Agir pour vous et avec vous

Jour : 6 septembre 2022 (Page 1 de 2)

Nous sommes un tout petit peu irrités…

Nous sommes trois, nous devions rentrer de Montpellier  à Nancy aujourd’hui mardi. Pour cela, comme la SNCF et l’Etat français ont si peu de considération pour notre région, il n’existait aucun train direct… Partis de la gare de Montpellier (TGV prévu à 17h10), il nous fallait donc passer par Paris (Roissy Charles de Gaule), changer de train, avec une courte correspondance (c’était risqué, mais il n’existe aucune autre possibilité, ce pays est en sous-développement),  pour aller à la gare TGV Metz-Nancy Lorraine (au milieu des champs de patates…) et là, à 22h25, quelqu’un devait venir nous chercher en voiture (bonjour le bilan carbone !) pour nous ramener à Tomblaine !!!

Quelle tristesse ! Mais, cela aurait été trop simple. Il est de plus en plus rare que les trains de la SNCF arrivent à l’heure, mais il est de plus en plus rare aujourd’hui qu’ils démarrent à l’heure !

Nous sommes donc montés dans notre TGV à 17h… Mais le TGV ne démarrait pas. Au bout d’un moment, une annonce fut faite, on nous apprenait que les portes du train ne voulaient pas se fermer (un sketch ?)

Au bout de quarante minutes, sans voir le moindre représentant de cette docte société qu’est la SNCF et donc sans explications supplémentaires, notre « TGV » a démarré… Il a fallu un certain temps pour qu’une personne que je pense être le chef du train, vienne à notre rencontre. Ce monsieur, aimable et plein de bonne volonté, se trouvait fort dépourvu, puisque d’une part son téléphone était en panne (un autre sketch ?) et d’autre part, il ne pouvait que nous assurer que nous avions raté notre correspondance, mais il n’était pas habilité à nous dire ce que la SNCF allait pouvoir nous proposer une fois arrivé à Paris, car tout cela est décidé par des gens de la SNCF qui sont dans des bureaux et que pour l’instant ils ne disaient rien (solitude, quand tu nous tiens !)

Il était particulièrement ennuyé, mais il ne pouvait pas nous renseigner, nous avons dû nous débrouiller tout seuls pour chercher sur nos téléphones des solutions via internet et découvrir… qu’il n’y en avait pas. Pas de train après notre arrivée à Paris, de quelque gare que ce soit, en direction de Nancy, de Metz, de Mulhouse, ou même de Strasbourg… Alors que nous étions  prêts à tout…

Le chef de train ne pouvait pas nous dire non plus avant Lyon si la SNCF nous logerait à Paris. Et de toute manière, le lendemain matin le premier train partait d’une autre gare (Gare de l’Est) et nous faisait arriver à Nancy beaucoup trop tard pour des gens qui travaillent tôt…

Il faut préciser aussi que dans ce TGV les toilettes étaient dans un état lamentable, qu’à la voiture bar d’où étaient multipliées les annonces pour « attirer le client » (le problème étant bien là, il n’y a plus d’usagers, il n’y a plus que des clients), la machine à café… était en panne (encore un sketch ?) !!! On a véritablement crû à une caméra cachée.

Géronte aurait dit à Scapin : « mais diable ! Qu’allais-tu faire dans cette galère ? »  En effet, nous aurions été plus à notre aise dans une galère et, au moins,  nous aurions été sûrs de notre arrivée si nous avions dû ramer ! 

Nous avons demandé si notre train (Paris – Metz – Nancy – Lorraine) ne pouvait pas attendre 10 minutes (puisque finalement c’est le temps qu’il aurait fallu) pour que nous puissions faire la jonction… « Ah non messieurs-dames » nous a-t-on répondu avec un sourire narquois, comme si on était des demeurés… « cela ne se pratique plus depuis longtemps ». 

Histoire de rigoler un peu (ces gens-là sont décidément très drôles !), il nous a même été demandé si en plus (d’un air de dire qu’on exagérait) on ne voulait pas qu’on nous offre le café ! On aurait bien répondu oui, mais comme la machine à café était en panne !!!

Finalement, nous nous sommes débrouillés tout seuls pour trouver une solution et depuis notre train réserver par internet, puis par téléphone, une voiture à louer à Paris qu’il faudrait rendre le lendemain à Nancy (rebonjour le bilan carbone !)

Ce n’est qu’à 20h09 que le chef de train est venu nous dire que la SNCF nous offrait l’hébergement pour la nuit à Charles de Gaule ! Quant à la suite, comment continuer notre voyage le lendemain ? A nous de nous débrouiller…

Prévenus trop tard de cette possibilité (notre inquiétude avait commencé à 17h10), nous avons expliqué que nous avions dû louer une voiture et que par conséquent, nous refusions la nuit à l’hôtel.
Quand nous avons posé la question d’un éventuel dédommagement de la SNCF, il nous a été répondu « à la limite une partie de votre billet vous sera remboursée, mais pas plus… puisque vous avez refusé la nuit à l’hôtel !!! » Nous avons eu beau expliquer que cette proposition ne nous avait été faite qu’à 20h09 et qu’il fallait bien, en pleine incertitude, que nous tentions de trouver une solution, la SNCF n’entend rien.

Il est vrai que lorsqu’on entend les annonces nous prévenir de faire attention à la marche en descendant du train, on pourrait penser soit que la SNCF est bienveillante, mais là on a la démonstration du contraire, soit qu’elle nous prend pour des gogos et là on en a pleine confirmation.

Je vous écrit depuis le TGV, comme pour lancer un appel de détresse, une bouteille à la mer… Nous ne sommes pas encore arrivés… et nous ne savons pas si nous arriverons. 

Il est cependant probable que nous n’arriverons pas à Nancy avant 3h30 du matin… 

Je me dis que je comprends le PSG qui voyage en jet, car ce gouvernement qui donne des leçons à tout le monde ferait bien déjà d’assumer ses responsabilités. Et je me dis aussi que la prochaine fois j’essaierai le char à voile…

Nous sommes un tout petit peu irrités…

Nous sommes trois, nous devions rentrer de Montpellier  à Nancy aujourd’hui mardi. Pour cela, comme la SNCF et l’Etat français ont si peu de considération pour notre région, il n’existait aucun train direct… Partis de la gare de Montpellier (TGV prévu à 17h10), il nous fallait donc passer par Paris (Roissy Charles de Gaule), changer de train, avec une courte correspondance (c’était risqué, mais il n’existe aucune autre possibilité, ce pays est en sous-développement),  pour aller à la gare TGV Metz-Nancy Lorraine (au milieu des champs de patates…) et là, à 22h25, quelqu’un devait venir nous chercher en voiture (bonjour le bilan carbone !) pour nous ramener à Tomblaine !!!

Quelle tristesse ! Mais, cela aurait été trop simple. Il est de plus en plus rare que les trains de la SNCF arrivent à l’heure, mais il est de plus en plus rare aujourd’hui qu’ils démarrent à l’heure !

Nous sommes donc montés dans notre TGV à 17h… Mais le TGV ne démarrait pas. Au bout d’un moment, une annonce fut faite, on nous apprenait que les portes du train ne voulaient pas se fermer (un sketch ?)

Au bout de quarante minutes, sans voir le moindre représentant de cette docte société qu’est la SNCF et donc sans explications supplémentaires, notre « TGV » a démarré… Il a fallu un certain temps pour qu’une personne que je pense être le chef du train, vienne à notre rencontre. Ce monsieur, aimable et plein de bonne volonté, se trouvait fort dépourvu, puisque d’une part son téléphone était en panne (un autre sketch ?) et d’autre part, il ne pouvait que nous assurer que nous avions raté notre correspondance, mais il n’était pas habilité à nous dire ce que la SNCF allait pouvoir nous proposer une fois arrivé à Paris, car tout cela est décidé par des gens de la SNCF qui sont dans des bureaux et que pour l’instant ils ne disaient rien (solitude, quand tu nous tiens !)

Il était particulièrement ennuyé, mais il ne pouvait pas nous renseigner, nous avons dû nous débrouiller tout seuls pour chercher sur nos téléphones des solutions via internet et découvrir… qu’il n’y en avait pas. Pas de train après notre arrivée à Paris, de quelque gare que ce soit, en direction de Nancy, de Metz, de Mulhouse, ou même de Strasbourg… Alors que nous étions  prêts à tout…

Le chef de train ne pouvait pas nous dire non plus avant Lyon si la SNCF nous logerait à Paris. Et de toute manière, le lendemain matin le premier train partait d’une autre gare (Gare de l’Est) et nous faisait arriver à Nancy beaucoup trop tard pour des gens qui travaillent tôt…

Il faut préciser aussi que dans ce TGV les toilettes étaient dans un état lamentable, qu’à la voiture bar d’où étaient multipliées les annonces pour « attirer le client » (le problème étant bien là, il n’y a plus d’usagers, il n’y a plus que des clients), la machine à café… était en panne (encore un sketch ?) !!! On a véritablement crû à une caméra cachée.

Géronte aurait dit à Scapin : « mais diable ! Qu’allais-tu faire dans cette galère ? »  En effet, nous aurions été plus à notre aise dans une galère et, au moins,  nous aurions été sûrs de notre arrivée si nous avions dû ramer ! 

Nous avons demandé si notre train (Paris – Metz – Nancy – Lorraine) ne pouvait pas attendre 10 minutes (puisque finalement c’est le temps qu’il aurait fallu) pour que nous puissions faire la jonction… « Ah non messieurs-dames » nous a-t-on répondu avec un sourire narquois, comme si on était des demeurés… « cela ne se pratique plus depuis longtemps ». 

Histoire de rigoler un peu (ces gens-là sont décidément très drôles !), il nous a même été demandé si en plus (d’un air de dire qu’on exagérait) on ne voulait pas qu’on nous offre le café ! On aurait bien répondu oui, mais comme la machine à café était en panne !!!

Finalement, nous nous sommes débrouillés tout seuls pour trouver une solution et depuis notre train réserver par internet, puis par téléphone, une voiture à louer à Paris qu’il faudrait rendre le lendemain à Nancy (rebonjour le bilan carbone !)

Ce n’est qu’à 20h09 que le chef de train est venu nous dire que la SNCF nous offrait l’hébergement pour la nuit à Charles de Gaule ! Quant à la suite, comment continuer notre voyage le lendemain ? A nous de nous débrouiller…

Prévenus trop tard de cette possibilité (notre inquiétude avait commencé à 17h10), nous avons expliqué que nous avions dû louer une voiture et que par conséquent, nous refusions la nuit à l’hôtel.
Quand nous avons posé la question d’un éventuel dédommagement de la SNCF, il nous a été répondu « à la limite une partie de votre billet vous sera remboursée, mais pas plus… puisque vous avez refusé la nuit à l’hôtel !!! » Nous avons eu beau expliquer que cette proposition ne nous avait été faite qu’à 20h09 et qu’il fallait bien, en pleine incertitude, que nous tentions de trouver une solution, la SNCF n’entend rien.

Il est vrai que lorsqu’on entend les annonces nous prévenir de faire attention à la marche en descendant du train, on pourrait penser soit que la SNCF est bienveillante, mais là on a la démonstration du contraire, soit qu’elle nous prend pour des gogos et là on en a pleine confirmation.

Je vous écrit depuis le TGV, comme pour lancer un appel de détresse, une bouteille à la mer… Nous ne sommes pas encore arrivés… et nous ne savons pas si nous arriverons. 

Il est cependant probable que nous n’arriverons pas à Nancy avant 3h30 du matin… 

Je me dis que je comprends le PSG qui voyage en jet, car ce gouvernement qui donne des leçons à tout le monde ferait bien déjà d’assumer ses responsabilités. Et je me dis aussi que la prochaine fois j’essaierai le char à voile…

Actuellement un groupe d’une bonne trentaine de personnes séjourne à la Grande Motte avec de nombreuses activités chaque jour.
Hébergés dans un centre de vacances confortable au bord de l’étang sur la presqu’île du Ponant, dans un cadre à la végétation luxurieuse, quand nos vacanciers ne profitent pas des piscines et du soleil, ils visitent… Et par exemple, ils ont pris le petit train des Cévennes, visité une bambouseraie, repas au restaurant, puis musée de la Maison Rouge (histoire des Cévennes et du ver à soie…), le Pont de Millau (repas aveyronnais au restaurant), les caves de Roquefort. Ils ont visité le musée de l’étang de Thau, un mas qui fait de la conchyliculture, avec restaurant, bien sûr, puis visite d’un parc à huîtres en bateau sur l’Etang de Thau, Aigues Mortes et la Cave des Vins de Sable… Une croisière sur le Petit Rhône, avec visite des Saintes Marie de la Mer, etc.
Laurence Jacquot est mise à la disposition par la Commune de Tomblaine pour accompagner le groupe de personnes âgées avec bienveillance.
Nous leur avons rendu une petite visite lundi et mardi, avec Denise Gundelwein, Première Adjointe au Maire et Vice-Présidente du CCAS et Ralph Lallemand, Conseiller Municipal et administrateur du CCAS.
Nous avons pu constater que le moral est au beau fixe, tout le monde se dit satisfait (sauf qu’il y a des moustiques !!!), l’ambiance dans le groupe est très sympa.
L’objectif du CCAS qui participe financièrement et organise ces séjours, est de lutter contre la solitude, l’isolement et de favoriser le resserrement du lien social.
Et puis, mardi matin, il s’est mis à pleuvoir, alors qu’une promenade en bateau depuis le port de Sète était programmée… Elle a été remplacée au pied levé par une visite de l’exceptionnel Musée Georges Brassens, puis le groupe s’est rendu au cimetière de Sète, à proximité, sur la tombe du « grand Georges »… Mythique !
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Actuellement un groupe d’une bonne trentaine de personnes séjourne à la Grande Motte avec de nombreuses activités chaque jour.
Hébergés dans un centre de vacances confortable au bord de l’étang sur la presqu’île du Ponant, dans un cadre à la végétation luxurieuse, quand nos vacanciers ne profitent pas des piscines et du soleil, ils visitent… Et par exemple, ils ont pris le petit train des Cévennes, visité une bambouseraie, repas au restaurant, puis musée de la Maison Rouge (histoire des Cévennes et du ver à soie…), le Pont de Millau (repas aveyronnais au restaurant), les caves de Roquefort. Ils ont visité le musée de l’étang de Thau, un mas qui fait de la conchyliculture, avec restaurant, bien sûr, puis visite d’un parc à huîtres en bateau sur l’Etang de Thau, Aigues Mortes et la Cave des Vins de Sable… Une croisière sur le Petit Rhône, avec visite des Saintes Marie de la Mer, etc.
Laurence Jacquot est mise à la disposition par la Commune de Tomblaine pour accompagner le groupe de personnes âgées avec bienveillance.
Nous leur avons rendu une petite visite lundi et mardi, avec Denise Gundelwein, Première Adjointe au Maire et Vice-Présidente du CCAS et Ralph Lallemand, Conseiller Municipal et administrateur du CCAS.
Nous avons pu constater que le moral est au beau fixe, tout le monde se dit satisfait (sauf qu’il y a des moustiques !!!), l’ambiance dans le groupe est très sympa.
L’objectif du CCAS qui participe financièrement et organise ces séjours, est de lutter contre la solitude, l’isolement et de favoriser le resserrement du lien social.
Et puis, mardi matin, il s’est mis à pleuvoir, alors qu’une promenade en bateau depuis le port de Sète était programmée… Elle a été remplacée au pied levé par une visite de l’exceptionnel Musée Georges Brassens, puis le groupe s’est rendu au cimetière de Sète, à proximité, sur la tombe du « grand Georges »… Mythique !
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
La Plage des deux Rives a fermé ses portes dimanche, après deux mois et demi d’activités de loisirs en bords de Meurthe, pour la plus grande satisfaction de très nombreux habitants de la Métropole du Grand Nancy.
La Métropole a développé une offre pour tous, valorisant les atouts de son territoire, ainsi que les tendances nationales en matière de pratique de loisirs, tout en s’inscrivant dans une démarche de développement durable.
Face aux enjeux du réchauffement climatique, la gestion de la ressource en eau devient une préoccupation majeure pour laquelle nous devons tous nous adapter et trouver des solutions afin de préserver cette ressource naturelle.
Ainsi, les bassins aquatiques temporaires mis en place sur la rive de Tomblaine, représentent 480m3 d’eau dont le chlore a été neutralisé chimiquement dès la clôture du dispositif.
La Ville de Nancy était à la recherche d’une solution pour l’arrosage des jardins éphémères compte tenu de la nécessité d’un arrosage exclusivement à partir d’une eau recyclée, conformément à l’arrêté sècheresse en vigueur.
La Ville de Tomblaine possède une cuve de récupération d’eau de pluie de 800m3, qui était remplie à hauteur de 30%. Celle-ci sera mise à disposition par la commune pour le stockage puis la réutilisation de l’eau qui sera proposée par la Ville de Tomblaine aux autres communes voisines.
Une solution de transport de l’eau a été mise en œuvre par les services de la Métropole en coopération avec la Ville de Nancy et le soutien de la Fédération Départementale des Syndicats d’Exploitants Agricoles.
L’organisation pratique de l’acheminement a pu se faire aujourd’hui mardi. Le transport entre les bassins et les lieux de stockage restant sur le même secteur, il a donc pu se faire avec un faible taux d’empreinte carbone.
Les moyens de stockage de la Ville de Nancy ne permettant finalement pas d’assurer une étanchéité optimale, ce sont une centaine de mètres3 qui ont été acheminés à Nancy et plus de 350 m3 qui ont été stockés à Tomblaine. Si nécessaire, la Ville de Nancy viendra puiser de l’eau pour les jardins éphémères dans la cuve de Tomblaine.
 
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