Agir pour vous et avec vous

Catégorie : Non catégorisé (Page 3 de 36)

C’est gratuit, dans la limite des places disponibles et il vous faut donc réserver (Espace Jean Jaurès 03 83 33 27 50)
Dans le cadre de ses évènements décentralisés, le festival de théâtre « Aux Actes Citoyens, vous propose, mardi 16 mai à 10h30, la diffusion au Ciné Royal St Max du film
d’Olivier Marchal (professeur au Lycée Varoquaux à Tomblaine) « L’art de voir autrement » . Ce film traite du rapport entre les personnes malvoyantes avec l’art en général. La même semaine il sera en compétition à Cannes, au festival « Entre deux marches » qui est un festival parallèle au Festival de Cannes et qui concerne
le cinéma et le handicap.
Après cette projection, seront diffusés trois clips en Langue des Signes Française, réalisés par les élèves du Lycée Varoquaux. Olivier Marchal, en post Bac est leur professeur
en option « Langue des Signes Française »
Et ce lycée est, depuis plusieurs années partenaire officiel des Enfoirés ! C’est à dire que, chaque année, les élèves signent la chanson des Enfoirés pour en faire un clip officiel en LSF !
Il y a quelques années, nous avions invité dans notre festival Véronique Colucci, qui était alors présidente nationale des Restos du Coeur. Cette année-là les élèves du lycée Varoquaux
étaient également devenus partenaires officiels des Restos du Coeur en signant, sur un clip, la fameuse chanson « Aujourd’hui, on n’a plus le droit… »
Mardi 16 mai, après le film d’Olivier Marchal, les clips en LSF des chansons des Enfoirés de 2022 et 2023 et de la chanson des Restos du Coeur seront donc diffusés, en présence de ces
élèves. Et… événement : Romain Colucci, sera là toute la matinée avec nous. Fils de Coluche, il a repris la Présidence nationale des Restos du Coeur, après le décès de sa mère.
Après cette diffusion, de 11h45 à 12h45, il y aura discussion entre le public, Romain Colucci, Olivier Marchal et ses élèves.
 
 
Un moment de qualité ce soir à l’espace Jean Jaurès pour le vernissage de l’exposition « Internement et déportation » suivie d’une conférence sur la rafle du 2 mars 1943.
Ce jour là, la Gestapo a opéré une rafle au centre ville de Nancy, embarquant plusieurs dizaines de jeunes hommes dont 8 tomblainois, ce qui fait qu’après Nancy, Tomblaine fut la plus touchée par cette rafle. Il était important, historiquement et affectivement de s’intéresser à ce pan de notre histoire. Sylvie Kurt, adjointe au Maire, a donc organisé, cette rencontre avec Patrice Lafaurie, autour de cette exposition, puis cette conférence.
17 panneaux, prêtés par les archives départementales, forment un parcours qui relate les lieux et conditions d’internement et de déportation, ainsi que des panneaux hommage à certains déportés. Monsieur Patrice Lafaurie, vice-président de l’Amicale de Mauthausen et militant de la mémoire de la déportation en Meurthe et Moselle, a commenté ce chemin bouleversant avec, à la fois, précision, réalisme et émotion.
Hervé Feron a rappelé l’importance de la transmission de notre histoire auprès des jeunes. Transmission et enseignement pour comprendre et réfléchir, pour contribuer à construire la paix.
Après le verre de l’amitié, Patrice Lafaurie nous a présenté les causes et les circonstances de cette rafle dans les rues de Nancy, ainsi que le parcours des 8 tomblainois raflés, de la prison Charles III aux camps de concentration. Un power point très intéressant accompagnait ces explications illustrées par de magnifiques dessins de René Rhein, dernier survivant de la rafle.
Parmi le public , monsieur Lewandowski nous a honorés de sa présence. Résistant, maquisard, déporté à Mauthausen, il a fait partie des libérateurs de Pont à Mousson. Son témoignage précieux nos a émus et ébranlés.
A la fin de la conférence, monsieur Lafaurie dédicaçait son livre « Nancy, une prison et des rafles oubliées », ouvrage qu’il a écrit avec Madame Claude Favre, secrétaire des Amis de la Fondation pour la mémoire de la déportation.
Tomblaine, ce soir, a voulu rendre hommage à ses jeunes, revenus à jamais traumatisés par ce qu’ils ont vu et vécu.
L’exposition se tient à l’espace Jean Jaurès jusqu’au 8 mai.
 
 
 
 
Un moment de qualité ce soir à l’espace Jean Jaurès pour le vernissage de l’exposition « Internement et déportation » suivie d’une conférence sur la rafle du 2 mars 1943.
Ce jour là, la Gestapo a opéré une rafle au centre ville de Nancy, embarquant plusieurs dizaines de jeunes hommes dont 8 tomblainois, ce qui fait qu’après Nancy, Tomblaine fut la plus touchée par cette rafle. Il était important, historiquement et affectivement de s’intéresser à ce pan de notre histoire. Sylvie Kurt, adjointe au Maire, a donc organisé, cette rencontre avec Patrice Lafaurie, autour de cette exposition, puis cette conférence.
17 panneaux, prêtés par les archives départementales, forment un parcours qui relate les lieux et conditions d’internement et de déportation, ainsi que des panneaux hommage à certains déportés. Monsieur Patrice Lafaurie, vice-président de l’Amicale de Mauthausen et militant de la mémoire de la déportation en Meurthe et Moselle, a commenté ce chemin bouleversant avec, à la fois, précision, réalisme et émotion.
Hervé Feron a rappelé l’importance de la transmission de notre histoire auprès des jeunes. Transmission et enseignement pour comprendre et réfléchir, pour contribuer à construire la paix.
Après le verre de l’amitié, Patrice Lafaurie nous a présenté les causes et les circonstances de cette rafle dans les rues de Nancy, ainsi que le parcours des 8 tomblainois raflés, de la prison Charles III aux camps de concentration. Un power point très intéressant accompagnait ces explications illustrées par de magnifiques dessins de René Rhein, dernier survivant de la rafle.
Parmi le public , monsieur Lewandowski nous a honorés de sa présence. Résistant, maquisard, déporté à Mauthausen, il a fait partie des libérateurs de Pont à Mousson. Son témoignage précieux nos a émus et ébranlés.
A la fin de la conférence, monsieur Lafaurie dédicaçait son livre « Nancy, une prison et des rafles oubliées », ouvrage qu’il a écrit avec Madame Claude Favre, secrétaire des Amis de la Fondation pour la mémoire de la déportation.
Tomblaine, ce soir, a voulu rendre hommage à ses jeunes, revenus à jamais traumatisés par ce qu’ils ont vu et vécu.
L’exposition se tient à l’espace Jean Jaurès jusqu’au 8 mai.
 
 
 
 
J’habite une circonscription, où le député s’appelle Thibaut Bazin, Il est LR…
Monument de lâcheté, il a trouvé le moyen de « ne pas participer au vote » pour 
cette motion de censure. C’est à dire qu’il a déçu les gens qui n’avaient pas voté 
pour lui, il a déçu les gens qui avaient voté pour lui et il a réussi le tour de force
de décevoir aussi les électeurs qui n’avaient pas eux-même participé au vote aux 
dernières Législatives.
Aujourd’hui, dans le Lunévillois, ça chauffait, ça râlait, ça manifestait après Thibaut 
Bazin, même les militants LR se plaignaient de lui et de ses couardises.
 
Lui, n’a pas de honte. Il faudra s’en souvenir, se souvenir de ce nom. 
 
Dans la rubrique mauvaise pantalonnade, c’était … les fourberies de Bazin !
J’habite une circonscription, où le député s’appelle Thibaut Bazin, Il est LR…
Monument de lâcheté, il a trouvé le moyen de « ne pas participer au vote » pour 
cette motion de censure. C’est à dire qu’il a déçu les gens qui n’avaient pas voté 
pour lui, il a déçu les gens qui avaient voté pour lui et il a réussi le tour de force
de décevoir aussi les électeurs qui n’avaient pas eux-même participé au vote aux 
dernières Législatives.
Aujourd’hui, dans le Lunévillois, ça chauffait, ça râlait, ça manifestait après Thibaut 
Bazin, même les militants LR se plaignaient de lui et de ses couardises.
 
Lui, n’a pas de honte. Il faudra s’en souvenir, se souvenir de ce nom. 
 
Dans la rubrique mauvaise pantalonnade, c’était … les fourberies de Bazin !
« Anciens articles Nouveaux articles »