Actualité

Pas complet pour ASNL-OM...

Alors que le journaliste sportif de l’Est Républicain continue son matraquage sur le dossier « Agrandissement du stade Marcel Picot » en vantant les louanges du président Rousselot qui a fait un tour de stade (on hallucine !), on remarquera simplement que l’on avait l’habitude de dire que le stade Marcel Picot à 20.000 places n’était plein qu’une seule fois par an pour Nancy-Marseille. Or, ASNL-OM n’a même pas fait le plein. On comptabilise un peu plus de 19.000 spectateurs et encore, on sait très bien qu’ils comptent les abonnés absents dans le nombre de spectateurs qu’ils annoncent.

Il n’y a vraiment pas de regrets à nourrir. Nancy n’avait pas besoin d’un stade plus grand que celui-là.


La République de la magouille !

Nombreux sont les élus socialistes dans le département qui ont protesté contre la méthode. Depuis quelques semaines, on assiste à une multiplication de « visites ministérielles », qui ne sont en fait que des visites de campagne UMP. En l’occurrence, la très sarkoziste Valérie Rosso-Debord avait organisé la visite du très sarkoziste Xavier Bertrand sur la deuxième circonscription de Meurthe-et-Moselle. Si cela avait été une visite ministérielle, le député de cette circonscription de Vandœuvre, Hervé Féron, aurait été averti conformément à la politesse républicaine, c’est-à-dire suffisamment à l’avance. Mais comme c’est une visite de campagne UMP, cela n’a pas été le cas, et VRD a organisé cette visite en tenant d’ailleurs secret le nom de l’entreprise que le ministre allait visiter après le CHU de Brabois. La République de la grande magouille continue !

Carnet de Route de Palestine

J'ai apporté quelques modifications à mon "Carnet de Route" en Palestine. Vous pouvez télécharger la nouvelle version au format PDF en cliquant sur les liens ci-dessous :


Partie 1 (Pages 1 à 16)

Partie 2 (Pages 17 à 32)

Partie 3 (Pages 33 à 48)

Partie 4 (Pages 49 à 64)

Les visites ministérielles préélectorales nous éloignent de l'esprit républicain.

Voilà un communiqué de presse de Jean-Yves LE DEAUT. Je m'y associe pleinement :


Les visites ministérielles préélectorales nous éloignent de l'esprit républicain. 


Député depuis 25 ans, jamais je n'aurais imaginé être invité à accueillir un Ministre la veille pour le lendemain à l'occasion d'une inauguration. C'est pourtant ce que vient de me proposer Xavier Bertrand, Ministre du Travail, de l'Emploi et de la Santé. Ou cette visite était prévue de longue date, et l'invitation tardive est un camouflet masquant une opération politicienne, ou tout cela est le fruit d'un trou dans l'agenda ministériel, et dans ce cas cela témoigne de l'improvisation dans les rangs du gouvernement, inaugurant à « tout va », avec des « figurants » enrôlés la veille pour une visite ministérielle du lendemain. 

Vous comprendrez que dans ces conditions, je ne participerai pas à ce simulacre de démocratie, d'autant plus que paradoxalement, l'invitation fait part qu'ensuite Xavier Bertrand fera la visite d'une entreprise sans précision sur l'heure, la date et la nature de celle-ci. Je suis également 1er Vice-président de la Région Lorraine chargé de l'économie et je n'ai pas eu plus d'égards à ce titre.

Le clin d'oeil de cette histoire c'est que je suis ce matin, dans le cadre de mon travail ordinaire de parlementaire, à l'Institut Lorrain du Coeur et des Vaisseaux, qui d'ailleurs a été inauguré déjà au moins deux fois, où je rencontre le Professeur Zannad, Président du réseau Icalor. Je repère donc les lieux et je souhaite plein succès à votre visite.

Je vous prends à témoin : les soucis que j’ai avec la presse locale.

Je vous prends à témoin, car vous êtes très nombreux à m’interpeller : vous ne comprenez pas cet acharnement de la presse locale à mon encontre.

 

Premier acte : il y a trois ans, un journaliste fait trois fois la Une pour me traîner dans la boue et dire que je faisais de la discrimination raciale. J’ai été particulièrement touché par ce comportement, d’autant plus que lorsque la justice m’a complètement innocenté de toutes ces accusations, ce même journal n’a relaté cela qu’en quelques lignes discrètes. Je m’étais permis de commenter cela sur mon blog et de raconter la vérité (et je n’ai pas tout dit !). Cela a déplu, car à notre époque, le journaliste est souvent un notable, et c’est un sacrilège que d’essayer de se défendre quand il vous traîne dans la boue. L’Est Républicain a donc décidé de me boycotter assez systématiquement pendant un certain temps. Finalement, ça n’était pas plus mal.

 

Deuxième acte : la ligne éditoriale de ce journal étant traditionnellement assez réactionnaire, un journaliste fait campagne depuis des mois pour VRD. Cela en est presque risible, il l’a annoncée à plusieurs reprises comme devant devenir Ministre, et chaque fois elle ne l’a pas été ! Une autre journaliste, qui couvre régulièrement le Conseil de Communauté Urbaine, dans ses comptes-rendus ignore souvent ma présence et mes interventions.

 

Troisième acte : dans l’affaire de l’agrandissement du Stade Marcel Picot, ce journal n’a pas été très clean… Il a plusieurs fois refusé de publier mes positions, d’autres fois il les a transformées. J’ai commis le crime de lèse-majesté d’écrire sur mon blog la vérité. Cela n’a pas plu… Aussi, ce journal s’est-il mis en tête de reprendre systématiquement le discours que lui a suggéré la droite nancéienne : « Hervé Féron a des trous de mémoire, il n’a pas toujours eu le même discours sur ce dossier » ! Ca les ennuie de constater que la solution de la raison, de la sagesse choisie aujourd’hui est celle que j’ai défendue. Beaucoup d’entre vous m’ont adressé des messages de félicitations, comme si j’avais remporté une victoire !

 

Quatrième acte : à France 3, j’ai juste refusé de participer à une émission où une journaliste m’avait invité très tardivement (deux heures avant…), et où j’ai jugé qu’elle me tendait un piège. Je trouve ce genre de méthode inacceptable. Contrairement à ce que ces médias ont tenté de vous faire croire, je ne me suis pas fâché, je ne suis pas parti avec fracas, je n’ai pas claqué la porte, il n’y a eu aucune injure, il n’y a pas eu d’excès. J’ai juste refusé de participer à cette émission. Je vous prends à témoin : est-ce un crime ? A-t-on le droit dans cette République d’être en désaccord avec un journaliste ?

 

Derniers actes (provisoires) : l’Est Républicain s’organise pour reprendre le discours de la droite nancéienne. Il faut faire passer dans l’esprit des lecteurs qu’Hervé Féron serait excessif, déraperait, etc. Je vous prends à témoin : vous lisez mon blog régulièrement. Vous êtes nombreux à me dire « Quand ce harcèlement cessera-t-il ? ». Trouvez-vous que je suis coupable d’excès ? Je ne me fâche pas, je défends des idées, des valeurs, avec opiniâtreté. Il me semble que j’ai été élu pour cela. Et ça, ça les dérange…

 

Et puis la semaine dernière, le Conseil Municipal de Tomblaine recevait André Rossinot. Le journaliste, fervent supporter de VRD, n’était pas invité, il est venu quand même. Il y était bien sûr le bienvenu, mais beaucoup étaient surpris, puisque l’Est Républicain ne couvre quasiment plus du tout l’actualité de Tomblaine. Là, je prends à témoin toutes les personnes qui étaient présentes à ce Conseil Municipal. Le journaliste, quand il commence à parler de moi, écrit de façon douteuse et certainement déplacée : « Hervé Féron, bronzé toute l’année, hiver comme été… ». Qu’est-ce qu’il veut dire par là ? Qu’est-ce qu’il insinue ? Trouvez-vous que cela a un lien réel avec un commentaire à faire sur un Conseil Municipal auquel le Président de la Communauté Urbaine rend visite ? Mais surtout, vous remarquerez qu’à mon sujet il écrit : « Entre deux sorties de route, Hervé Féron… ». Toutes les personnes qui ont été présentes à ce Conseil Municipal (et vous avez été nombreux à réagir) savent qu’il n’y a eu aucune sortie de route, que ce Conseil Municipal s’est passé dans des conditions très sereines, et que c’est donc là un nouveau coup de griffe gratuit. Alors posons-nous la question : pourquoi ?

 

Beaucoup d’entre vous me disent : « Pourquoi ne portes-tu pas plainte ? ». Non, ils auraient trop de plaisir à me comparer à Nadine Morano (c’est-à-dire à ce que je combats), ils se victimiseraient une fois de plus en prenant en otage la Liberté de la Presse, alors que ce n’est pas de cela qu’il s’agit.

 

Enfin, la journaliste qui couvrait le Conseil de Communauté Urbaine de vendredi commente mes propos une fois de plus en disant que j’ai été excessif. Vous avez l’intégralité de mon intervention sur ce blog. Là encore je vous prends à témoin. Il n’y a rien d’excessif quand on ne dit que la vérité, même si elle dérange. Alors voilà, c’est une cabale peu honorable, ils ont manifestement décidé d’avoir ma peau, mais je suis de plus en plus vivant ! Cela dit, je préférais quand ils me boycottaient… Alors s’il vous plaît, lâchez-moi !

 

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