Tomblaine

Tomblaine, 1ère école numérique de Meurthe et Moselle en milieu urbain : Des tableaux intéractifs dans toutes les classes, le haut débit, et des ordinateur en réseau.

 

De multiples utilisations... Photo Dominique CHARTON

 

CE N'EST PAS en prenant exemple sur le Conseil général qu'Hervé Féron et le conseil municipal de Tomblaine ont décidé d'installer les nouvelles technologies dans les salles de classe des groupes scolaires de la cité.

L'idée est venue au parlementaire meurthe-et-mosellan à la faveur d'un voyage d'études aux Etats-Unis. Séduit par la souplesse, les multiples vertus tant pédagogiques que créatives du tableau interactif, le maire de Tomblaine n'a eu aucun mal à convaincre son conseil et les enseignants de Tomblaine, tous volontaires.

Au terme d'un plan pluriannuel de quatre ans, les 650 enfants inscrits à Tomblaine au sein des quatre groupes scolaires auront accès au tableau interactif et à des ordinateurs flambant neufs reliés en réseau dans chaque salle de classe, avec accès au haut débit bien sûr.

L'école Jules-Ferry est la première à être dotée de ce dispositif pour un montant de près de 24.000 EUR.

A l'issue d'une petite session de formation les enseignants ont commencé à explorer les innombrables facettes de cet outil de pointe.

« Les documents projetés sur le tableau sont numérisés au préalable », explique Philippe Astruc, qui enseigne à des CM2. « On peut également utiliser des logiciels existants et bien sûr avoir accès à internet à tout moment pour enrichir les leçons. Et comme il s'agit d'un tableau, on peut aussi écrire dessus et utiliser une foule d'outils, des couleurs différentes. Les possibilités sont multiples ».

Indépendamment du fait que l'enseignant doit quelque peu revoir ses pratiques pédagogiques, le nouveau matériel est perçu comme un atout indéniable qui a notamment pour effet de susciter l'intérêt des scolaires. « Le tableau est d'une utilisation simple et ludique. C'est enthousiasmant pour les enfants. Ça l'est forcément aussi pour l'enseignant ».

Adaptable à la tailledes utilisateurs

Le tableau interactif est aussi adaptable à la taille de chaque utilisateur.

Premier groupe scolaire urbain à être doté de tableaux interactifs, l'école Jules-Ferry, comme les autres groupes scolaires de la cité, a été dotée d'un nouveau mobilier plus ergonomique. « L'enveloppe consacrée au fonctionnement des écoles de Tomblaine correspond à 12,29 % de notre budget, soit 770.000 EUR annuels. C'est pour notre ville une priorité », conclut Hervé Féron.

Un effort notable qui se traduira aussi l'année prochaine par la reconstruction d'un groupe scolaire pour un montant de 5 MEUR.

Frédérique BRACONNOT, Est Républicain

 

Rencontre avec Michèle Césaire


Hervé FERON avec Michèle CESAIRE, fille d'Aimé CESAIRE, poète et Madame LEROY habitante de Tomblaine.

Repas du 1er mai à Tomblaine

Hervé Féron était présent tout l’après midi du 1er mai, fête du travail, à Tomblaine pour un repas convivial autour de 400 personnes âgées.  Ce repas dansant, est une tradition à Tomblaine, afin de célébrer les avancées des luttes ouvrières et des acquis sociaux.

Michèle Césaire, fille d'Aimé Césaire, à Tomblaine

 

Michèle Césaire était l'invité d'Hervé Féron mercredi dernier pour inaugurer la promenade Aimé Césaire à Tomblaine

 

L'Est Républicain, Samedi le 16 Avril 2011 :

Mercredi soir, la promenade Aimé-Césaire qui longe les berges de la Meurthe, depuis le pont aux arches jusqu'à la limite de la commune, côté Saint-Max, a été inaugurée. Elle sera probablement prolongée à Saint-Max, Eric Pensalfini l'envisage après accord de son conseil municipal.

Présentes à la cérémonie, la fille d'Aimé Césaire, Michèle, directrice du théâtre de Fort-de-France, en Martinique, et les figures de la politique locale.

Hervé Féron a rappelé qui était Aimé Césaire, né en 1913 et décédé en 2008. Il a été professeur de lettres, poète et homme de lettres, mais également homme politique, député de la Martinique pendant 48 ans, et maire de Fort-de France pendant 50. De toutes ses actions ce dont on se souviendra par-dessus tout, c'est son combat pour la négritude. « Je suis nègre et je reste nègre » affirmait-il avec force et conviction. « Que les nègres n'imitent pas les blancs mais vivent avec eux en harmonie et en gardant leur spécificité. » Il luttera aussi contre la colonisation et, bien entendu, contre l'esclavage dont des familles antillaises sont originaires, victimes de la traite des noirs et de l'abominable commerce triangulaire.

Mme Leroy, presque nonagénaire, a détaillé la vie d'Aimé Césaire qu'elle avait eu l'occasion de rencontrer. Elle a lu le poème qui est gravé sur sa tombe.

Michèle Césaire et Hervé Féron ont dévoilé la plaque de la promenade. « Une belle idée » a dit la fille d'Aimé Césaire. « Il aimait beaucoup ce genre de promenade. Les mains derrière le dos, il y trouvait la sérénité. »

Grand Nancy : hausses annoncées et supputées

L'Est Républicain, Vendredi le 25 Février 2011 / Ouverture Nancy

Long débat d'orientation budgétaire très durable, hier soir à la CUGN.
Au terme de deux heures et quart de débat lénifiant sur les orientations budgétaires, Hervé Féron a lancé hier soir une charge vigoureuse contre la faiblesse des éléments apportés aux élus : « c'est un peu Oui-Oui au pays des finances publiques. Les rares chiffres avancés sont ceux fournis par Dexia ou la Caisse d'Epargne à usage des collectivités publiques. Certaines parties du document sont même des copier-coller de discours de ministres, de documents officiels des ministères ». Et de s'emporter : « je comprends que vous soyez régulièrement invité au livre sur la place, vous êtes le PPDA de la politique ! »

Sur le fond, le député-maire de Tomblaine galvanisé a abordé les chiffres : « La CUGN reste la communauté urbaine la plus endettée de France : 1.980 EUR par habitant. C'est un record. Strasbourg est à 1 177 EUR par habitant ». Pierre Boileau, vice-président chargé des finances le contredit : « vous devriez revoir vos chiffres, Le Mans est à 2 396 EUR par habitant. » Pour André Rossinot, le critère est de toute façon contestable : « Si on fait entrer 50.000 habitants de plus dans la communauté urbaine, nous aurions un rapport bien meilleur de l'endettement par habitant : à vous de convaincre les maires des alentours qui sont de votre couleur politique », lance-t-il à Hervé Féron. Quand au coup de griffe personnel, André Rossinot donne un conseil à Hervé Féron : « Vous êtes encore jeune, vous avez l'avenir devant vous. Or l'avenir ne se bâtit pas comme si on était sur l'estrade d'un théâtre ».

Le mètre cube
Au fil du filandreux débat, au détour des prises de paroles des uns et des autres, on a appris ou deviné quelques augmentations qui se profilent. D'abord, cette phrase sans équivoque dans la bouche du vice-président : « le produit fiscal d'équilibre repose sur les contribuables ».

C'est-à-dire concrètement que seuls les impôts ménages peuvent assurer le futur équilibre budgétaire. Mais le vice-président a également évoqué plusieurs nouvelles taxes possibles : sur la plus-value des immeubles et terrains le long des lignes de transport en commun en site propre par exemple, ou la taxe sur les logements vacants.

Plus explicite : Serge Bouly, chargé de l'eau et l'assainissement a expliqué que la hausse du prix du mètre cube « est inéluctable » ? Depuis 1989, « la consommation a baissé de 34 %, les recettes baissent de 12 MEUR par an, les investissements progressent. Comment y échapper ? »

C. D.

 

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