Agir pour vous et avec vous

Mois : janvier 2023 (Page 12 de 14)

Plus de 350 personnes avaient répondu mercredi soir à l’invitation que la Ville de Tomblaine leur avait adressée.De nombreux élu(e)s, des maires, des vice-président(e)s de la Métropole du Grand Nancy, madame la présidente du tribunal Judiciaire, les partenaires, directeurs généraux des offices HLM, police, pompiers, Education Nationale, les président(e)s d’associations locales, les personnels municipaux…
Après une prise de parole du Directeur Général des Services Jacques Schliklin, qui a présenté les voeux au nom des personnels municipaux, le maire de Tomblaine a commencé son discours en déclarant « Les voeux du Maire sont le 1er acte politique de l’année. Je pense que les cérémonies de voeux des élus sont, en général, trop convenues, trop feutrées, pour que les petits fours soient digestes, à une époque où les urgences sanitaires, comme sociales sont devenues inaccessibles et inhospitalières. Si ces voeux ne sont pas un acte politique, cela devient une habitude bourgeoise et stérile… Je vais donc ce soir, faire un petit peu de politique… Et l’on dira peut-être que j’ai mauvais caractère, alors que je suis un garçon charmant… »
Alors, on a parlé de l’Etat… puis de l’état… de la France, de la Métropole, et puis le maire a ajouté : « Pendant ce temps-là, à Tomblaine, petit village d’irréductibles tomblainois, pendant que la crise économique bat son plein, les habitants et les élus débordent d’énergie… »
Comme en 2023, on fêtera les 30 ans de l’Espace Jean Jaurès, inauguré en son temps par Job Durupt et par le Préfet Erignac (ça a du sens, tout de même !), le discours fut conclu par une citation de Jean Jaurès, en forme de voeux pour 2023 « l’affirmation de la Paix est le plus grand des combats ».
Des élèves de l’école de musique Tempo, emblématique de l’activité culturelle tomblainoise : deux soeurs jumelles de 8 ans Lili et Anne ont joué du piano et Aglaë, 8 ans aussi, a chanté, pendant que le verre de la Fraternité a été servi à table.
Cette soirée conviviale s’est terminée en musique, et même sur la piste de danse…
 
 
 
 
 
Plus de 350 personnes avaient répondu mercredi soir à l’invitation que la Ville de Tomblaine leur avait adressée.De nombreux élu(e)s, des maires, des vice-président(e)s de la Métropole du Grand Nancy, madame la présidente du tribunal Judiciaire, les partenaires, directeurs généraux des offices HLM, police, pompiers, Education Nationale, les président(e)s d’associations locales, les personnels municipaux…
Après une prise de parole du Directeur Général des Services Jacques Schliklin, qui a présenté les voeux au nom des personnels municipaux, le maire de Tomblaine a commencé son discours en déclarant « Les voeux du Maire sont le 1er acte politique de l’année. Je pense que les cérémonies de voeux des élus sont, en général, trop convenues, trop feutrées, pour que les petits fours soient digestes, à une époque où les urgences sanitaires, comme sociales sont devenues inaccessibles et inhospitalières. Si ces voeux ne sont pas un acte politique, cela devient une habitude bourgeoise et stérile… Je vais donc ce soir, faire un petit peu de politique… Et l’on dira peut-être que j’ai mauvais caractère, alors que je suis un garçon charmant… »
Alors, on a parlé de l’Etat… puis de l’état… de la France, de la Métropole, et puis le maire a ajouté : « Pendant ce temps-là, à Tomblaine, petit village d’irréductibles tomblainois, pendant que la crise économique bat son plein, les habitants et les élus débordent d’énergie… »
Comme en 2023, on fêtera les 30 ans de l’Espace Jean Jaurès, inauguré en son temps par Job Durupt et par le Préfet Erignac (ça a du sens, tout de même !), le discours fut conclu par une citation de Jean Jaurès, en forme de voeux pour 2023 « l’affirmation de la Paix est le plus grand des combats ».
Des élèves de l’école de musique Tempo, emblématique de l’activité culturelle tomblainoise : deux soeurs jumelles de 8 ans Lili et Anne ont joué du piano et Aglaë, 8 ans aussi, a chanté, pendant que le verre de la Fraternité a été servi à table.
Cette soirée conviviale s’est terminée en musique, et même sur la piste de danse…
 
 
 
 
 
La restauration scolaire à Tomblaine est un peu victime de son succès. Cela est dû vraisemblablement à la démarche qualité : ce service n’est pas concédé à une société privée, tout fonctionne en régie municipale, les repas sont fabriqués par les employés municipaux, à base de produits frais, les objectifs en matières de produits bio, labellisés, ou / et de circuits courts sont volontaristes, malgré la crise, la hausse des matières premières et des fluides et les
difficultés d’approvisionnement… La démarche qualité, on la trouve aussi dans l’accessibilité par des prix adaptés, ou encore dans l’encadrement des enfants, dans le cadre de vie, les conditions d’accueil, la pédagogie, l’éducation au goût…
Ce succès, parallèlement aux difficultés des familles générées par la crise sanitaire, a pour conséquence une augmentation sensible du nombre d’enfants fréquentant la restauration scolaire : en deux ans, on est passé d’une fréquentation moyenne d’un peu plus de 300 enfants par jour à des pointes parfois de 580 enfants par jour.
Ce service est dirigé par Corinne Pailler, pour la partie restauration-économat et par Patricia Herman pour la partie encadrement. Chaque groupe scolaire dispose de locaux pour la restauration intra-muros ou à proximité immédiate, sauf le groupe scolaire Pierre Brossolette qui est transporté chaque jour par le bus municipal jusqu’au Centre de Loisirs Léo Lagrange, en plusieurs aller et retours.
Avant les vacances scolaires, j’avais adressé un courrier aux familles de l’école maternelle Pierre Brossolette, pour les informer que, pour de meilleures conditions pour les enfants et pour l’équipe encadrante, à la rentrée les enfants de l’école maternelle qui fréquentent la restauration scolaire (environ 50 chaque jour) n’auront plus à prendre le bus. Il peuvent désormais déjeuner dans une salle de l’école élémentaire (l’ouverture de la nouvelle école Job
Durupt l’an dernier a permis de dé-densifier l’école Brossolette et de libérer des salles). Quelques aménagements ont donc été réalisés par les services techniques de la ville dans une salle, qui sert aussi les matins et les soirs aux Ateliers d’Accueil, celle-ci est très chaleureuse.
Les enfants mangent en deux services de 25, d’abord les plus petits, ensuite les plus grands. Pendant ce temps-là, ceux qui ne sont pas à table peuvent bénéficier de la cour de l’école maternelle pour jouer ou bien du gymnase.
Ils sont accueillis par Jessy, le cuisinier, qui assure aussi le transport de la nourriture par thermoport, dans des conditions d’hygiène optimales et Marie, « la maîtresse de maison ». Le personnel d’encadrement est aussi nombreux que dans la formule précédente.
Ainsi, cette nouvelle organisation permet à tous de déjeuner plus dans le calme et d’être plus détendu. Moins de concentration d’enfants, moins de pression, ils ne prennent pas le bus, c’est aussi plus de sécurité, car ils ne quittent pas le périmètre scolaire.
Bon appétit, les petits !!!
 
 
 
 
La restauration scolaire à Tomblaine est un peu victime de son succès. Cela est dû vraisemblablement à la démarche qualité : ce service n’est pas concédé à une société privée, tout fonctionne en régie municipale, les repas sont fabriqués par les employés municipaux, à base de produits frais, les objectifs en matières de produits bio, labellisés, ou / et de circuits courts sont volontaristes, malgré la crise, la hausse des matières premières et des fluides et les
difficultés d’approvisionnement… La démarche qualité, on la trouve aussi dans l’accessibilité par des prix adaptés, ou encore dans l’encadrement des enfants, dans le cadre de vie, les conditions d’accueil, la pédagogie, l’éducation au goût…
Ce succès, parallèlement aux difficultés des familles générées par la crise sanitaire, a pour conséquence une augmentation sensible du nombre d’enfants fréquentant la restauration scolaire : en deux ans, on est passé d’une fréquentation moyenne d’un peu plus de 300 enfants par jour à des pointes parfois de 580 enfants par jour.
Ce service est dirigé par Corinne Pailler, pour la partie restauration-économat et par Patricia Herman pour la partie encadrement. Chaque groupe scolaire dispose de locaux pour la restauration intra-muros ou à proximité immédiate, sauf le groupe scolaire Pierre Brossolette qui est transporté chaque jour par le bus municipal jusqu’au Centre de Loisirs Léo Lagrange, en plusieurs aller et retours.
Avant les vacances scolaires, j’avais adressé un courrier aux familles de l’école maternelle Pierre Brossolette, pour les informer que, pour de meilleures conditions pour les enfants et pour l’équipe encadrante, à la rentrée les enfants de l’école maternelle qui fréquentent la restauration scolaire (environ 50 chaque jour) n’auront plus à prendre le bus. Il peuvent désormais déjeuner dans une salle de l’école élémentaire (l’ouverture de la nouvelle école Job
Durupt l’an dernier a permis de dé-densifier l’école Brossolette et de libérer des salles). Quelques aménagements ont donc été réalisés par les services techniques de la ville dans une salle, qui sert aussi les matins et les soirs aux Ateliers d’Accueil, celle-ci est très chaleureuse.
Les enfants mangent en deux services de 25, d’abord les plus petits, ensuite les plus grands. Pendant ce temps-là, ceux qui ne sont pas à table peuvent bénéficier de la cour de l’école maternelle pour jouer ou bien du gymnase.
Ils sont accueillis par Jessy, le cuisinier, qui assure aussi le transport de la nourriture par thermoport, dans des conditions d’hygiène optimales et Marie, « la maîtresse de maison ». Le personnel d’encadrement est aussi nombreux que dans la formule précédente.
Ainsi, cette nouvelle organisation permet à tous de déjeuner plus dans le calme et d’être plus détendu. Moins de concentration d’enfants, moins de pression, ils ne prennent pas le bus, c’est aussi plus de sécurité, car ils ne quittent pas le périmètre scolaire.
Bon appétit, les petits !!!
 
 
 
 
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