Agir pour vous et avec vous

Mois : janvier 2023 (Page 14 de 14)

Il sont bien arrivés à St Jean de Sixt ! Pour plus de cent enfants de Tomblaine, élèves de CM2, accompagnés par leurs enseignants et les animateurs, le voyage s’est déroulé dans de bonnes conditions.

Partis de Tomblaine à 9h45, sous les yeux un peu tristes de leurs parents et des élus venus leur dire au revoir,  ils se sont arrêtés vers midi pour déjeuner et ils sont arrivés à 17h15. 

Logés à St Jean de Sixt, ils vont vivre une magnifique aventure avec ces classes de neige de deux semaines et demi. Dès que la neige sera tombée (l’année est exceptionnelle…), ils iront skier tous les jours sur les pentes de la station de La Clusaz, mais d’autres activités nombreuses sont au programme, des balades, des visites (musée, ferme d’alpage…), des randonnées en raquettes, du ski de fond, du biathlon (avec des fusils à laser), des veillées, des jeux, il vont même profiter de la piscine qui se trouve dans l’établissement où ils sont hébergés. Sans oublier, bien sûr … la classe une demi-journée par jour !

 

C’est la soixantième fois que les classes de neige auront lieu à Tomblaine, qui a été la première commune du département à en organiser et reste une des très rares à continuer… Après deux années de classes de neige annulées pour raison de crise sanitaire, c’est un retour à une belle tradition.

 

A Tomblaine, tous les enfants savent skier, savent nager, ont pratiqué la gymnastique pendant toute leur scolarité, ont bénéficié d’une session de canoë kayak… 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il sont bien arrivés à St Jean de Sixt ! Pour plus de cent enfants de Tomblaine, élèves de CM2, accompagnés par leurs enseignants et les animateurs, le voyage s’est déroulé dans de bonnes conditions.

Partis de Tomblaine à 9h45, sous les yeux un peu tristes de leurs parents et des élus venus leur dire au revoir,  ils se sont arrêtés vers midi pour déjeuner et ils sont arrivés à 17h15. 

Logés à St Jean de Sixt, ils vont vivre une magnifique aventure avec ces classes de neige de deux semaines et demi. Dès que la neige sera tombée (l’année est exceptionnelle…), ils iront skier tous les jours sur les pentes de la station de La Clusaz, mais d’autres activités nombreuses sont au programme, des balades, des visites (musée, ferme d’alpage…), des randonnées en raquettes, du ski de fond, du biathlon (avec des fusils à laser), des veillées, des jeux, il vont même profiter de la piscine qui se trouve dans l’établissement où ils sont hébergés. Sans oublier, bien sûr … la classe une demi-journée par jour !

 

C’est la soixantième fois que les classes de neige auront lieu à Tomblaine, qui a été la première commune du département à en organiser et reste une des très rares à continuer… Après deux années de classes de neige annulées pour raison de crise sanitaire, c’est un retour à une belle tradition.

 

A Tomblaine, tous les enfants savent skier, savent nager, ont pratiqué la gymnastique pendant toute leur scolarité, ont bénéficié d’une session de canoë kayak… 

 

 

 

 

 

 

 

 

Puisqu’on est à l’époque de toutes les rétrospectives, je voudrais revenir sur un article paru pendant les fêtes de fin d’années dans mon quotidien préféré… une page entière consacrée à la Plage des deux rives. Sympa…

Je suis juste en désaccord profond avec le titre : « Un jeune projet qui divise de vieux adversaires ».

D’abord, parce que moi, je ne suis pas vieux. Les gens qui me connaissent bien savent que je suis très jeune… et depuis très longtemps.

Ensuite, parce que je ne suis pas l’adversaire de l’autre maire dont il est question. Je n’ai jamais été son adversaire, dans quelle qu’élection que ce soit, soit parce qu’il n’a pas osé, soit parce qu’il n’avait pas obtenu l’investiture de son parti…

Je sais juste qu’il existe parce que, chaque fois que je prends la parole au Conseil de Métropole, il demande la parole derrière moi, c’est systématique, facile à observer et cela fait même sourire sur tous les bancs de l’assemblée à chaque fois, tant c’est grotesque. Moi, je le trouve « rigolo ».

On m’a confié les sports et les grands événements et je comprends que cela le rende amer, il accompagne d’ailleurs systématiquement ses interventions par une sorte de tic verbal, quand il dit « je sais un petit peu de quoi je cause, car j’ai été prof de sport » (dans une école privée).

Alors, non, je ne participe pas à ces chamailleries, dignes de cour de récréation d’école maternelle. Au contraire, il s’énerve tout seul et tout le temps. Je ne suis donc pas son adversaire. D’ailleurs nous n’évoluons pas dans le luttes picrocholines, pour tenter de se frayer un parcours aussi personnel que politicard.

Et voilà qu’il combat le projet de la Plage des deux Rives, sans cesse depuis deux ans et demi… Dossier qui m’a été confié ! Là aussi cela le dérange, car il sait bien que lorsqu’il avait cette délégation et que la droite était aux affaires, ce projet existait déjà, ils auraient bien voulu le mettre en œuvre et cela, depuis dix ans ! mais ils n’ont jamais eu ni le courage, ni la capacité de le faire. Et lorsqu’il parle aujourd’hui de la situation budgétaire de la Métropole en professant (déformation professionnelle) qu’il faudrait faire des économies, il oublie de dire que c’est sa majorité qui a créé cette situation catastrophique. 
Ce que je dénonçais régulièrement sur mon site (on peut vérifier) et ce que la Chambre des Comptes a repris dans son rapport en 2020 (on peut vérifier…)

– La première année, il n’a pas voté pour la Plage des deux Rives, prétextant qu’on allait « empêcher les passants de donner du pain aux canards et aux cygnes » !
Nous lui avons gentiment expliqué qu’il était hors sujet, parce que justement il ne faut pas donner du pain aux canards et aux cygnes, ça les rend malades et ça peut les tuer ! De plus, les aménagements de la Plage des deux Rives ont permis d’installer une signalétique pour informer et sensibiliser les gens à la protection de ces animaux. Et toute personne qui fréquente cet endroit l’été a pu constater que les canards, les cygnes et les humains cohabitent parfaitement ! 

– Mais la réalité, c’est que ce monsieur est dérangé par notre incroyable réussite populaire. Aussi, cultive-t-il depuis deux ans le paradoxe entre le fait qu’il tient à ce que, dans tous nos documents, on annonce que sa ville est partie prenante… et dans le même temps, il combat ce projet. En trois ans, il n’a jamais voté pour !
La Plage des deux Rives s’étend en réalité sur Nancy et sur Tomblaine et il souhaite que St Max en bénéficie aussi, ce que je trouve bien, mais il est allé très loin dans le ridicule, le jour où il a écrit, au président et à moi, qu’il demandait que la Plage des deux Rives change de nom, pour s’appeler … la Plage des trois Rives  (sic) !!!

– Alors la deuxième année, il a changé son argumentation, attaquant sur le coût. Pensant là encore ne pas être très crédible, il évoquait le coût sur trois ans, laissant penser qu’il s’agissait du coût sur une année… Et même là, il était dans l’exagération (il parlait de 4 millions !!!) Ma réponse, donnée plusieurs fois, consiste à savoir sagesse garder et à ne considérer que le coût d’une année. En le divisant par le nombre de personnes utilisatrices, on aboutit à un service public de grande qualité et vraiment pas cher du tout…

– Premier épisode de la saison trois de cette saga qui n’intéresse vraiment personne, voilà qu’il a affûté ces arguments aujourd’hui… En, fait, il nourrit son argumentaire de notre réussite, il observe ce qui fonctionne bien et il y apporte des critiques. Il a dit qu’il y aurait des joueurs de pétanque sur le terrain de St Max qui boiraient trop et qu’ils se fourniraient à la guinguette de la Plage des deux Rives (j’ai vérifié, c’est faux), il propose donc de fermer les guinguettes / Il revient sur le coût, mais là son argumentation n’a pas évolué d’un pouce, malgré l’inflation… / Il prétend qu’en ces temps de crise sanitaire et de sécheresse, les bassins ne sont pas écolos… nous répondons que c’est une vraie démarche sanitaire que de proposer en été une offre de baignade gratuite en plein air… / Et là, dernière idée lumineuse, (on n’a d’ailleurs toujours pas compris pourquoi ?), il demande à ce que la Plage des deux Rives continue, mais …sans les bassins de baignade !!!

C’est le royaume du Roi Ubu… On prend la Plage des deux Rives, on enlève d’abord les bassins de baignade, puis on enlève les guinguettes, puis on enlèvera les transats,
puis le terrain de volley, peut-être même le terrain de pétanque et pourquoi pas le sable ? Ensuite, s’il reste des gens, on les enlèvera…

« Oui, et nous éblouirons nos compatriotes des récits de nos aventures » disait Ubu…

C’est vrai que le grotesque méritait bien qu’on lui consacrât un article de presse et que je perdisse mon temps à vous relater tout ça… Merdre alors !

Bonne année à tous ! Je suis toujours jeune, en pleine forme et parfois même un peu taquin !!!

Et si vous voulez en savoir plus : la Plage des deux Rives, les vacances à proximité…

Les habitants du Grand Nancy attendaient ça depuis si longtemps !

Le Président de la Métropole du Grand Nancy, m’a chargé au début de ce mandat, dans le cadre de ma vice-présidence, de créer « La Plage des deux Rives ». 
Dès la première année cela a été une formidable réussite populaire, malgré un été pluvieux en 2021. En 2022, la canicule et la sécheresse étaient au rendez-vous, 
mais malgré toutes ces difficultés, nous avons amélioré encore cette proposition de
« vacances en ville » et les 165 000 personnes qui ont fréquenté la Plage des 
deux Rives de mi-juin à début septembre démontrent toute la pertinence de la démarche.

Il s’agit de réconcilier la population avec la nature, à proximité de l’Espace Naturel Sensible de 17 Ha sur les Îles de l’Encensoir et du Foulon, la Plage des deux Rives s’étend sur 40 000 m² en rives de Meurthe : 8000 m² côté Nancy, appelés « la Prairie de la Méchelle » et, côté Tomblaine : plus de 30 000 m² avec « l’îlot bucolique » sous le Pont de la Concorde et le complexe aquatique et l’éco-zone. On y trouve également une « boucle des mobilités douces » de 3,7km. La Métropole a aménagé ces espaces et planté de nombreux arbres, d’autres plantations viendront. Les estivants y trouvent des espaces de détente, d’activités aquatiques, ou sportives (terrain de beach-volley, de pétanque côté Tomblaine, le village olympique côté Nancy), une plage de sable, une guinguette sur chaque rive, des concerts 
côté Nancy … L’offre d’animation est très importante, grâce à la mobilisation de nombreuses associations sportives ou culturelles de l’agglomération, ainsi on danse 
la salsa au bord de l’eau, au coucher du soleil, on peut s’initier à la pratique du canoë-kayak ou de l’aviron, on peut faire un tour en bateau électrique sur la Meurthe et mieux observer les magnifiques oiseaux qui nichent dans la roselière sur l’île non accessible, parce que protégée… 

Tout est gratuit, on peut, en famille, en toute sérénité, s’amuser, se détendre se reposer.

C’est populaire, c’est respectueux de la nature, c’est réussi !

 

 

 

Puisqu’on est à l’époque de toutes les rétrospectives, je voudrais revenir sur un article paru pendant les fêtes de fin d’années dans mon quotidien préféré… une page entière consacrée à la Plage des deux rives. Sympa…

Je suis juste en désaccord profond avec le titre : « Un jeune projet qui divise de vieux adversaires ».

D’abord, parce que moi, je ne suis pas vieux. Les gens qui me connaissent bien savent que je suis très jeune… et depuis très longtemps.

Ensuite, parce que je ne suis pas l’adversaire de l’autre maire dont il est question. Je n’ai jamais été son adversaire, dans quelle qu’élection que ce soit, soit parce qu’il n’a pas osé, soit parce qu’il n’avait pas obtenu l’investiture de son parti…

Je sais juste qu’il existe parce que, chaque fois que je prends la parole au Conseil de Métropole, il demande la parole derrière moi, c’est systématique, facile à observer et cela fait même sourire sur tous les bancs de l’assemblée à chaque fois, tant c’est grotesque. Moi, je le trouve « rigolo ».

On m’a confié les sports et les grands événements et je comprends que cela le rende amer, il accompagne d’ailleurs systématiquement ses interventions par une sorte de tic verbal, quand il dit « je sais un petit peu de quoi je cause, car j’ai été prof de sport » (dans une école privée).

Alors, non, je ne participe pas à ces chamailleries, dignes de cour de récréation d’école maternelle. Au contraire, il s’énerve tout seul et tout le temps. Je ne suis donc pas son adversaire. D’ailleurs nous n’évoluons pas dans le luttes picrocholines, pour tenter de se frayer un parcours aussi personnel que politicard.

Et voilà qu’il combat le projet de la Plage des deux Rives, sans cesse depuis deux ans et demi… Dossier qui m’a été confié ! Là aussi cela le dérange, car il sait bien que lorsqu’il avait cette délégation et que la droite était aux affaires, ce projet existait déjà, ils auraient bien voulu le mettre en œuvre et cela, depuis dix ans ! mais ils n’ont jamais eu ni le courage, ni la capacité de le faire. Et lorsqu’il parle aujourd’hui de la situation budgétaire de la Métropole en professant (déformation professionnelle) qu’il faudrait faire des économies, il oublie de dire que c’est sa majorité qui a créé cette situation catastrophique. 
Ce que je dénonçais régulièrement sur mon site (on peut vérifier) et ce que la Chambre des Comptes a repris dans son rapport en 2020 (on peut vérifier…)

– La première année, il n’a pas voté pour la Plage des deux Rives, prétextant qu’on allait « empêcher les passants de donner du pain aux canards et aux cygnes » !
Nous lui avons gentiment expliqué qu’il était hors sujet, parce que justement il ne faut pas donner du pain aux canards et aux cygnes, ça les rend malades et ça peut les tuer ! De plus, les aménagements de la Plage des deux Rives ont permis d’installer une signalétique pour informer et sensibiliser les gens à la protection de ces animaux. Et toute personne qui fréquente cet endroit l’été a pu constater que les canards, les cygnes et les humains cohabitent parfaitement ! 

– Mais la réalité, c’est que ce monsieur est dérangé par notre incroyable réussite populaire. Aussi, cultive-t-il depuis deux ans le paradoxe entre le fait qu’il tient à ce que, dans tous nos documents, on annonce que sa ville est partie prenante… et dans le même temps, il combat ce projet. En trois ans, il n’a jamais voté pour !
La Plage des deux Rives s’étend en réalité sur Nancy et sur Tomblaine et il souhaite que St Max en bénéficie aussi, ce que je trouve bien, mais il est allé très loin dans le ridicule, le jour où il a écrit, au président et à moi, qu’il demandait que la Plage des deux Rives change de nom, pour s’appeler … la Plage des trois Rives  (sic) !!!

– Alors la deuxième année, il a changé son argumentation, attaquant sur le coût. Pensant là encore ne pas être très crédible, il évoquait le coût sur trois ans, laissant penser qu’il s’agissait du coût sur une année… Et même là, il était dans l’exagération (il parlait de 4 millions !!!) Ma réponse, donnée plusieurs fois, consiste à savoir sagesse garder et à ne considérer que le coût d’une année. En le divisant par le nombre de personnes utilisatrices, on aboutit à un service public de grande qualité et vraiment pas cher du tout…

– Premier épisode de la saison trois de cette saga qui n’intéresse vraiment personne, voilà qu’il a affûté ces arguments aujourd’hui… En, fait, il nourrit son argumentaire de notre réussite, il observe ce qui fonctionne bien et il y apporte des critiques. Il a dit qu’il y aurait des joueurs de pétanque sur le terrain de St Max qui boiraient trop et qu’ils se fourniraient à la guinguette de la Plage des deux Rives (j’ai vérifié, c’est faux), il propose donc de fermer les guinguettes / Il revient sur le coût, mais là son argumentation n’a pas évolué d’un pouce, malgré l’inflation… / Il prétend qu’en ces temps de crise sanitaire et de sécheresse, les bassins ne sont pas écolos… nous répondons que c’est une vraie démarche sanitaire que de proposer en été une offre de baignade gratuite en plein air… / Et là, dernière idée lumineuse, (on n’a d’ailleurs toujours pas compris pourquoi ?), il demande à ce que la Plage des deux Rives continue, mais …sans les bassins de baignade !!!

C’est le royaume du Roi Ubu… On prend la Plage des deux Rives, on enlève d’abord les bassins de baignade, puis on enlève les guinguettes, puis on enlèvera les transats,
puis le terrain de volley, peut-être même le terrain de pétanque et pourquoi pas le sable ? Ensuite, s’il reste des gens, on les enlèvera…

« Oui, et nous éblouirons nos compatriotes des récits de nos aventures » disait Ubu…

C’est vrai que le grotesque méritait bien qu’on lui consacrât un article de presse et que je perdisse mon temps à vous relater tout ça… Merdre alors !

Bonne année à tous ! Je suis toujours jeune, en pleine forme et parfois même un peu taquin !!!

Et si vous voulez en savoir plus : la Plage des deux Rives, les vacances à proximité…

Les habitants du Grand Nancy attendaient ça depuis si longtemps !

Le Président de la Métropole du Grand Nancy, m’a chargé au début de ce mandat, dans le cadre de ma vice-présidence, de créer « La Plage des deux Rives ». 
Dès la première année cela a été une formidable réussite populaire, malgré un été pluvieux en 2021. En 2022, la canicule et la sécheresse étaient au rendez-vous, 
mais malgré toutes ces difficultés, nous avons amélioré encore cette proposition de
« vacances en ville » et les 165 000 personnes qui ont fréquenté la Plage des 
deux Rives de mi-juin à début septembre démontrent toute la pertinence de la démarche.

Il s’agit de réconcilier la population avec la nature, à proximité de l’Espace Naturel Sensible de 17 Ha sur les Îles de l’Encensoir et du Foulon, la Plage des deux Rives s’étend sur 40 000 m² en rives de Meurthe : 8000 m² côté Nancy, appelés « la Prairie de la Méchelle » et, côté Tomblaine : plus de 30 000 m² avec « l’îlot bucolique » sous le Pont de la Concorde et le complexe aquatique et l’éco-zone. On y trouve également une « boucle des mobilités douces » de 3,7km. La Métropole a aménagé ces espaces et planté de nombreux arbres, d’autres plantations viendront. Les estivants y trouvent des espaces de détente, d’activités aquatiques, ou sportives (terrain de beach-volley, de pétanque côté Tomblaine, le village olympique côté Nancy), une plage de sable, une guinguette sur chaque rive, des concerts 
côté Nancy … L’offre d’animation est très importante, grâce à la mobilisation de nombreuses associations sportives ou culturelles de l’agglomération, ainsi on danse 
la salsa au bord de l’eau, au coucher du soleil, on peut s’initier à la pratique du canoë-kayak ou de l’aviron, on peut faire un tour en bateau électrique sur la Meurthe et mieux observer les magnifiques oiseaux qui nichent dans la roselière sur l’île non accessible, parce que protégée… 

Tout est gratuit, on peut, en famille, en toute sérénité, s’amuser, se détendre se reposer.

C’est populaire, c’est respectueux de la nature, c’est réussi !

 

 

 

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