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Catégorie : Grand Nancy Métropole (Page 27 de 142)

Je représentais cet après-midi Mathieu Klein, Président de la Métropole du Grand Nancy, à la piscine de Laneuveville, pour une manifestation très intéressante : le Challenge Natation Course Handisport, organisé par le Comité Régional Grand Est Handisport, représenté par Baptiste Wolff, avec le club « Handisport Grand Nancy », dont la Présidente est Dominique Lemoine et l’Aquapole du Grand Nancy.
Les personnels de la Métropole était présents, en particulier Claude Breiner, le directeur de la piscine de Laneuveville et Thierry Messos, maitre nageur.
Dominique Lemoine est une présidente très investie. Dynamique et positive, elle dit à juste titre « ce n’est pas aux personnes en situation de handicap de s’adapter à leur environnement, c’est à l’environnement de s’adapter au handicap… » Il y a donc là quelque chose de l’ordre de la responsabilité collective…
Et dans ce partenariat entre le club Handisport et la Métropole, l’objectif est bien de permettre l’accès à la natation aux personnes porteuses de handicap. Tout y est mis en oeuvre pour cela : une piscine de 25 mètres, dotée d’équipement permettant de descendre une personne en fauteuil dans la piscine aisément, un bassin d’apprentissage et des créneaux réservés pour l’utilisation de ce club chaque semaine toute l’année. Le club fréquente également pour ce type d’activité la piscine du Lido à Tomblaine et celle de Laxou.
Le club « Handisport Grand Nancy » compte environs 70 pratiquants de 15 à 77 ans (pour ce qui concerne la natation) … et Dominique Lemoine remercie Thierry Messos qui les accompagne et encadre l’apprentissage de la natation toute l’année.
Le grand public ne sait pas assez tout ce que met en oeuvre la Métropole, pas plus que l’investissement remarquable des personnels de la Métropole. Mise à disposition des piscines, logistique matérielle, accompagnement…
Par exemple, dans le cadre de l’opération nationale « apprendre à nager » portée localement par la Métropole du Grand Nancy, en période de vacances scolaires des enfants ont accès à l’apprentissage de la natation (alors que sur le temps scolaire, tous les enfants des écoles élémentaires suivent un programme, dont le résultat mène à ce que tous les enfants scolarisé dans la Métropole savent nager quand ils sont en fin de CM2).
Eh bien, lors de la session « apprendre à nager » pendant les dernières vacances de novembre, six enfants (entre 6 et 12 ans), en situation de handicap, ont suivi cette formation (en deux groupes de 3). Et cela continuera pendant les prochaines vacances scolaires.
Tout cela ne se sait pas assez. Et, en tant que vice-président de la Métropole, je sui assez fier de ce travail remarquable de nos personnels…
La compétition d’aujourd’hui réunissait 20 clubs de la grande région et 27 nageurs. Il s’agissait de sélections, avant les championnats inter-régionaux qui auront lieu en mars 2023. Une belle ambiance, dans de bonnes conditions…
 
Je représentais cet après-midi Mathieu Klein, Président de la Métropole du Grand Nancy, à la piscine de Laneuveville, pour une manifestation très intéressante : le Challenge Natation Course Handisport, organisé par le Comité Régional Grand Est Handisport, représenté par Baptiste Wolff, avec le club « Handisport Grand Nancy », dont la Présidente est Dominique Lemoine et l’Aquapole du Grand Nancy.
Les personnels de la Métropole était présents, en particulier Claude Breiner, le directeur de la piscine de Laneuveville et Thierry Messos, maitre nageur.
Dominique Lemoine est une présidente très investie. Dynamique et positive, elle dit à juste titre « ce n’est pas aux personnes en situation de handicap de s’adapter à leur environnement, c’est à l’environnement de s’adapter au handicap… » Il y a donc là quelque chose de l’ordre de la responsabilité collective…
Et dans ce partenariat entre le club Handisport et la Métropole, l’objectif est bien de permettre l’accès à la natation aux personnes porteuses de handicap. Tout y est mis en oeuvre pour cela : une piscine de 25 mètres, dotée d’équipement permettant de descendre une personne en fauteuil dans la piscine aisément, un bassin d’apprentissage et des créneaux réservés pour l’utilisation de ce club chaque semaine toute l’année. Le club fréquente également pour ce type d’activité la piscine du Lido à Tomblaine et celle de Laxou.
Le club « Handisport Grand Nancy » compte environs 70 pratiquants de 15 à 77 ans (pour ce qui concerne la natation) … et Dominique Lemoine remercie Thierry Messos qui les accompagne et encadre l’apprentissage de la natation toute l’année.
Le grand public ne sait pas assez tout ce que met en oeuvre la Métropole, pas plus que l’investissement remarquable des personnels de la Métropole. Mise à disposition des piscines, logistique matérielle, accompagnement…
Par exemple, dans le cadre de l’opération nationale « apprendre à nager » portée localement par la Métropole du Grand Nancy, en période de vacances scolaires des enfants ont accès à l’apprentissage de la natation (alors que sur le temps scolaire, tous les enfants des écoles élémentaires suivent un programme, dont le résultat mène à ce que tous les enfants scolarisé dans la Métropole savent nager quand ils sont en fin de CM2).
Eh bien, lors de la session « apprendre à nager » pendant les dernières vacances de novembre, six enfants (entre 6 et 12 ans), en situation de handicap, ont suivi cette formation (en deux groupes de 3). Et cela continuera pendant les prochaines vacances scolaires.
Tout cela ne se sait pas assez. Et, en tant que vice-président de la Métropole, je sui assez fier de ce travail remarquable de nos personnels…
La compétition d’aujourd’hui réunissait 20 clubs de la grande région et 27 nageurs. Il s’agissait de sélections, avant les championnats inter-régionaux qui auront lieu en mars 2023. Une belle ambiance, dans de bonnes conditions…
 
Très heureux d’avoir ouvert ce matin la Convention des élus de la Métropole du Grand
Nancy et d’avoir accueilli, en tant que Maire de Tomblaine, une assistance nombreuse au Stade Marcel Picot.
Mathieu Klein, Président de la Métropole, avait lancé cette invitation aux élus métropolitains, pour les inviter à réfléchir ensemble, à partager témoignages et retours d’expériences, à s’informer sur les conséquences des évolutions climatiques et de la crise énergétique.
S’il s’agissait aussi de partager les orientations du Plan Climat Air Energie Territorial de la Métropole du Grand Nancy, dans le cadre de la délégation de la Vice-Présidente métropolitaine Delphine Michel, ce sujet nous concerne tous.
L’occasion pour moi de rappeler que l’écologie ne se décrète pas, mais elle se partage. Il ne faut pas ignorer les initiatives locales prises dans les communes. On y décline les politiques métropolitaines, mais souvent, les élus locaux ont le discernement nécessaire, parce qu’ils connaissent leur territoire et leurs habitants et cela leur permet de s’engager sur des actions pertinentes, différents, innovantes, ou tout simplement de bon sens, mais toujours volontaristes. Il faut connaitre, reconnaitre et respecter ces initiatives locales prises par des élus, des citoyens, ou des associations.
A Tomblaine, par exemple, nous avons écrit le « Projet Eco-citoyen », pertinent et ambitieux. Certains de ces objectifs sont d’ores et déjà réalisés, d’autres sont en cours, mais il faut surtout qu’on nous laisse la possibilité de les mettre en oeuvre : restauration scolaire en régie municipale (objectifs 90% de produits bio, en circuits-courts ou labellisés…), Espace Naturel Sensible de 17Ha, première convention en Meurthe et Moselle signée avec ENEDIS pour de la production d’électricité solaire et de l’auto-consommation collective, plantation de micro-forêts, champ solaire, objectif 2024 : produire plus d’électricité propre que la population de la ville n’en consomme…
J’ai aussi évoqué le travail entrepris avec les club sportifs professionnels, dans le cadre de ma délégation de vice-président de la Métropole :
– concertation, échanges, pour identifier des axes de sobriété, en prenant en compte le plan de sobriété énergétique du Ministère des Sports. La gestion du chauffage, de l’électricité, de l’eau, l’écomobilité, la formation, la sensibilisation…
– Sont évoqués tout ce qui concerne les usages, les études d’exploitation de nos grandes infrastructures sportives, les comportements, la sensibilisation des gardiens, des utilisateurs, sportifs, administratifs, du public…
– Nous travaillons aussi à identifier les points nécessitant des travaux, des aménagements et par conséquent un investissement financier…
A noter que les clubs sont déjà engagés dans la sobriété financière et certains sont sensibilisés par leur fédération. La dématérialisation, le covoiturage, l’installation de fontaines à eau pour réduire les consommables, l’intégration de clauses dans les contrats des joueurs avec un plafonnement des consommations… sont des mesures de sobriété déjà engagées.
Et puisque nous étions au Stade Marcel Picot et que les participants avaient sous leur yeux les systèmes de luminothérapie en fonctionnement sur la pelouse, bien qu’aucune question n’ait été posée à ce sujet, j’y ai répondu…
La Métropole travaille avec l’ASNL :
– le chauffage au sol de la pelouse du stade a été diminué (le classement des pelouses est d’ailleurs suspendu par la Ligue Professionnelle de Football sur la période hivernale 2022/2023).
– le recours à la luminothérapie a été diminué d’environs 10%. L’idée est de ne pas altérer la la qualité de la pelouse.
– L’éclairage d’avant et d’après match a été réduit par l’ASNL d’une heure.
– Dans le cadre du chauffage de la pelouse du Stade Marcel Picot et afin de contenir cette chaleur au niveau du sol et de générer des réductions de consommation électrique, l’ASNL étudie la possibilité de couvrir l’aire de jeu avec des bâches qui ne compromettent pas la croissance du gazon. Ces couvertures en polyéthylène armé, sont translucides pour permettre la photosynthèse de la plante. Si les essais sont concluants, ce type de bâche allierait sobriété énergétique et performance technique pour l’entretien de la pelouse.
On travaille, on travaille…
 
 
 
 
Très heureux d’avoir ouvert ce matin la Convention des élus de la Métropole du Grand
Nancy et d’avoir accueilli, en tant que Maire de Tomblaine, une assistance nombreuse au Stade Marcel Picot.
Mathieu Klein, Président de la Métropole, avait lancé cette invitation aux élus métropolitains, pour les inviter à réfléchir ensemble, à partager témoignages et retours d’expériences, à s’informer sur les conséquences des évolutions climatiques et de la crise énergétique.
S’il s’agissait aussi de partager les orientations du Plan Climat Air Energie Territorial de la Métropole du Grand Nancy, dans le cadre de la délégation de la Vice-Présidente métropolitaine Delphine Michel, ce sujet nous concerne tous.
L’occasion pour moi de rappeler que l’écologie ne se décrète pas, mais elle se partage. Il ne faut pas ignorer les initiatives locales prises dans les communes. On y décline les politiques métropolitaines, mais souvent, les élus locaux ont le discernement nécessaire, parce qu’ils connaissent leur territoire et leurs habitants et cela leur permet de s’engager sur des actions pertinentes, différents, innovantes, ou tout simplement de bon sens, mais toujours volontaristes. Il faut connaitre, reconnaitre et respecter ces initiatives locales prises par des élus, des citoyens, ou des associations.
A Tomblaine, par exemple, nous avons écrit le « Projet Eco-citoyen », pertinent et ambitieux. Certains de ces objectifs sont d’ores et déjà réalisés, d’autres sont en cours, mais il faut surtout qu’on nous laisse la possibilité de les mettre en oeuvre : restauration scolaire en régie municipale (objectifs 90% de produits bio, en circuits-courts ou labellisés…), Espace Naturel Sensible de 17Ha, première convention en Meurthe et Moselle signée avec ENEDIS pour de la production d’électricité solaire et de l’auto-consommation collective, plantation de micro-forêts, champ solaire, objectif 2024 : produire plus d’électricité propre que la population de la ville n’en consomme…
J’ai aussi évoqué le travail entrepris avec les club sportifs professionnels, dans le cadre de ma délégation de vice-président de la Métropole :
– concertation, échanges, pour identifier des axes de sobriété, en prenant en compte le plan de sobriété énergétique du Ministère des Sports. La gestion du chauffage, de l’électricité, de l’eau, l’écomobilité, la formation, la sensibilisation…
– Sont évoqués tout ce qui concerne les usages, les études d’exploitation de nos grandes infrastructures sportives, les comportements, la sensibilisation des gardiens, des utilisateurs, sportifs, administratifs, du public…
– Nous travaillons aussi à identifier les points nécessitant des travaux, des aménagements et par conséquent un investissement financier…
A noter que les clubs sont déjà engagés dans la sobriété financière et certains sont sensibilisés par leur fédération. La dématérialisation, le covoiturage, l’installation de fontaines à eau pour réduire les consommables, l’intégration de clauses dans les contrats des joueurs avec un plafonnement des consommations… sont des mesures de sobriété déjà engagées.
Et puisque nous étions au Stade Marcel Picot et que les participants avaient sous leur yeux les systèmes de luminothérapie en fonctionnement sur la pelouse, bien qu’aucune question n’ait été posée à ce sujet, j’y ai répondu…
La Métropole travaille avec l’ASNL :
– le chauffage au sol de la pelouse du stade a été diminué (le classement des pelouses est d’ailleurs suspendu par la Ligue Professionnelle de Football sur la période hivernale 2022/2023).
– le recours à la luminothérapie a été diminué d’environs 10%. L’idée est de ne pas altérer la la qualité de la pelouse.
– L’éclairage d’avant et d’après match a été réduit par l’ASNL d’une heure.
– Dans le cadre du chauffage de la pelouse du Stade Marcel Picot et afin de contenir cette chaleur au niveau du sol et de générer des réductions de consommation électrique, l’ASNL étudie la possibilité de couvrir l’aire de jeu avec des bâches qui ne compromettent pas la croissance du gazon. Ces couvertures en polyéthylène armé, sont translucides pour permettre la photosynthèse de la plante. Si les essais sont concluants, ce type de bâche allierait sobriété énergétique et performance technique pour l’entretien de la pelouse.
On travaille, on travaille…
 
 
 
 
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