Agir pour vous et avec vous

Mois : septembre 2021 (Page 8 de 21)

Conseil Municipal mercredi soir à Tomblaine, avec tout d’abord un hommage ému rendu à Pierre Marande et Olivier
Rambaut qui nous ont quittés, suivi d’une minute de silence.
Au Conseil Municipal de Tomblaine l’opposition n’a que trois sièges, car elle n’avait fait qu’un petit score aux municipales.
Au bout d’une heure et demi de Conseil, à la 12ème délibération, je n’ai pu m’empêcher de réagir et je souhaiterais m’en expliquer.
La « tête de liste » de l’opposition est un monsieur qui ne fait rien, mais absolument rien dans l’intérêt des habitants de
Tomblaine et qui, par contre, passe son temps à nous donner des leçons, à commenter, à nous contrôler, à suspecter.
C’est ainsi qu’il avait fait une grande arrivée lors de son premier Conseil Municipal, en ne votant pas les subventions aux
associations locales, sous prétexte qu’il n’aurait pas eu suffisament d’informations à ce sujet…
Ce qui démontrait qu’il ne connaissait pas du tout la vie municipale et encore moins celle de nos associations…

Au Conseil de mercredi, il était intervenu sur chacune des 12 premières délibérations depuis une heure et demi !
Et, par exemple, sur le premier point à l’ordre du jour, magnifique document du « Projet Eco-Citoyen pour Tomblaine »,
sur lequel nous avons tant travaillé pendant des mois et pour lequel le service communication s’est tant investi, ce
monsieur n’a relevé qu’une seule chose… une coquille ! Une simple erreur de frappe qui voit deux lettres s’inverser
en 107 pages de document… Cela valait-il vraiment la peine de faire une intervention pour cela ? A moins qu’il ne
s’agisse juste de tenter d’exister en présence de la presse ?

Alors, à la 12ème délibération et à son nième intervention, je lui ai dit « je suis très étonné monsieur de vous voir aussi
actif aujourd’hui, pour quelqu’un qui est Conseiller Municipal et qui n’a pas mis les pieds à la Mairie depuis trois mois et
demi… »

A plusieurs reprises, il a alors tenté de me couper la parole, prétendant même « qu’il n’y aurait pas de démocratie dans
ce Conseil Municipal, parce que je ne le laissais pas parler… » (cela faisait quand même une heure et demi qu’il intervenait
librement à tous propos…). Alors, j’ai développé : « depuis le 2 juin dernier, vous avez été absent à toutes les séances du
CCAS, à toutes les réunions de commissions et à toutes les réunions de commission MAPA auxquelles vous avez été invité,
vous avez aussi été absent (excusé) au Conseil Municipal de début juillet… » Et là, vous intervenez sans cesse, parceque la
presse est présente et que vous cherchez à exister.
Il m’a rétorqué que les convocations à certaines commissions lui seraient arrivées quelques jours seulement avant la séance…
Mais je remarque que tous les autres élus étaient présents à ces réunions…
Je lui dis alors « voyez-vous monsieur, depuis une heure et demi vous nous adressez des bons et des mauvais points, mais vous n’êtes
pas notre maître d’école… Je considère qu’un Conseiller Municipal doit s’investir et travailler dans l’intérêt général, au service de
nos concitoyens et, en étant absent si longtemps, en ne travaillant pas, vous prenez la place d’un autre qui aurait peut-être assumé
ses responsabilités vis à vis de la population…
On ne vous a pas vu non plus de tout l’été, sur aucune des nombreuses manifestations que nous avons organisées pour la population,
sur aucune des actions organisées pour les jeunes, alors que pendant votre campagne, vous prétendiez qu’on ne faisait rien pour les jeunes… »

Après ce coup de froid, ce monsieur n’a plus pris la parole (ça calme)  jusqu’à la fin du Conseil Municipal où tout a été voté à l’unanimité,
sauf… la 14ème délibération : une motion du Conseil pour demander au Président de la République et au Gouvernement d’engager le
processus de ratification du traité d’interdiction des armes nucléaires, adopté par l’ONU le 7 juillet 2017 et entré en viguer le 22 janvier 2021…
Et bien ce monsieur a voté contre… Lui qui ramène tous les sujets à sa profession de médecin… Cela m’interroge un petit peu.

Quant à notre majorité au Conseil Municipal, tout va bien, on travaille beaucoup pour Tomblaine et tous ses habitants.
Hervé Féron.

Conseil Municipal mercredi soir à Tomblaine, avec tout d’abord un hommage ému rendu à Pierre Marande et Olivier
Rambaut qui nous ont quittés, suivi d’une minute de silence.
Au Conseil Municipal de Tomblaine l’opposition n’a que trois sièges, car elle n’avait fait qu’un petit score aux municipales.
Au bout d’une heure et demi de Conseil, à la 12ème délibération, je n’ai pu m’empêcher de réagir et je souhaiterais m’en expliquer.
La « tête de liste » de l’opposition est un monsieur qui ne fait rien, mais absolument rien dans l’intérêt des habitants de
Tomblaine et qui, par contre, passe son temps à nous donner des leçons, à commenter, à nous contrôler, à suspecter.
C’est ainsi qu’il avait fait une grande arrivée lors de son premier Conseil Municipal, en ne votant pas les subventions aux
associations locales, sous prétexte qu’il n’aurait pas eu suffisament d’informations à ce sujet…
Ce qui démontrait qu’il ne connaissait pas du tout la vie municipale et encore moins celle de nos associations…

Au Conseil de mercredi, il était intervenu sur chacune des 12 premières délibérations depuis une heure et demi !
Et, par exemple, sur le premier point à l’ordre du jour, magnifique document du « Projet Eco-Citoyen pour Tomblaine »,
sur lequel nous avons tant travaillé pendant des mois et pour lequel le service communication s’est tant investi, ce
monsieur n’a relevé qu’une seule chose… une coquille ! Une simple erreur de frappe qui voit deux lettres s’inverser
en 107 pages de document… Cela valait-il vraiment la peine de faire une intervention pour cela ? A moins qu’il ne
s’agisse juste de tenter d’exister en présence de la presse ?

Alors, à la 12ème délibération et à son nième intervention, je lui ai dit « je suis très étonné monsieur de vous voir aussi
actif aujourd’hui, pour quelqu’un qui est Conseiller Municipal et qui n’a pas mis les pieds à la Mairie depuis trois mois et
demi… »

A plusieurs reprises, il a alors tenté de me couper la parole, prétendant même « qu’il n’y aurait pas de démocratie dans
ce Conseil Municipal, parce que je ne le laissais pas parler… » (cela faisait quand même une heure et demi qu’il intervenait
librement à tous propos…). Alors, j’ai développé : « depuis le 2 juin dernier, vous avez été absent à toutes les séances du
CCAS, à toutes les réunions de commissions et à toutes les réunions de commission MAPA auxquelles vous avez été invité,
vous avez aussi été absent (excusé) au Conseil Municipal de début juillet… » Et là, vous intervenez sans cesse, parceque la
presse est présente et que vous cherchez à exister.
Il m’a rétorqué que les convocations à certaines commissions lui seraient arrivées quelques jours seulement avant la séance…
Mais je remarque que tous les autres élus étaient présents à ces réunions…
Je lui dis alors « voyez-vous monsieur, depuis une heure et demi vous nous adressez des bons et des mauvais points, mais vous n’êtes
pas notre maître d’école… Je considère qu’un Conseiller Municipal doit s’investir et travailler dans l’intérêt général, au service de
nos concitoyens et, en étant absent si longtemps, en ne travaillant pas, vous prenez la place d’un autre qui aurait peut-être assumé
ses responsabilités vis à vis de la population…
On ne vous a pas vu non plus de tout l’été, sur aucune des nombreuses manifestations que nous avons organisées pour la population,
sur aucune des actions organisées pour les jeunes, alors que pendant votre campagne, vous prétendiez qu’on ne faisait rien pour les jeunes… »

Après ce coup de froid, ce monsieur n’a plus pris la parole (ça calme)  jusqu’à la fin du Conseil Municipal où tout a été voté à l’unanimité,
sauf… la 14ème délibération : une motion du Conseil pour demander au Président de la République et au Gouvernement d’engager le
processus de ratification du traité d’interdiction des armes nucléaires, adopté par l’ONU le 7 juillet 2017 et entré en viguer le 22 janvier 2021…
Et bien ce monsieur a voté contre… Lui qui ramène tous les sujets à sa profession de médecin… Cela m’interroge un petit peu.

Quant à notre majorité au Conseil Municipal, tout va bien, on travaille beaucoup pour Tomblaine et tous ses habitants.
Hervé Féron.

Je voudrais exprimer quelques désaccords avec ce que l’on a pu lire dans la presse.
Autant je remercie le journaliste de m’avoir donné la parole, autant je souhaite répondre à des propos 
déjà trop entendus dans la bouche du Président du SLUC Basket.

Je lis : « Avant de modifier les termes du bail, il aurait été important d’emprunter le chemin de la concertation »,
puis « la méthode employée par la puissance publique – ah la technostructure qui tord le bras du politique –
n’a ni préparé, ni bien ficelé le dossier. »

Ce n’est pas la première fois, l’an dernier déjà le président du SLUC avait utilisé très injustement ces arguments.
Mais c’est faux et plutôt mesquin d’affirmer cela et surtout de façon récurente. Le seul sujet c’est qu’il n’est pas partageur…

Je m’explique : 
=> depuis l’an dernier les discussions entre les services de la Métropole et les deux clubs ont eu lieu sans cesse, 
car il était évident qu’il allait falloir partager.
=> C’est dès début mai que j’ai écrit personnellement au nom de la Métropole, en concertation avec les deux clubs 
de handball et de basket, aux deux Ligues nationales pour leur demander d’harmoniser leurs calendriers dans la perspective
de la nécessaire mutualisation de la salle. Le SLUC n’a donc absolument rien découvert tardivement.
=> Avec le SLUC, les services de la Métropole ont fait 5 réunions depuis début d’avril (!) pour préparer cette saison, dont une pour 
laquelle le SLUC n’est pas venu sans prévenir, ni s’excuser… La volonté de concertation était donc bien réelle.
=> Même si nous avions anticipé depuis longtemps en envisageant les nombreuses hypothèses possibles (contraintes sanitaires 
prolongées ? Jauges restreintes ou non à la reprise des championnats ? Montée du SLUC ? Montée du GNMHB ? Nouvelles exigences
réglementaires des différentes Ligues ?…) et même si les services de la Métropole ont travaillé d’arrache-pied sur ce sujet compliqué, 
nous n’avons eu connaissance des calendriers des deux championnats que… fin juillet !!!
=> Nous n’avons eu connaissance de l’accession du GNMHB en Starligue que le samedi 5 juin au soir !

C’est dire la réactivité et l’opiniatreté de la Métropole à résoudre cette difficle équation !

En conclusion, et parce que je ne souhaite pas polémiquer stérilement sur les autres sujets, il n’y a pas de lourdeur d’une »technostructure », 
mais il y a un sujet très complexe, pour lequel les services de la Métropole ont travaillé en vrais professionnels depuis longtemps et en 
connaissance parfaite de tous les aspects de ce dossier. Les services de la Métropole, en concertation avec moi, en tant que Vice-Président, 
ont donc bien préparé et bien ficelé le dossier. Même lorsque le SLUC a exprimé successivement et tardivement de nouvelles exigences.

Quant à « la technostructure qui tordrait le bas du politique »… Franchement, tout le monde me connait ! Qui pourrait imaginer, ne serait-ce 
qu’un instant que je serais du genre à me laisser tordre le bras par qui que ce soit ? Il n’y a aucun problème entre les techniciens de la Métropole
qui ont, par défintion une connaissance technique que le vice-président n’a pas, et moi « le politique ». On travaille en concertation et je me dis que 
j’ai beaucoup de chance de travailler avec ces équipes-là.

Il n’y a aucune fâcherie, cela n’a pas lieu d’être, nous continuerons à travailler dans l’intérêt de tous les clubs professionnels avec lesquels nous
sommes partenaires et nous souhaitons à chacun d’entre eux le meilleur. Il y aura d’autres difficultés (qui aujourd’hui connait les nouveaux aléas
que connaitra cette saison nouvelle ?), on le sait. Mais nous allons prendre obstacle après obstacle, travailler, prendre de la hauteur, jusqu’à dunker
dans le panier de chacune de ces difficultés… On ne gagne qu’ensemble.
Hervé Féron.

Je voudrais exprimer quelques désaccords avec ce que l’on a pu lire dans la presse.
Autant je remercie le journaliste de m’avoir donné la parole, autant je souhaite répondre à des propos 
déjà trop entendus dans la bouche du Président du SLUC Basket.

Je lis : « Avant de modifier les termes du bail, il aurait été important d’emprunter le chemin de la concertation »,
puis « la méthode employée par la puissance publique – ah la technostructure qui tord le bras du politique –
n’a ni préparé, ni bien ficelé le dossier. »

Ce n’est pas la première fois, l’an dernier déjà le président du SLUC avait utilisé très injustement ces arguments.
Mais c’est faux et plutôt mesquin d’affirmer cela et surtout de façon récurente. Le seul sujet c’est qu’il n’est pas partageur…

Je m’explique : 
=> depuis l’an dernier les discussions entre les services de la Métropole et les deux clubs ont eu lieu sans cesse, 
car il était évident qu’il allait falloir partager.
=> C’est dès début mai que j’ai écrit personnellement au nom de la Métropole, en concertation avec les deux clubs 
de handball et de basket, aux deux Ligues nationales pour leur demander d’harmoniser leurs calendriers dans la perspective
de la nécessaire mutualisation de la salle. Le SLUC n’a donc absolument rien découvert tardivement.
=> Avec le SLUC, les services de la Métropole ont fait 5 réunions depuis début d’avril (!) pour préparer cette saison, dont une pour 
laquelle le SLUC n’est pas venu sans prévenir, ni s’excuser… La volonté de concertation était donc bien réelle.
=> Même si nous avions anticipé depuis longtemps en envisageant les nombreuses hypothèses possibles (contraintes sanitaires 
prolongées ? Jauges restreintes ou non à la reprise des championnats ? Montée du SLUC ? Montée du GNMHB ? Nouvelles exigences
réglementaires des différentes Ligues ?…) et même si les services de la Métropole ont travaillé d’arrache-pied sur ce sujet compliqué, 
nous n’avons eu connaissance des calendriers des deux championnats que… fin juillet !!!
=> Nous n’avons eu connaissance de l’accession du GNMHB en Starligue que le samedi 5 juin au soir !

C’est dire la réactivité et l’opiniatreté de la Métropole à résoudre cette difficle équation !

En conclusion, et parce que je ne souhaite pas polémiquer stérilement sur les autres sujets, il n’y a pas de lourdeur d’une »technostructure », 
mais il y a un sujet très complexe, pour lequel les services de la Métropole ont travaillé en vrais professionnels depuis longtemps et en 
connaissance parfaite de tous les aspects de ce dossier. Les services de la Métropole, en concertation avec moi, en tant que Vice-Président, 
ont donc bien préparé et bien ficelé le dossier. Même lorsque le SLUC a exprimé successivement et tardivement de nouvelles exigences.

Quant à « la technostructure qui tordrait le bas du politique »… Franchement, tout le monde me connait ! Qui pourrait imaginer, ne serait-ce 
qu’un instant que je serais du genre à me laisser tordre le bras par qui que ce soit ? Il n’y a aucun problème entre les techniciens de la Métropole
qui ont, par défintion une connaissance technique que le vice-président n’a pas, et moi « le politique ». On travaille en concertation et je me dis que 
j’ai beaucoup de chance de travailler avec ces équipes-là.

Il n’y a aucune fâcherie, cela n’a pas lieu d’être, nous continuerons à travailler dans l’intérêt de tous les clubs professionnels avec lesquels nous
sommes partenaires et nous souhaitons à chacun d’entre eux le meilleur. Il y aura d’autres difficultés (qui aujourd’hui connait les nouveaux aléas
que connaitra cette saison nouvelle ?), on le sait. Mais nous allons prendre obstacle après obstacle, travailler, prendre de la hauteur, jusqu’à dunker
dans le panier de chacune de ces difficultés… On ne gagne qu’ensemble.
Hervé Féron.

Le saviez-vous ? la Ville de Tomblaine s’est vue décerner, il y 
a quelques mois le Label national : 
« Villes et villages où il fait bon vivre » !
C’est pourquoi désormais, vous pouvez voir ces panneaux en entrée de ville.

 

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