Le public nous remercie, les artistes nous encensent, on entend dire tous les jours
« on n’a jamais vu ça ailleurs ». Ce festival, c’est une ambiance extraordinaire et de
la qualité à tous les rendez-vous. Du coup, le manque de reconnaissance de la presse
locale ne devient plus qu’anecdotique…
Hier encore, beaucoup d’émotion, avec « La famille Orthis » de Jean-Philippe Daguerre,
et une Isabelle de Botton sublime, un extraordinaire Federico Garcia Lorca « Désir, terre et sang », par les Baladins du Miroir (Belgique) , sous leur chapiteau, le violon et l’alto des sœurs Brachet Lisa et Amélie, ou encore la fraîcheur des élèves du Collège Guynemer de Nancy !
La seule difficulté qui subsiste, c’est le nombre de spectateurs. On refuse du monde tous les soirs…