Agir pour vous et avec vous

Mois : septembre 2025 (Page 3 de 7)

Le Festival « Aux Actes Citoyens » découvreur de talents ….

On le sait, ce festival découvre des pépites chaque année, souvent inconnues du grand public et molièrisées après avoir été découvertes par le public tomblainois. Ainsi, le 28 avril 2025, lors de la cérémonie des Molières, 20 Molières étaient décernés, deux semaines plus tard, la programmation de notre petit festival totalisait … 7 Molières en une semaine !
Dans la même semaine nous vous présentions une autre belle pépite : Dolorès, avec Olivier Sitruk…
Aujourd’hui le Canard Enchaîné rend un bel hommage à Dolorès. Quelque chose me dit qu’on parlera encore de ce magnifique spectacle.

Les vacances des personnes âgées de Tomblaine ont commencé sur un rythme soutenu …

Un nouveau groupe de personnes âgées tomblainoises est parti en vacances proposées par la CCAS de la Ville. Elles sont à La Palmyre en Charentes Maritimes, accompagnées, avec bienveillance par Laurence Jacquot, employée municipale.

La première journée après le voyage a été consacrée à une visite de La Palmyre, dont une partie  en petit train, puis à … l’apéritif !

Le jour suivant, c’est à Rochefort que le groupe a visité le musée, les commerces d’autrefois, le centre-ville, la corderie royale, ils ont même fait un petit tour en transbordeur ! Bonnes vacances à tous !

Fiesta del Sol vendredi 17 octobre à 20h30
Comment ça ? Vous n’avez pas encore réservé pour le spectacle Fiesta del Sol qu’Aux Actes citoyens vous propose vendredi 17 octobre à 20h30 ? Regardez ce teaser : 

Boï, roi gitan, qui a performé dans ce Voice à … 73 ans ! Et Richard Bauduin, l’homme à la guitare bleue ! 

Ne ratez pas ça, soyez de la fête, vous pouvez réserver : 

Espace Jean Jaurès – Place des Arts Tomblaine – 03 83 33 27 50.

Sur l’album qui est sorti il y a quelques mois et que vous retrouvez sur toutes les plateformes de téléchargement, il y avait cette chanson « Un café et la Paix ! » Elle est terriblement d’actualité, je vous invite à écouter les paroles …

Un café et la Paix !

Ce matin, Dieu, Bouddha, Allah et Yahvé

S’étaient donc retrouvés au café de la Paix.

En copains en goguette, qui n’s’étaient plus parlé

Depuis belle lurette, presqu’une éternité…

Les quatre s’étaient donné, au Café de la Paix,

Un rendez-vous discret, pour petit-déjeuner,

Il y avait du café et des croissants dorés.

Craquants et parfumés à la vieille amitié.

Au café, les clients ne semblaient pas curieux,

Plutôt indifférents à ces quatre petits vieux,

A la barbe vénérable, comm(e) s’ils étaient présents

Toujours à la même table, depuis la nuit des temps…

Bavards et facétieux, habillés bizarrement,

Petits yeux malicieux, fatigués par le temps,

Les quatre patriarches ressassaient en riant,

Comme d’anciens potaches, leurs bêtises d’antan !

Et plus ils racontaient, plus ils se souvenaient,

Plus ils se souvenaient, et plus ils rigolaient,

De manière bruyante, à gorges déployées,

D’anecdotes croustillantes, comme leurs croissants dorés…

En essuyant ses verres, debout, derrière son bar,

Un serveur trop sévère les fixaient du regard,

Aux ancêtres séniles, il fronçait les sourcils,

C’est ainsi, pensait-il, et même ainsi-soit-il !

Mais voilà brusquement, que s’installe le silence,

Et s’arrête le temps, comm(e) pour une sentence,

Les vieillards considèrent ce qu’ils avaient conçu,

Et les hommes et la terre, aujourd’hui devenus…

Ils n’ont jamais voulu qu’un jour on les adore,

Ils n’avaient pas prévu non plus qu’on les implore,

Ou qu’on les utilise, qu’on fasse religion,

Et par eux qu’on divise, quelle qu’en fut la raison.

Ils furent les architectes, mais ce bel Univers

Aujourd’hui les affecte, par la haine et les guerres.

Quand la vie sur la terre fut œuvre de copains,

Ils l’ont créée naguère, concerto à quatre mains.

Ce matin Dieu, Bouddha, Allah et Yahvé,

S’étaient donc retrouvés au Café de la Paix,

Ils y ont partagé une infinie tristesse,

Peut-être la vieillesse ? Peut-être la sagesse ?

Alors ils décidèrent de tout recommencer,

Par une saine colère, divine volonté,

Après conciliabule et débats animés,

D’écrire en majuscules, le mot Fraternité !

Brillants par la faconde et les arts oratoires,

Ils réinventent le monde, redessinent l’histoire

Sur la nappe maculée, par quelques ronds de tasses

Simple nappe en papier, sous les miettes éparses.

Quand ils sont satisfaits par ce nouveau projet,

Un peu comm(e) s’ils avaient fait leurs Humanités.

Ils inscrivent enfin, en guise d’autographe,

Au bas de leur dessin, leur dernier paragraphe :

« Plus que jamais ancêtres, au prochain rendez-vous

Nous reviendrons peut-être, mais par Amour pour nous,

De temps en temps venez, juste pour partager

Le petit-déjeuner, un café et la Paix. »

Ce matin Dieu, Bouddha, Allah et Yahvé

Tous les quatre ont quitté le Café de la Paix,

« L’Adieu » fut émouvant et, « promis, on s’appelle »

Bien avant 2000 ans, c’est dur d’être éternel !

Le serveur est béat, les regarde sortir,

Serviette sur le bras, il pousse un grand soupir…

Tout cela le dépasse et puis il débarrasse

Les couverts et les tasses, prend la nappe et la froisse…

Il ne saura jamais, dans cette poubelle immonde

Qu’il vient d’abandonner les plans d’un nouveau monde !

Et qu’à la déchetterie, l’Humanité sauvée,

Partira sans un cri, pour y être recyclée…

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