Décidément, il nous aura tout fait…
Le président Macron continue dans la provocation et le dédain. Il « remanie » en catimini, au coeur de l’été. Comme s’il avait honte. Il confirme sa première ministre, comme s’il adressait un monumental bras d’honneur aux centaines de milliers de français qui ont manifesté tout le printemps dans les rues. Il les ignore, il les méprise.
Que retenir de ses cent jours ? Sinon un nouveau flop, un médiocre artifice de communication. Pendant ces cent jours, il y a eu les violences urbaines qui ont mis le feu à la France et à tout ce qui peut représenter la République, le président Macron a été une fois de plus insuffisant. Il promet que les maires vont être soutenus et protégés, il n’a de cesse de les accabler de charges nouvelles, de tracasseries technocratiques et de diminutions des dotations qui ont comme incidence la dégradation du service public. Ses promesses ne sont que mensonges : depuis
ces nuits de violences, les auteurs sont toujours dans la rue, terrorisant les pauvres gens jours et nuits et cela en toute impunité, car les procureurs tout puissants, ne poursuivent pas, classent sans suite et les policiers sont démunis. Je ne tiens pas là un discours sécuritaire, je constate que les pauvres gens ne sont pas défendus et nous les maires, nous ne pouvons plus rien y faire. Nous sommes empêchés de toute possibilité d’agir, nous ne sommes ni soutenus, ni protégés.
C’est la France de la technocratie qui aura eu raison de la démocratie républicaine.
Quant au pitoyable « remaniement »… quand un président seul, isolé et sans majorité en vient à remplacer quelques rares ministres, dont certains trimballent de sérieuses casseroles, par ses propres conseillers, on touche le fond du misérabilisme.
Et puis il y a Carole Grandjean, ministre inutile… confirmée dans ses fonctions !
Elle est censée s’occuper de la formation professionnelle…
Savez-vous que sous Macron, les aides à l’embauche d’apprentis ou de jeunes en alternance ont été complètement supprimées aux communes ?
Jour : 24 juillet 2023
Décidément, il nous aura tout fait…
Le président Macron continue dans la provocation et le dédain. Il « remanie » en catimini, au coeur de l’été. Comme s’il avait honte. Il confirme sa première ministre, comme s’il adressait un monumental bras d’honneur aux centaines de milliers de français qui ont manifesté tout le printemps dans les rues. Il les ignore, il les méprise.
Que retenir de ses cent jours ? Sinon un nouveau flop, un médiocre artifice de communication. Pendant ces cent jours, il y a eu les violences urbaines qui ont mis le feu à la France et à tout ce qui peut représenter la République, le président Macron a été une fois de plus insuffisant. Il promet que les maires vont être soutenus et protégés, il n’a de cesse de les accabler de charges nouvelles, de tracasseries technocratiques et de diminutions des dotations qui ont comme incidence la dégradation du service public. Ses promesses ne sont que mensonges : depuis
ces nuits de violences, les auteurs sont toujours dans la rue, terrorisant les pauvres gens jours et nuits et cela en toute impunité, car les procureurs tout puissants, ne poursuivent pas, classent sans suite et les policiers sont démunis. Je ne tiens pas là un discours sécuritaire, je constate que les pauvres gens ne sont pas défendus et nous les maires, nous ne pouvons plus rien y faire. Nous sommes empêchés de toute possibilité d’agir, nous ne sommes ni soutenus, ni protégés.
C’est la France de la technocratie qui aura eu raison de la démocratie républicaine.
Quant au pitoyable « remaniement »… quand un président seul, isolé et sans majorité en vient à remplacer quelques rares ministres, dont certains trimballent de sérieuses casseroles, par ses propres conseillers, on touche le fond du misérabilisme.
Et puis il y a Carole Grandjean, ministre inutile… confirmée dans ses fonctions !
Elle est censée s’occuper de la formation professionnelle…
Savez-vous que sous Macron, les aides à l’embauche d’apprentis ou de jeunes en alternance ont été complètement supprimées aux communes ?