Hervé FERON, député-maire de Tomblaine où se situe l'aéroport de Nancy-Essey et Jean-Paul MONIN, maire d'Essey-lès-Nancy avaient interpellé le Préfet pour s'étonner de ne pas être invités à accueillir le Président comme cela se fait habituellement de façon républicaine à l'aéroport. Ils avaient précisé espérer ne pas apprendre qu'André ROSSINOT serait lui à l'aéroport, voire même avec des députés UMP, alors que les deux maires en étaient exclus. En réponse, le Préfet leur a fait savoir qu'ils étaient finalement invités à venir accueillir de façon républicaine le Président à l'aéroport.
La vérité, c'est qu'André ROSSINOT y était bien prévu, tout comme dans l'avion du Président voyageaient avec les ministres Xavier BERTRAND et Nadine MORANO, la députée UMP ROSSO-DEBORD. N'étions-nous pas dans le cas de figure où les choses étaient organisées de façon très partisane avec l'argent public ?
Contrairement à ce qui avait été annoncé, nous avons pu constater que des centaines de personnels de police, de gendarmerie, de sécurité étaient mobilisés entre Tomblaine, Laneuveville-devant-Nancy, Nancy pendant une grande partie de la journée.
Le candidat Nicolas SARKOZY est à la recherche de bains de foule, mais pas trop quand même ! La preuve, c'est que pour aller de Tomblaine à l'usine NOVACARB à Laneuveville-devant-Nancy, le chemin le plus rapide est celui qui traverse le quartier en Zone Urbaine Sensible dit "La Californie" à Jarville, quartier peut-être trop populaire pour le Président de la République et qui a été évité soigneusement par le cortège présidentiel, qui a rallongé sa route de plusieurs kilomètres en prenant la direction de Vandoeuvre par autoroute en allant au-delà de Ludres pour prendre la direction de Lunéville, sortir au niveau de Saint-Nicolas-de-Port et revenir pas Laneuveville-devant-Nancy. Tout cela pour éviter le quartier "La Californie".
Dans l'entreprise NOVACARB, le discours du Président était un discours de campagne dans lequel il a tenté de défendre ses mauvaises réformes qui sont celles de la taxe professionnelle ou celle des retraites. Le candidat SARKOZY a annoncé qu'il serait désormais toutes les semaines dans les usines. Il était clair qu'il était en campagne pour l'élection présidentielle.
Question : Combien a coûté aux contribuables ce déplacement ?
Hervé Féron, député maire de Tomblaine a accueilli Ségolène Royal au nom de la fédération du PS 54. Photo Michel FRITSCH
Elle voulait placer son déplacement en Lorraine sous le signe du social, chômage et pouvoir d'achat au programme. La candidate aux primaires du PS pour la présidentielle et son comité Désirs d'avenir auront été servis au fil de ses trois étapes qui l'ont conduite dans une ferme d'insertion pour personnes en difficultés psychiques et/ou sociales à Bainville-sur-Madon, au sud de Nancy, puis au foyer du Grand Sauvoy, spécialisé dans la réinsertion également, avant de terminer son séjour par une réunion publique à Gentilly qui aura réuni près de 150 personnes. Et surtout offert l'occasion à une délégation d'une douzaine de syndicalistes de la CGT d'Arvato, plate-forme téléphonique de Laxou, où une grève est menée depuis 48 jours, d'exposer ses doléances. « C'est le Moyen-Âge », en déduit allègrement la candidate après avoir entendu que certains salaires nets n'excédaient pas 980 EUR et que l'entreprise mégotait sur 5 EUR de ticket resto. Et de lancer à l'adresse du patron du site : « Respectez vos salariés, augmentez-les, ils seront encore plus efficaces et vous obtiendrez plus de bénéfices », convaincue qu'il est possible de conjuguer « efficacité sociale et efficacité économique ». D'où cet appel à « la force citoyenne, cette capacité à avancer, à reprendre la maîtrise de notre vie », à promouvoir « un ordre social juste ». « Ça ne vous rappelle pas 2007 ? » glisse non sans malice Ségolène Royal, bien décidée à faire entendre sa petite musique, « avec des propositions concrètes », comme « le blocage du prix de l'essence et des 50 produits de première nécessité ». « Ajoutez-y les produits d'hygiène », lui suggère Stéphanie, une jeune mère de famille de Champ-le-Boeuf au RSA, qui lui déroule, sans fard, sa vie de « Deux paires de jumeaux à charge, dont un handicapé, un mari agent d'entretien avec un CDI de 7 h par semaine ». « Votre témoignage souligne la caricature qui a été faite du RSA », rebondit Royal qui veut croire que « les politiques ont encore une grande marge de manoeuvre s'ils le veulent. Tout est possible. Avec Sarkozy ce fut surtout le pire, il a donné encore plus à ceux qui avaient déjà beaucoup. Regardez l'assisté Tapie ! Moi, je commencerai pas le haut de l'échelle sociale ».
« Une société est à inventer »
Ségolène se (re) voit déjà en haut de l'affiche. « Il faudra rassembler après la primaire. Pas comme en 2007, ceux qui avaient été vexés de ne pas avoir été désignés étaient partis dans tous les sens. Pan sur Fabius et... DSK.
« Qui ne tue pas se renforce », glisse celle qui se dit « indifférente aux attaques. Avant, quand je recevais un scud, ça me culpabilisait. Aujourd'hui, ça ne me touche plus. ». Dans la Lorraine, dont le président avait été le premier à se prononcer pour elle, et où elle avait obtenu 64,5 % aux primaires, le parterre d'élus pour l'accueillir était hier clairsemé. Dinet, président du conseil général, Vinchelin, l'un de ses vice-présidents, Féron, député, sont là, en « Républicains ». Déjà 17 déplacements au compteur depuis le 30 novembre. Et le grand meeting de Toulouse de dimanche prochain dans la tête. Candidate jusqu'au bout. « Quand on a quelque chose à dire, il faut le dire. Une société est à inventer. Pour améliorer la vie des gens. Pas je ne sais quel rêve » Ce scud-là est aussi très ajusté.
Philippe RIVET, Est Républicain
De multiples utilisations... Photo Dominique CHARTON
CE N'EST PAS en prenant exemple sur le Conseil général qu'Hervé Féron et le conseil municipal de Tomblaine ont décidé d'installer les nouvelles technologies dans les salles de classe des groupes scolaires de la cité.
L'idée est venue au parlementaire meurthe-et-mosellan à la faveur d'un voyage d'études aux Etats-Unis. Séduit par la souplesse, les multiples vertus tant pédagogiques que créatives du tableau interactif, le maire de Tomblaine n'a eu aucun mal à convaincre son conseil et les enseignants de Tomblaine, tous volontaires.
Au terme d'un plan pluriannuel de quatre ans, les 650 enfants inscrits à Tomblaine au sein des quatre groupes scolaires auront accès au tableau interactif et à des ordinateurs flambant neufs reliés en réseau dans chaque salle de classe, avec accès au haut débit bien sûr.
L'école Jules-Ferry est la première à être dotée de ce dispositif pour un montant de près de 24.000 EUR.
A l'issue d'une petite session de formation les enseignants ont commencé à explorer les innombrables facettes de cet outil de pointe.
« Les documents projetés sur le tableau sont numérisés au préalable », explique Philippe Astruc, qui enseigne à des CM2. « On peut également utiliser des logiciels existants et bien sûr avoir accès à internet à tout moment pour enrichir les leçons. Et comme il s'agit d'un tableau, on peut aussi écrire dessus et utiliser une foule d'outils, des couleurs différentes. Les possibilités sont multiples ».
Indépendamment du fait que l'enseignant doit quelque peu revoir ses pratiques pédagogiques, le nouveau matériel est perçu comme un atout indéniable qui a notamment pour effet de susciter l'intérêt des scolaires. « Le tableau est d'une utilisation simple et ludique. C'est enthousiasmant pour les enfants. Ça l'est forcément aussi pour l'enseignant ».
Adaptable à la tailledes utilisateurs
Le tableau interactif est aussi adaptable à la taille de chaque utilisateur.
Premier groupe scolaire urbain à être doté de tableaux interactifs, l'école Jules-Ferry, comme les autres groupes scolaires de la cité, a été dotée d'un nouveau mobilier plus ergonomique. « L'enveloppe consacrée au fonctionnement des écoles de Tomblaine correspond à 12,29 % de notre budget, soit 770.000 EUR annuels. C'est pour notre ville une priorité », conclut Hervé Féron.
Un effort notable qui se traduira aussi l'année prochaine par la reconstruction d'un groupe scolaire pour un montant de 5 MEUR.
Frédérique BRACONNOT, Est Républicain
Enlevés en Afghanistan le 30 décembre 2009, cela fait aujourd’hui 500 jours que les journalistes Hervé Ghesquière, Stéphane Taponier et leurs trois accompagnateurs sont retenus en otages.
Le Député-Maire de Tomblaine, Hervé Féron rappelle son soutien aux familles des otages. La mairie a d’ailleurs affiché son soutien aux journalistes par une banderole qui orne sa façade depuis le 16 septembre 2010.
La Député UMP de la 3ème circonscription de Meurthe et Moselle, Valérie Rosso-Debord à interpellé hier le Ministre de l’intérieur sur la nécessité pour la droite de mettre en place de nouvelles règles de sécurité routière.
C’est un nouvel aveu d’échec d’une politique de Nicolas Sarkozy. La droite n’imagine la sécurité routière qu’en termes de répression pour alimenter les caisses de l’Etat et pas du tout en termes de prévention, ce que nous préconisons par contre.
Nous pensons qu’il n’est pas judicieux d’installer des radars non signalés sur une ligne droite sécurisée, absolument pas accidentogène. Cela ne sert qu’à remplir les caisses de l’Etat.
Par contre nous pensons qu’il est souhaitable de placer des radars annoncés dans des zones à risques (virages dangereux, traversées de villages) pour que l’automobiliste soit prévenu et ralentisse donc. Cela fera à coup sur moins de recettes pour l’Etat, mais également moins d’accidents sur la route.
Hervé Féron était présent le 08 mai à Tomblaine pour se recueillir devant le monument aux morts. Il était également présent aux cérémonies de Vandoeuvre, de Villers, de Nancy et de Houdemont, bien que sur toutes les photos de l’Est Républicain, Hervé Féron a été coupé et ne figure pas dans les articles.
Hervé Féron était dimanche 08 mai au côté de Stéphane Hablot pour rendre hommage aux soldats morts pour la France durant la seconde guerre mondiale.
Hervé Féron avec Najat Vallaud-Belkacem
et la réalisatrice yéménite, Khadija Al-Salami
Intervention d'Hervé Féron en Séance Publique pour les victimes de la répression
de la Commune de Paris
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