Agir pour vous et avec vous

Mois : décembre 2022 (Page 9 de 18)

Tout d’abord, il s’agissait d’inaugurer le nouveau terrain de football synthétique de Tomblaine et de lui donner
officiellement le nom de Corinne Diacre, en présence de la sélectionneuse de l’équipe de France féminine de footbal, en personne.
Ensuite, étant donné les conditions climatiques, tout le monde s’est retrouvé à l’Espace Jean Jaurès où Corinne Diacre a visité avec un vif intérêt les installations sportives et rencontré les acteurs de la vie associative et sportive de Tomblaine.
Corinne Diacre est « la » grande dame du football féminin français, si sa carrière est remarquable, autant comme joueuse que comme sélectionneuse, c’est une belle personne, dans tous les sens du terme. Elle est agréable, disponible pour les gens qui l’approchent (elle est très populaire), franchement, elle est une chance pour la Fédération Française de Football et pour le sport féminin en général. Si on attend impatiemment que l’équipe de France masculine accroche une troisième étoile à son maillot, il est évident que Corinne Diacre aura largement contribué à ce que la FFF accroche un quatrième « F » à son acronyme : le « F » de « Femme ».
De très nombreux acteurs du foot régional étaient présents : du District de Meurthe et Moselle, de l’ASNL, des clubs environnants, de nombreuses jeunes filles (et parfois très, très jeunes) en tenues de footballeuses avaient fait le déplacement, malgré la neige, le froid et le verglas. Corinne Diacre avec beaucoup de gentillesse a donné des autographes et s’est pliée à l’exercice des selfies,
prenant le temps de discuter avec chacun. Toutes ces gamines avaient des étoiles dans les yeux…
L’équipe sénior féminine de l’ASNL, qui a gagné cette année la Coupe du Grand Est, était présente, la nouvelle équipe féminine du GSA Tomblaine du président Ralph Lallemand a été présentée officiellement, des équipes féminines de jeunes de l’ASNL, de Luné ville, de Villers… ont été présentées et chaque fois avec la photo souvenir qui deviendra collector…
C’était la grande fête du sport féminin et cela donnera envie à beaucoup de petites filles de pratiquer ce sport.
Merci Corinne, on est tous devenu supporters de l’Équipe de France féminine !
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Tout d’abord, il s’agissait d’inaugurer le nouveau terrain de football synthétique de Tomblaine et de lui donner
officiellement le nom de Corinne Diacre, en présence de la sélectionneuse de l’équipe de France féminine de footbal, en personne.
Ensuite, étant donné les conditions climatiques, tout le monde s’est retrouvé à l’Espace Jean Jaurès où Corinne Diacre a visité avec un vif intérêt les installations sportives et rencontré les acteurs de la vie associative et sportive de Tomblaine.
Corinne Diacre est « la » grande dame du football féminin français, si sa carrière est remarquable, autant comme joueuse que comme sélectionneuse, c’est une belle personne, dans tous les sens du terme. Elle est agréable, disponible pour les gens qui l’approchent (elle est très populaire), franchement, elle est une chance pour la Fédération Française de Football et pour le sport féminin en général. Si on attend impatiemment que l’équipe de France masculine accroche une troisième étoile à son maillot, il est évident que Corinne Diacre aura largement contribué à ce que la FFF accroche un quatrième « F » à son acronyme : le « F » de « Femme ».
De très nombreux acteurs du foot régional étaient présents : du District de Meurthe et Moselle, de l’ASNL, des clubs environnants, de nombreuses jeunes filles (et parfois très, très jeunes) en tenues de footballeuses avaient fait le déplacement, malgré la neige, le froid et le verglas. Corinne Diacre avec beaucoup de gentillesse a donné des autographes et s’est pliée à l’exercice des selfies,
prenant le temps de discuter avec chacun. Toutes ces gamines avaient des étoiles dans les yeux…
L’équipe sénior féminine de l’ASNL, qui a gagné cette année la Coupe du Grand Est, était présente, la nouvelle équipe féminine du GSA Tomblaine du président Ralph Lallemand a été présentée officiellement, des équipes féminines de jeunes de l’ASNL, de Luné ville, de Villers… ont été présentées et chaque fois avec la photo souvenir qui deviendra collector…
C’était la grande fête du sport féminin et cela donnera envie à beaucoup de petites filles de pratiquer ce sport.
Merci Corinne, on est tous devenu supporters de l’Équipe de France féminine !
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Grand Nancy Thermal,

Mémoire et sagesse ?

Il faudra tout de même se souvenir… Si le Grand Nancy Thermal est devenu un projet souhaitable et d’intérêt public, c’est parce que, et uniquement parce que, à quelques uns (et nous n’étions pas très nombreux), nous nous sommes opposés au scandaleux montage porté par André Rossinot, François Werner et la droite du Grand Nancy… Le Grand Nancy Thermal allait coûter une fortune à la Métropole déjà sur-endettée à l’époque (il suffit de relire mes interventions en Conseil de Métropole à l’époque, mes posts sur mon site herveferon.fr, puis le rapport de la Cour des Comptes en 2020… Tout est dit…)

Outre toutes les irrégularités relevées dans ce dossier et la façon dont le marché avait été attribué, le déni de démocratie, l’absence d’information aux élus du Conseil de Métropole… face aux dizaines de millions d’euros que la Métropole allait devoir injecter dans ce projet, il y avait les dizaines de millions d’euros de bénéfices que le délégataire annonçait dans son business plan et qui allaient être ainsi reversés sous forme de dividendes aux actionnaires privés…

Par ailleurs, le projet consistait à proposer, à côté de la cure, une offre de baignade moindre et réservée à une autre catégorie de la population, en pratiquant des prix moins accessibles…

Les élus de gauche, eux, ont alors manqué de courage, on ne les entendait pas, voire, ils votaient ce projet scandaleux.

Nous avons été, à l’époque trois élus métropolitains, une élue de la Ville de Nancy et le collectif du Bien Commun à nous opposer à ce projet, alors que nous avons toujours affirmé que nous souhaitions un Grand Nancy Thermal, mais pas dans ces conditions. Il n’y avait pas de connivences particulières entre nous, nous n’avons jamais été des opposants stupides, de principe, mais nous avions travaillé et nous posions les bonnes questions, la suite nous a donné raison.

Ça n’a pas été facile. Pour ma part, j’ai été insulté, menacé, on a fait pression sur moi, j’aurais beaucoup à raconter sur ces basses manoeuvres, mais c’est d’un tel niveau que cela ne mérite pas de revenir là-dessus.

Vous avez été des milliers à me soutenir à l’époque, à me liker, à m’encourager, mes sites sur les réseaux sociaux croulaient sous les témoignages de sympathie et je n’ai pas oublié, je ne vous ai pas oubliés.

C’est pourquoi, je trouve aujourd’hui qu’à la rubrique « hommages et remerciements », il faut savoir sagesse garder.

Certains aujourd’hui parlent haut et fort, se gaussent, se vantent, ont oublié ce qu’ils disaient à l’époque, ou ce qu’ils défendaient… sans honte…

Il faut reconnaitre à Mathieu Klein le fait qu’il ait permis que cette médiation puisse aboutir, ce que tous les acteurs de ce psychodrame ne souhaitaient pas forcément (même parmi ceux qui aujourd’hui se réjouissent apparemment du dénouement…)

Avec le collectif « le Bien Commun », nous sommes donc allés en justice contre les aspects qui nous paraissaient scandaleux, illégaux et / ou injustes, en dernier recours et uniquement parce qu’on refusait de nous entendre. Toute discussion était impossible.

De longs mois plus tard, le tribunal nous a rendu justice et nous a donné raison. C’est donc grâce à cela qu’une médiation judiciaire a été possible. C’est donc grâce à cette action d’une poignée d’entre nous, face au rouleau compresseur de la Métropole de cette époque, qu’aujourd’hui le Grand Nancy Thermal devient un projet d’intérêt public, que la Métropole qui détiendra 85% des parts, percevra 85% des bénéfices, ce qui atténuera largement son investissement…

Mesdames, messieurs l’argent public est votre argent ! Les élus doivent assumer leurs responsabilités.

C’est aussi grâce à notre action que l’offre aquatique au grand public le sera désormais aux même conditions d’accès que pour le reste de l’aquapôle métropolitain.

Je sais, je dérange, mais mon propos ne se veut ni agressif, ni revanchard. Il est juste sincère et je trouve parfois qu’à vouloir être trop gentil, on perd la mémoire et perdre la mémoire, c’est perdre le sens…

Grand Nancy Thermal,

Mémoire et sagesse ?

Il faudra tout de même se souvenir… Si le Grand Nancy Thermal est devenu un projet souhaitable et d’intérêt public, c’est parce que, et uniquement parce que, à quelques uns (et nous n’étions pas très nombreux), nous nous sommes opposés au scandaleux montage porté par André Rossinot, François Werner et la droite du Grand Nancy… Le Grand Nancy Thermal allait coûter une fortune à la Métropole déjà sur-endettée à l’époque (il suffit de relire mes interventions en Conseil de Métropole à l’époque, mes posts sur mon site herveferon.fr, puis le rapport de la Cour des Comptes en 2020… Tout est dit…)

Outre toutes les irrégularités relevées dans ce dossier et la façon dont le marché avait été attribué, le déni de démocratie, l’absence d’information aux élus du Conseil de Métropole… face aux dizaines de millions d’euros que la Métropole allait devoir injecter dans ce projet, il y avait les dizaines de millions d’euros de bénéfices que le délégataire annonçait dans son business plan et qui allaient être ainsi reversés sous forme de dividendes aux actionnaires privés…

Par ailleurs, le projet consistait à proposer, à côté de la cure, une offre de baignade moindre et réservée à une autre catégorie de la population, en pratiquant des prix moins accessibles…

Les élus de gauche, eux, ont alors manqué de courage, on ne les entendait pas, voire, ils votaient ce projet scandaleux.

Nous avons été, à l’époque trois élus métropolitains, une élue de la Ville de Nancy et le collectif du Bien Commun à nous opposer à ce projet, alors que nous avons toujours affirmé que nous souhaitions un Grand Nancy Thermal, mais pas dans ces conditions. Il n’y avait pas de connivences particulières entre nous, nous n’avons jamais été des opposants stupides, de principe, mais nous avions travaillé et nous posions les bonnes questions, la suite nous a donné raison.

Ça n’a pas été facile. Pour ma part, j’ai été insulté, menacé, on a fait pression sur moi, j’aurais beaucoup à raconter sur ces basses manoeuvres, mais c’est d’un tel niveau que cela ne mérite pas de revenir là-dessus.

Vous avez été des milliers à me soutenir à l’époque, à me liker, à m’encourager, mes sites sur les réseaux sociaux croulaient sous les témoignages de sympathie et je n’ai pas oublié, je ne vous ai pas oubliés.

C’est pourquoi, je trouve aujourd’hui qu’à la rubrique « hommages et remerciements », il faut savoir sagesse garder.

Certains aujourd’hui parlent haut et fort, se gaussent, se vantent, ont oublié ce qu’ils disaient à l’époque, ou ce qu’ils défendaient… sans honte…

Il faut reconnaitre à Mathieu Klein le fait qu’il ait permis que cette médiation puisse aboutir, ce que tous les acteurs de ce psychodrame ne souhaitaient pas forcément (même parmi ceux qui aujourd’hui se réjouissent apparemment du dénouement…)

Avec le collectif « le Bien Commun », nous sommes donc allés en justice contre les aspects qui nous paraissaient scandaleux, illégaux et / ou injustes, en dernier recours et uniquement parce qu’on refusait de nous entendre. Toute discussion était impossible.

De longs mois plus tard, le tribunal nous a rendu justice et nous a donné raison. C’est donc grâce à cela qu’une médiation judiciaire a été possible. C’est donc grâce à cette action d’une poignée d’entre nous, face au rouleau compresseur de la Métropole de cette époque, qu’aujourd’hui le Grand Nancy Thermal devient un projet d’intérêt public, que la Métropole qui détiendra 85% des parts, percevra 85% des bénéfices, ce qui atténuera largement son investissement…

Mesdames, messieurs l’argent public est votre argent ! Les élus doivent assumer leurs responsabilités.

C’est aussi grâce à notre action que l’offre aquatique au grand public le sera désormais aux même conditions d’accès que pour le reste de l’aquapôle métropolitain.

Je sais, je dérange, mais mon propos ne se veut ni agressif, ni revanchard. Il est juste sincère et je trouve parfois qu’à vouloir être trop gentil, on perd la mémoire et perdre la mémoire, c’est perdre le sens…

Décidément, Tomblaine est une ville sportive : dimanche dernier visite d’Aurélien Fortier et Sylvain Lautié, président et coach du SLUC Nancy Basket, à l’occasion du match de basket féminin en Nationale 3 de l’ASPTT Nancy- Tomblaine / Aujourd’hui visite de Corinne Diacre sélectionneuse de l’équipe de France Féminine de football, qui donne son nom au nouveau terrain de football synthétique de Tomblaine / et demain vendredi, c’est le Président de la Fédération Française de Gymnastique qui rend visite au club de Tomblaine « Rondade Salto », pour voir notre salle de gymnastique.
Et, comme toujours à Tomblaine, ça se terminera par le verre de l’amitié…
 
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