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Catégorie : Actualité (Page 132 de 316)

Suite au vote de la Loi de transition énergétique, nous avions été nombreux à féliciter Ségolène Royal pour son engagement volontariste en faveur de la réduction de la pollution plastique, grand danger pour l’environnement bien visible au niveau de l’énorme continent plastique qui grandit sur nos océans, notamment en Arctique. 

Quelle n’a donc pas été ma déception en apprenant en décembre que la publication du décret pour l’interdiction des sacs de caisse à usage unique, prévue au 1e janvier 2016, serait finalement repoussée au 28 mars. Pourquoi reculer face aux lobbies du plastique et de la grande distribution, alors que toute une industrie fabriquant des sacs entièrement biodégradables dans la nature attend un signal volontariste de l’Etat pour se développer ?

Mais alors que le 28 mars se rapproche, c’est finalement la date butoir du 1e juillet 2016 qui est annoncée par un Gouvernement qui se cache derrière un avis de la Commission européenne prétextant une potentielle entrave à la libre circulation des biens dans l’Union européenne. Au total, ce décret aura été repoussé de six mois, ce qui constitue une perte de temps énorme pour l’industrie bioplastique qui représente de nombreux emplois et de véritables débouchés pour nos agriculteurs !

Mais ce n’est pas tout : seuls les sacs plastique d’épaisseur inférieure à 50 micromètres, quel que soit leur volume et qu’ils soient gratuits ou payants, seront prohibés des caisses au 1er juillet 2016. Ce qui signifie que les sacs plastique d’épaisseur supérieure à 50 micromètres resteront jusqu’à nouvel ordre disponibles en caisse ! Les sacs ou emballages en plastique jetables fournis pour emballer les fruits et légumes ou le fromage ne seront eux bannis qu’au 1er janvier 2017.

Il faut que le Gouvernement fasse preuve de courage pour interdire immédiatement TOUS ces sacs en plastique qui mettent jusqu’à 400 ans pour disparaître, en conservant les sacs respectueux de l’environnement tels les bioplastiques. Dans la dynamique de la COP 21, censée nous montrer la voie vers une croissance plus propre et mieux équilibrée, faire un autre choix serait tout bonnement absurde et irait dans le sens inverse du progrès.

Suite au vote de la Loi de transition énergétique, nous avions été nombreux à féliciter Ségolène Royal pour son engagement volontariste en faveur de la réduction de la pollution plastique, grand danger pour l’environnement bien visible au niveau de l’énorme continent plastique qui grandit sur nos océans, notamment en Arctique. 

Quelle n’a donc pas été ma déception en apprenant en décembre que la publication du décret pour l’interdiction des sacs de caisse à usage unique, prévue au 1e janvier 2016, serait finalement repoussée au 28 mars. Pourquoi reculer face aux lobbies du plastique et de la grande distribution, alors que toute une industrie fabriquant des sacs entièrement biodégradables dans la nature attend un signal volontariste de l’Etat pour se développer ?

Mais alors que le 28 mars se rapproche, c’est finalement la date butoir du 1e juillet 2016 qui est annoncée par un Gouvernement qui se cache derrière un avis de la Commission européenne prétextant une potentielle entrave à la libre circulation des biens dans l’Union européenne. Au total, ce décret aura été repoussé de six mois, ce qui constitue une perte de temps énorme pour l’industrie bioplastique qui représente de nombreux emplois et de véritables débouchés pour nos agriculteurs !

Mais ce n’est pas tout : seuls les sacs plastique d’épaisseur inférieure à 50 micromètres, quel que soit leur volume et qu’ils soient gratuits ou payants, seront prohibés des caisses au 1er juillet 2016. Ce qui signifie que les sacs plastique d’épaisseur supérieure à 50 micromètres resteront jusqu’à nouvel ordre disponibles en caisse ! Les sacs ou emballages en plastique jetables fournis pour emballer les fruits et légumes ou le fromage ne seront eux bannis qu’au 1er janvier 2017.

Il faut que le Gouvernement fasse preuve de courage pour interdire immédiatement TOUS ces sacs en plastique qui mettent jusqu’à 400 ans pour disparaître, en conservant les sacs respectueux de l’environnement tels les bioplastiques. Dans la dynamique de la COP 21, censée nous montrer la voie vers une croissance plus propre et mieux équilibrée, faire un autre choix serait tout bonnement absurde et irait dans le sens inverse du progrès.

Le documentaire « Un Mur dans le Désert » tourné au Sahara, écrit et réalisé par Hervé Féron (le texte est dit par le Comédien Pierre Richard) sera diffusé aujourd’hui à l’Assemblée Nationale. Il évoque les conditions de vie du Peuple Sahraoui et la Culture comme moyen de résister…

Un livre qui reprend tout le texte de ce documentaire vient d’être édité « Un Mur dans le Désert » aux éditions KAIROS.

Il est en vente à 9€, tous les bénéfices seront reversés au Croissant Rouge Sahraoui.

Vous pouvez vous le procurer en adressant un chèque de 9€ à :

Editions Kairos

33, rue Ludovic Beauchet

54000 – Nancy.

Le documentaire « Un Mur dans le Désert » tourné au Sahara, écrit et réalisé par Hervé Féron (le texte est dit par le Comédien Pierre Richard) sera diffusé aujourd’hui à l’Assemblée Nationale. Il évoque les conditions de vie du Peuple Sahraoui et la Culture comme moyen de résister…

Un livre qui reprend tout le texte de ce documentaire vient d’être édité « Un Mur dans le Désert » aux éditions KAIROS.

Il est en vente à 9€, tous les bénéfices seront reversés au Croissant Rouge Sahraoui.

Vous pouvez vous le procurer en adressant un chèque de 9€ à :

Editions Kairos

33, rue Ludovic Beauchet

54000 – Nancy.

Je m’associe fortement à la demande de grâce présidentielle en faveur de Jacqueline Sauvage, émanant aussi bien de la société civile et du monde associatif que des initiatives de mes collègues parlementaires.

J’avais moi-même suivi de près en octobre 2014 le procès de Jacqueline Sauvage, jugée coupable d’homicide à l’encontre du mari qui l’avait maltraitée pendant 47 ans. Au cours de son procès, Mme Sauvage n’avait pas pu plaider la légitime défense puisqu’elle était armée au moment des faits et donc considérée comme en situation de « riposte non-proportionnelle ». 

Profondément interpellé par cette histoire, j’avais alerté l’ancienne Ministre de la Justice sur les lacunes du droit français en la matière, qui à la différence de pays comme le Canada ne reconnaît pas la « présomption de légitime défense » visant à caractériser ces situations très particulières.

En effet, une personne victime de violences domestiques jusqu’à craindre en permanence de perdre la vie réagit en se défendant contre son ou sa conjoint(e) de quelque manière que ce soit, avant que celui-ci ou celle-ci ne finisse par la tuer. C’est ce qu’on appelle le « syndrome de la personne battue ».

Eu égard à la très grande spécificité des cas d’homicides survenus à la suite de violences répétées dans le cadre conjugal, j’avais ainsi demandé à la Ministre qu’une telle « présomption de légitime défense » puisse être intégrée en droit français.

Je suis heureux de constater que nos citoyens sont également sensibles à ces questions, et j’espère qu’à plusieurs nous parviendrons non seulement à faire gracier Jacqueline Sauvage, mais aussi et surtout à faire évoluer notre droit de manière à mieux prendre en considération toutes les réalités de l’enfer vécu par les victimes de maltraitance domestique.   

Vous trouverez le texte complet de ma question écrite, à laquelle j’attends toujours une réponse, au lien suivant : http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-74957QE.htm

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