L'orchestre à l'école à Tomblaine est un formidable projet à destination d'enfants de l'école Elisabeth et Robert Badinter.
Le partenariat qui réunit Education Nationale/ Ville de Tomblaine/ Ecole municipale de musique (TEMPO), a permis depuis l'an dernier de faire en sorte que 31 élèves de deux classes de CE2 (aujourd'hui en CM1) ont commencé à apprendre à jouer d'un instrument à cordes et, puisque le projet est collectif, ont formé un véritable orchestre. Le projet prévoit que l'apprentissage sera offert pendant trois ans : CE2, CM1, CM2 et peut-être même plus...
L'enseignante madame Petitjean a accepté l'idée qu'elle allait suivre ces enfants dans leur progression et donc changer de classes avec eux jusqu'au CM2. La directrice d'école, madame Brouillet qui partage aussi cette belle ambition pour ces enfants, s'est engagée également dans ce projet. Toutes deux ont commencé à apprendre en même temps que leurs élèves, prennent des cours en même temps qu'eux, progressent en même temps qu'eux et elles font partie de l'orchestre avec les élèves ! L'école de musique apporte l'encadrement, avec des professeures diplômées et compétentes : Lisa pour les violons, Amélie pour les altos, Céline pour les violoncelles. Pour les enfants, ce n'est que du bonheur, les parents sont également ravis.
Jeudi, un an après avoir commencé l'apprentissage des instruments, les enfants se les voyaient confiés par leurs professeures, en présences des enseignants, des parents, du maire Hervé Féron et du Président De TEMPO Thierry Brachet.
C'était un évènement, car ils vont désormais pouvoir ramener leur instrument chez eux et le garder toute la semaine, ce qui leur permettra de travailler à la maison (pour le plus grand plaisir des parents !)
Tous les conseils de précaution ont été donnés et chaque parent a signé une convention. 31 instruments à cordes, 14 violons, 11 altos et 6 violoncelles sont repartis dans leur housse à la main de chacun des petits élèves... L'image était belle.
"Cette proximité a pris des airs de familiarité en juin 2014, quand Sébastien Huyghe se rend au Congrès de Marseille avec son fils, âgé de quelques mois, et sa compagne, l’ex-députée UMP de Meurthe-et-Moselle Valérie Debord. Ironie de l’histoire : le thème de la rencontre est « Vie professionnelle et famille ». Or Valérie Debord, qu’il a rencontré sur les bancs de l’Assemblée nationale, est depuis peu… salariée du Conseil Supérieur du Notariat. Contrairement à celui qui est, depuis, devenu son mari, Valérie Debord n’est pas connue pour disposer de connaissances approfondies sur le monde notarial. Mais en 2012, elle échoue à se faire réélire dans la 2e circonscription de Meurthe-et-Moselle et n’a plus aucun mandat.
5 491,96 euros net mensuels pour un temps partiel
Heureusement, Benoît Renaud, le président du notariat de l’époque, originaire de la région de Nancy comme Valérie Debord, l’embauche comme chargée de mission de la grande organisation professionnelle des notaires de France. « Nous nous sommes rencontrés au Congrès des notaires de Cannes de 2011. Comme députée, elle avait aidé l’équipe à porter des propositions de loi, notamment sur le handicap, indique Benoît Renaud. Quand elle a cherché du boulot, je lui ai dit qu’on avait besoin de quelqu’un pour faire le relais avec le monde associatif. » Très bien mais cela correspond à quoi au juste ?
Interrogée par Mediacités, l’intéressée entre – un peu – dans les détails de sa fonction. « Le Conseil supérieur du notariat gère un certain nombre de dispositifs à destination des associations, notamment lors d’une très grosse manifestation annuelle, le Congrès. Celui-ci est financé grâce à des exposants qui payent pour avoir un stand. Mon rôle était de s’assurer que les relations avec ces associations étaient éthiques ». Très bien… mais encore ? On n’en saura pas plus. Malgré nos recherches, nous n’avons pas trouvé de beaucoup de traces des travaux menés par Valérie Debord. Une lettre spécialisée, Notariat 2000, la cite comme prenant part à l’élaboration du Guide des générosités réalisé à l’occasion du congrès annuel de Strasbourg en 2015. Mais le document ne fait nulle mention du nom de Valérie Debord parmi les auteurs – ou même les personnes remerciées.
Bien que les contours de la mission soient flous, celle-ci est très bien payée : 5 491,96 euros net mensuels, selon la déclaration faite par l’intéressée à la HATVP en octobre 2014. Soit, à quelques euros près, la somme qu’elle percevait comme députée (5 433 euros net). Il y a quand-même une grosse différence : chez les notaires, il ne s’agit que… d’un temps partiel ! Selon L’Est Républicain, le poste est « l’équivalent d’un 2/5e » pour un « travail de réseautage qui ne nécessite pas de se rendre au CSN à Paris ». Pratique, quand on vit à Nancy et qu’on aspire à revenir dans la vie politique. Valérie Debord, elle, affirme qu’il s’agissait d’un 4/5e de temps. Benoît Renaud croit se souvenir que c’était parfois un 2/5e parfois un 4/5e…
Une reine du cumul des salaires, des indemnités…
Le souhait de Valérie Debord de reprendre des responsabilités politiques se réalise assez vite. En mars 2014, elle figure en quatrième place sur la liste de Laurent Hénart (LR) aux municipales à Nancy et la voici adjointe au maire ; dans la foulée, elle est propulsée vice-présidente de la Communauté Urbaine du Grand Nancy. Ses indemnités d’élue s’élèvent respectivement à 1 125,57 et 1 636,39 euros net mensuels et viennent s’ajouter à son salaire du Conseil Supérieur du Notariat. Le 9 février 2016, Valérie Debord déclare donc 8 372,89 euros de gains net mensuels à la HATVP. Mais ce n’est pas tout…
La situation financière de Valérie Debord s’améliore encore en ce début d’année 2016 puisque la voici élue vice-présidente du conseil régional. Montant de cette nouvelle – et troisième – indemnité ? 2 889,5 euros brut mensuels. En 2016 et 2017, l’élue cumule ainsi trois mandats électifs (à la mairie de Nancy, à la Communauté Urbaine et à la Région Grand-Est) et son emploi au CSN. Ces années-là, les revenus de celle qui est devenue entretemps l’une des porte-paroles nationales des Républicains s’élèvent à 182 166 euros brut (2016) et 184 873 euros (2017). Bizarrement, ils ne seront déclarés à la HATVP qu’en septembre 2018.
Valérie Debord justifie le cumul de ses trois mandats et de son emploi au CSN (à 80%, donc, d’après elle) par le fait qu’elle ne disposait pas de délégation de signature, en 2016 et 2017, comme vice-présidente à la région Grand Est. « Pour être clair, on ne servait pas à grand-chose et on n’avait guère qu’à être présent aux séances plénières, indique-t-elle à Mediacités. Mon mandat régional me demandait peu de temps. » On apprécie sa franchise déconcertante.
… et des allocations chômage
Lorsque le nouveau de président de la région Grand Est, Jean Rottner, est élu le 20 octobre 2017 et qu’il attribue une délégation à sa 6e vice-présidente Valérie Debord, celle-ci décide de quitter son emploi au CSN. En mars 2018, elle signe une rupture conventionnelle avec son employeur. Ce mode de séparation est fort intéressant car il permet au salarié de bénéficier d’allocations chômage. Ce dont l’intéressée ne se privera pas ! La vice-présidente régionale à l’Emploi (!), également adjointe à Nancy et vice-présidente de la Communauté urbaine de Nancy (devenue Métropole du Grand Nancy) s’inscrit aussitôt à Pôle Emploi.
Les indemnités versées aux élus n’étant pas considérées juridiquement comme un salaire, elles sont compatibles avec les allocations chômage. Ces dernières sont calculées sur la base de 57 % du confortable salaire de Valérie Debord au CSN et s’appliquent pour deux ans – c’est à dire jusqu’en mars 2020. « Je ne fais rien d’illégal, j’ai cotisé », se défend Valérie Debord. L’élue indique être affectée dans la catégorie chômeur « en création d’entreprise » mais se refuse à en dire plus car il s’agit d’un projet très personnel. « Toute ma démarche est de trouver quelque chose de compatible avec la disponibilité d’un élu », explique-t-elle. Ledit projet aura-t-il un lien avec le milieu notarial ?
Il est toujours étonnant d'avoir un entretien serein et courtois avec un journaliste, sur sa sollicitation et de lire quelques jour plus tard un article dans lequel il en rajoute des tonnes. Il tente de me montrer agressif, il part dans des suppositions, des élucubrations, je ne résiste pas au plaisir de vous citer ce qui n'est qu'un extrait du journal La Semaine à mon sujet, jugez plutôt de vous-même : "Serait-il baigné par l'amertume, emporté par la cascade des ruptures, fatigué d'être incompris, au point de tomber dans la brutalité verbale qui véhicule des sentiments excessifs portés à leur paroxysme ?"... et ce n'est qu'un extrait !
Il faut oser écrire des choses comme ça. Finalement, le seul qui est agressif et gratuitement à mon encontre, c'est lui.
Je ne voulais même pas relever, car ces propos, dans un journal peu lu, n'appartiennent qu'à lui et aux quelques uns qui me combattent politiquement et à qui il prête une oreille bienveillante. Mais ceux-là sont si peu nombreux, eu égard à vous tous qui me témoignez régulièrement votre sympathie et vos encouragements dans les combats que nous partageons. Ce journaliste ne sait pas de quoi il parle. Ce n'est pas grave, mais il ne sait pas que je ne suis pas fatigué, je ne suis pas amer, je ne suis pas incompris, je suis au contraire encouragé par tout ce que nous réussissons ensemble à Tomblaine en particulier, fort des valeurs qui sont les miennes, motivé par vos témoignages quotidiens d'amitié, par milliers sur facebook et sur mon site herveferon.fr (3 600 000) entre autres et surtout je reste combatif.
Je dérange, parce que je suis le seul élu qui aura dénoncé les scandales, le mensonge, les complicités, les magouilles, la lâcheté, qui règnent sur la Métropole du Grand Nancy, dans un microcosme où tout est arrangé, où la parole est calibrée, car ils ont tous des intérêts à défendre.
Il faut se taire, c'est l'omerta. La moindre vérité annoncée devient un gros mot et bouscule les petites convenances, je suis alors traité comme un chien dans un jeu de quilles. Mais je reste combatif, n'en déplaise au journaliste ronchon, en quête d'info à sensation...
C'est toujours un rendez-vous important à cette époque de l'année...
Le maire, Jean-Pierre Laurency 1er adjoint en responsabilité des classes de neige, Christiane Defaux, adjointe au Maire
déléguée aux écoles, Sébastien Fetzer, directeur des classes de neige, les enseignants concernés et les animateurs,
ont présenté le projet aux enfants et aux parents. Une projection de photos a donné envie aux élèves de partir vite
pour les pentes ensoleillées et enneigées de La Clusaz, mais certains adultes y partiraient volontiers également...
Ce sont 133 personnes, dont 113 élèves qui partiront du 7 au 23 janvier prochains, pour un hébergement dans des
conditions optimales à St. Jean de Sixt et la pratique du ski à La Clusaz. Une expérience de vie en collectivité pour
la socialisation de l'enfant, l'épanouissement personnel, un bon bol d'air à la montagne et une ouverture sur d'autres
horizons...
Les enfants vont faire du ski de fond, du ski alpin, du biathlon (avec fusils à laser) de la piscine, des visites de ferme,
de musées... et ils vont aussi aller en classe...
Le coût réel par enfant est de 1200€ à la charge de la Commune, la participation des parents est de 150€.
Une bourse aux vêtements de ski solidaire est organisée à l'Espace Jean Jaurès, avec dépôts des vêtements mercredi
4 décembre de 17 à 20h, vente (limitée à 15€ maxi par vêtement) samedi 7 décembre de 9h à 17h, restitution des
invendus lundi 9 décembre de 17 à 20h. Les vêtements qui ne seront pas repris, seront donnés au CCAS qui pourra
les prêter ou les donner en cas de besoins particuliers.
A Tomblaine, tous les enfants savent skier, puisque tous les CM2 partent 17 jours chaque année en classes de neige,
tous les enfants savent nager, car ils vont tous pendant leur scolarité à la piscine, tous les enfants de toutes les classes
d'écoles primaires pratiquent la gymnastique sportive encadrés par un moniteur municipal diplômé d'Etat, tous les CM1
pratiquent le canoé-kayak...
Tomblaine, Ville sportive, jeune et dynamique !
Chaque année tous les parents d'élèves, dont les enfants mangent au restaurant scolaire de Tomblaine, sont invités à le visiter et à y déjeuner.
Mardi, c'était au Centre Léo Lagrange que le maire accueillait les parents, là où 53% des enfants, scolarisés dans les écoles maternelles et élémentaires Pierre Brossolette, mangent chaque jour. Les autres sites avaient été visités précédemment, : écoles Jules Ferry et écoles Elisabeth et Robert Badinter.
C'est un moment d'échanges et d'information pour les parents, plusieurs élus étaient présents, Christiane Defaux, adjointe au Maire déléguée à l'Enfance et à l'Accès au Savoir, le Directeur Général des Services de la Ville de Tomblaine, Guillaume Chappez et la directrice du service "restauration municipale" Corinne Paillet.
La Ville de Tomblaine est une des dernières communes qui continuent à proposer la restauration municipale en régie, c'est à dire que ce sont les services municipaux qui réalisent les repas, ce n'est pas un service délégué à telle ou telle société... Nous sommes donc pleinement responsables de ce service public.
Le service sert plus de 400 repas par jour...
Nous souhaitons l'accessibilité pour le plus grand nombre et si le moment du repas est un moment éducatif, c'est aussi et surtout un moment de détente et de plaisir.
La démarche qualité, on la retrouve bien sûr dans la confection des repas qui sont équilibrés. La loi imposera à partir de 2022 et de façon progressive, 20% d'alimentation bio et 50% de produits "valorisés" (c'est à dire labellisés, circuits courts,...). C'est assez étonnant de voir des directives ainsi décrétées et reprises par les médias donneurs de leçons aux élus locaux, quand on sait que la restauration scolaire n'est pas une compétence obligatoire pour les Communes et que l'Etat, tout en continuant à baisser les dotations aux Communes ne participe pas financièrement à la restauration scolaire.
Cela dit, on n'a pas attendu ce genre d'injonction pour que le service public local soit performant... A Tomblaine, les 20% d'alimentation bio, on les a mis en œuvre depuis de nombreuses années, puisque chaque semaine (le vendredi) un repas bio complet est servi (et ça coûte beaucoup plus cher à la collectivité), on n'a pas attendu non plus pour les 50%, puisque nous travaillons en grande majorité avec des produits frais, confectionnés "maison", sur place, par nos personnels et nous travaillons de plus en plus avec des producteurs locaux, en circuits courts.
Une nouvelle loi vient aussi de sortir qui prévoit l'obligation, dès novembre 2019, de proposer un repas végétarien (sans viande et sans poisson, sans proscrire toutes les protéines animales type lait, œufs, fromage...)
C'est mis en place à Tomblaine et ce sera chaque mardi. En sachant aussi que, conformément à la loi, les enfants qui ne mangent pas de viande ou de porc, se voient systématiquement proposer des aliments de substitution (protéines).
Le service public améliore chaque jour les conditions de vie des habitants.
Chaque année la municipalité de Tomblaine propose à tous
les commerçants du Centre-Ville qui le souhaitent un tapis
rouge et un sapin pour identifier les entrées de commerces,
sur un air de fête pour cette fin d'année.
Et tout le monde joue le jeu... Sympa !
Hervé Féron avec Najat Vallaud-Belkacem
et la réalisatrice yéménite, Khadija Al-Salami
Intervention d'Hervé Féron en Séance Publique pour les victimes de la répression
de la Commune de Paris
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