépeint les destins extraordinaires des sportives et sportifs ayant participé aux JO entre 1896 et 1936 !

Le Théâtre Job est ami de Tomblaine, ils nous ont habitués à des prestations de haut vol ! Et là encore le moment fut à savourer. Une 
belle fresque, en succession dynamique de sketches pour n’évoquer que des histoires vraies, même si elles sont incroyables !
Plus que bien écrit, c’est ciselé, la qualité de l’écriture sert la très belle interprétation, la véracité des faits donne de la force au propos,
d’autant plus que ce spectacle, souvent drôle, est intelligent. 
En nous plongeant dans l’histoire réelle des Jeux Olympiques et de leurs évolutions, ils nous font aussi témoins des évolutions en parallèle 
de l’humanité, avec tout ce qu’il peut y avoir de souhaitable, comme tout ce qui peut être haïssable, non résolu et sujet encore de belles 
luttes à mener…
Bravo le Théâtre Job !

A la lecture de cet article de l’Est Républicain, j’ai vraiment cru que c’était le compte-rendu de mon intervention au Conseil de Métropole de juillet 2018 (dont la presse n’avait pas dit un seul mot, mais il est facile d’aller tout vérifier sur les compte-rendus officiels ou bien sur mon site)… Mathieu Klein dit aujourd’hui exactement ce que je disais depuis très longtemps : « ce mandat a été inutile… beaucoup de temps (et d’argent public) perdu… le Grand Nancy n’a pas la capacité à tenir le calendrier et le financement du tram… »
Il demande un audit financier, car selon lui le niveau d’endettement de 2600€ par habitant dans la Métropole serait le plus élevé de France ! On croit rêver ! Il vient de naître ?
Je dis cela en Conseil de Métropole depuis 10 ans et on me dit que je rabâche…
Et alors, pourquoi est-ce que les socialistes ont voté sur le tram en soutien à Rossinot-Hénart ?
Bon, c’est plutôt bien qu’aujourd’hui il se réveille, même si c’est beaucoup trop tard (car il a raison de dire que ce mandat a été celui du temps perdu, y compris pour la gauche mollassonne). Mais c’est bien qu’il change de discours, il ne manquerait plus qu’il s’exprime maintenant sur le scandale du Grand Nancy Thermal…

Pour revenir au tram. L’explication est simple, en juillet 2018, Rossinot nous a renvoyé à une délibération à décembre suivant. J’avais dit à la gauche, il nous ment, il ne veut pas d’un tram qui monte à Brabois, il s’en contrefiche, il joue la montre. La gauche avait préféré se ranger derrière Rossinot, un Vandopérien en tête, gonflé d’orgueil, car Rossinot lui avait fait des promesses (que la politique est moche parfois !). Je me suis alors démarqué de cette gauche, dont les traîtrises, les incohérences et le manque de travail m’irritaient. En décembre 2018, la délibération, comme je l’avais prédit, nous renvoyait à des études… Mais la gauche du Grand Nancy continuait à faire semblant de croire en Rossinot comme on croit au Père Noèl…
Et voilà qu’on nous dit aujourd’hui que le 20 décembre 2019 (Rossinot n’a plus que 3 mois à tenir), « la déclaration de projet, prélude à la déclaration d’utilité publique » devra être votée par le Conseil de Métropole ! Qu’elle mascarade ! Qu’elle bouffonnerie ! Les 45000 voyageurs qui ont besoin de se rendre à Brabois pour travailler, pour y vivre ou encore pour aller au CHU sont désespérés…

Rossinot se fout du tram et se fout des grands-nancéiens. Il a surendetté la Métropole. Relisez aussi mes interventions au Conseil de Métropole au moment du vote du Budget au début de l’année 2019. Je faisais remarquer une délibération dans laquelle il proposait au vote les AP (Autorisations de Programme) pour les années suivantes.
En un calcul tout simple, j’additionnais les autorisations de programme proposées pour les 3 années suivantes à l’état de la dette et j’en arrivais à démontrer logiquement que 3 ans plus tard la Métropole passerait en terme d’endettement le cap du milliard.
Il y avait donc deux solutions, soit ils mentaient en nous disant qu’ils maîtrisaient bien leur budget, soit ils mentaient en n’ayant pas du tout l’intention d’engager certaines de ces autorisations de programme…
Comme de toutes façons, il veulent faire leur Grand Nancy Thermal en donnant 87 millions d’euros de cadeaux à la société à laquelle ils ont offert la concession… C’est bien la montée en tram, sans rupture de charge, vers Brabois qui sera sacrifiée…
Dans le prochain Débat d’Orientation Budgétaire (juste avant les élections) ils vont nous faire remarquer que l’encours de la dette baisse (peu, très peu, trop peu, mais elle baisse), ce sera la démonstration du mensonge, puisque cela signifiera qu’ils n’ont encore rien engagé de ces autorisation de programme qu’ils ont pourtant fait voter…

Et si Rossinot, Choserot et tous les suivistes ont choisi sciemment le tracé par Villers, c’est parce qu’ils savent très bien que c’est le plus cher, le plus destructeur, le moins écologique, le moins cohérent. Cette solution sera la plus combattue, car la plus critiquable et ce sera un bel alibi pour, un jour, dire que finalement ce n’est pas possible et mettre en place « en provisoire » une montée à Brabois avec rupture de charge, solution qui finira par être pérennisée dans une Métropole au bord de la faillite financière et démocratique.

C’est dommage que M. Klein ne parle pas aussi de cet aspect, sur le fond…
PARCE QUE DES SOLUTIONS ONT ÉTÉ AVANCÉES PAR L’ASSOCIATION DE RIVERAINS DE VILLERS, PAR « LE BIEN COMMUN », PAR FRANÇOISE HERVÉ, PAR MOI-MÊME…
Mais si le titre de l’Est Républicain (« Mathieu Klein suspend son vote ») rappelle le poème de Lamartine « Ô temps, suspends ton vol », il faut connaitre la suite de ce poème :
« Ô temps, suspends ton vol !
Et vous, heures propices, suspendez votre cours !… »
Les campagnes électorales sont des heures propices aux déclarations de circonstances,
Alors que les luttes, toutes les luttes, pour la démocratie, la justice, le progrès social, ne devraient jamais s’arrêter…

A la lecture de cet article de l’Est Républicain, j’ai vraiment cru que c’était le compte-rendu de mon intervention au Conseil de Métropole de juillet 2018 (dont la presse n’avait pas dit un seul mot, mais il est facile d’aller tout vérifier sur les compte-rendus officiels ou bien sur mon site)… Mathieu Klein dit aujourd’hui exactement ce que je disais depuis très longtemps : « ce mandat a été inutile… beaucoup de temps (et d’argent public) perdu… le Grand Nancy n’a pas la capacité à tenir le calendrier et le financement du tram… »
Il demande un audit financier, car selon lui le niveau d’endettement de 2600€ par habitant dans la Métropole serait le plus élevé de France ! On croit rêver ! Il vient de naître ?
Je dis cela en Conseil de Métropole depuis 10 ans et on me dit que je rabâche…
Et alors, pourquoi est-ce que les socialistes ont voté sur le tram en soutien à Rossinot-Hénart ?
Bon, c’est plutôt bien qu’aujourd’hui il se réveille, même si c’est beaucoup trop tard (car il a raison de dire que ce mandat a été celui du temps perdu, y compris pour la gauche mollassonne). Mais c’est bien qu’il change de discours, il ne manquerait plus qu’il s’exprime maintenant sur le scandale du Grand Nancy Thermal…

Pour revenir au tram. L’explication est simple, en juillet 2018, Rossinot nous a renvoyé à une délibération à décembre suivant. J’avais dit à la gauche, il nous ment, il ne veut pas d’un tram qui monte à Brabois, il s’en contrefiche, il joue la montre. La gauche avait préféré se ranger derrière Rossinot, un Vandopérien en tête, gonflé d’orgueil, car Rossinot lui avait fait des promesses (que la politique est moche parfois !). Je me suis alors démarqué de cette gauche, dont les traîtrises, les incohérences et le manque de travail m’irritaient. En décembre 2018, la délibération, comme je l’avais prédit, nous renvoyait à des études… Mais la gauche du Grand Nancy continuait à faire semblant de croire en Rossinot comme on croit au Père Noèl…
Et voilà qu’on nous dit aujourd’hui que le 20 décembre 2019 (Rossinot n’a plus que 3 mois à tenir), « la déclaration de projet, prélude à la déclaration d’utilité publique » devra être votée par le Conseil de Métropole ! Qu’elle mascarade ! Qu’elle bouffonnerie ! Les 45000 voyageurs qui ont besoin de se rendre à Brabois pour travailler, pour y vivre ou encore pour aller au CHU sont désespérés…

Rossinot se fout du tram et se fout des grands-nancéiens. Il a surendetté la Métropole. Relisez aussi mes interventions au Conseil de Métropole au moment du vote du Budget au début de l’année 2019. Je faisais remarquer une délibération dans laquelle il proposait au vote les AP (Autorisations de Programme) pour les années suivantes.
En un calcul tout simple, j’additionnais les autorisations de programme proposées pour les 3 années suivantes à l’état de la dette et j’en arrivais à démontrer logiquement que 3 ans plus tard la Métropole passerait en terme d’endettement le cap du milliard.
Il y avait donc deux solutions, soit ils mentaient en nous disant qu’ils maîtrisaient bien leur budget, soit ils mentaient en n’ayant pas du tout l’intention d’engager certaines de ces autorisations de programme…
Comme de toutes façons, il veulent faire leur Grand Nancy Thermal en donnant 87 millions d’euros de cadeaux à la société à laquelle ils ont offert la concession… C’est bien la montée en tram, sans rupture de charge, vers Brabois qui sera sacrifiée…
Dans le prochain Débat d’Orientation Budgétaire (juste avant les élections) ils vont nous faire remarquer que l’encours de la dette baisse (peu, très peu, trop peu, mais elle baisse), ce sera la démonstration du mensonge, puisque cela signifiera qu’ils n’ont encore rien engagé de ces autorisation de programme qu’ils ont pourtant fait voter…

Et si Rossinot, Choserot et tous les suivistes ont choisi sciemment le tracé par Villers, c’est parce qu’ils savent très bien que c’est le plus cher, le plus destructeur, le moins écologique, le moins cohérent. Cette solution sera la plus combattue, car la plus critiquable et ce sera un bel alibi pour, un jour, dire que finalement ce n’est pas possible et mettre en place « en provisoire » une montée à Brabois avec rupture de charge, solution qui finira par être pérennisée dans une Métropole au bord de la faillite financière et démocratique.

C’est dommage que M. Klein ne parle pas aussi de cet aspect, sur le fond…
PARCE QUE DES SOLUTIONS ONT ÉTÉ AVANCÉES PAR L’ASSOCIATION DE RIVERAINS DE VILLERS, PAR « LE BIEN COMMUN », PAR FRANÇOISE HERVÉ, PAR MOI-MÊME…
Mais si le titre de l’Est Républicain (« Mathieu Klein suspend son vote ») rappelle le poème de Lamartine « Ô temps, suspends ton vol », il faut connaitre la suite de ce poème :
« Ô temps, suspends ton vol !
Et vous, heures propices, suspendez votre cours !… »
Les campagnes électorales sont des heures propices aux déclarations de circonstances,
Alors que les luttes, toutes les luttes, pour la démocratie, la justice, le progrès social, ne devraient jamais s’arrêter…

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