Jeudi à 18h, Hervé FERON et ses co-listiers avaient invité les Tomblainois à une réunion publique. Au menu, présentation de la liste, bilan et projet...
Excellente ambiance, forte d'un excellent bilan et d'un projet cohérent dans la même dynamique, la liste "A Gauche pour Tomblaine" est prête pour un nouveau mandat au service de tous.
On a un peu souri en découvrant les propositions de la liste adverse (sur enfin un écrit) qui propose... essentiellement des choses qui ont déjà été proposées, annoncées, budgétées et votées par la majorité d'Hervé FERON !
Pas de grand danger donc, sinon que la liste adverse agite, comme à chaque fois les vieux démons ! L'insécurité, une police municipale, etc...
Ces gens là démontrent leur irresponsabilité, en agissant ainsi, ils attisent les haines les plus primaires. Ils démontrent ainsi qu'ils ne seraient pas capables de gérer Tomblaine.
Au passage, on remarque dans cette liste qui se dit apolitique ? sans étiquettes ? de centre droit ? mais qui est menée par une dame qui n'a eu de cesse d'aller prendre ses ordres chez Rossinot pendant tout le mandat, contre les intérêts de Tomblaine, une dame qui ne s'est réveillée au Conseil Municipal que lorsque nous avons attaqué les politiques de casse sociale de Sarkozy, dans cette liste où le deuxième de liste est investi officiellement par l'UMP, il y a un ancien collaborateur de Morano, aujourd'hui recasé chez Rossinot, il y a même la belle-soeur de Morano !
Le pauvre Rossinot, jamais à court de coups bas, il ne sait plus quoi inventer ! et il n'avait plus de gendre à envoyer en banlieue (il avait épuisé son stock à Villers)...
Ce que cette liste aurait dû dire si elle avait été responsable, c'est qu'à Tomblaine, on n'a pas de police municipale, on n'a pas de parcs-mètres non plus, mais on a baissé les faits de délinquance et les incivilités de...46% ! Eh oui, ce sont les chiffres officiels communiqués par la police nationale. Oh, bien sûr, on nous trouvera toujours un petit délit, ou un cambriolage de temps en temps (comme partout), mais il n'y a pas de quoi tenter d'aiguiser l'animosité, de monter une partie de la population contre l'autre, car cela laisse des traces très longtemps et ce n'est bien pour personne.
Alors, comment la Municipalité a-t-elle fait pour en arriver là ? Dans une ville où un habitant sur 3 a moins de 19 ans, elle a mis beaucoup de moyens sur l'Ecole Publique, sur la culture, sur le sport, les loisirs, le lien social.
Et puis les élus de la majorité ont beaucoup travaillé pendant tout le mandat au quotidien, dans la proximité, sur le terrain pour ce resserrement du lien social. Ce que les élus de l'opposition n'ont jamais fait.
Juste une question à la liste adverse : cette police municipale dont on n'a pas besoin, vous la financez comment ? Vous augmentez les impôts ? Ou bien vous supprimez des ATSEM dans les écoles ? Ou bien vous supprimez les classes de neige ? la restauration scolaire ? Le Foyer de Personnes Agées ? C'est important que vous précisiez tout ça à la population, puisqu'en votant contre le budget municipal sans aucune explication, vous avez voté contre les ATSEM, contre les classes de neige, contre la restauration scolaire, contre le Foyer de Personnes Agées. C'est dommage que vous n'ayez pas été capables de donner la moindre explication, car on pourrait penser que vous êtes inféodés à Rossinot...
Les "Carnets de Route" que j'avais écrits lors de mon périple en Palestine ont été repris dans un livre qui s'intitule "Bienvenue en Palestine" (c'était le titre que j'avais choisi pour ces "Carnets de Route")...
Vous pouvez trouver et commander ce livre sur internet soit sur Google en tapant "Bienvenue en Palestine", puis "Kairos" (c'est l'éditeur). Vous pouvez aussi taper Fnac, (c'est un peu moins cher), puis "Bienvenue en Palestine", Hervé FERON.
Les bénefices vont à l'AFPS (Association France Palestine Solidarité), j'ai, bien sûr, abandonné tous mes droits. Je ne gagne pas d'argent.
Hervé FERON.
Ce dimanche 16 mars, Hervé Féron accompagnera la Ministre de la Culture et de la Communication Aurélie Filippetti au Grand Jury RTL - Le Figaro - LCI.
Rendez-vous à ne pas manquer entre 18h30 à 19h30.
50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014.
Le Président Rossinot veut tout maîtriser et, pour ce faire, il a une capacité à empêcher les initiatives, ou à geler les projets de développement, il distribue les avantages à ses amis pour tenter de conserver une majorité, il organise un traitement inégalitaire des communes et des quartiers sur l’agglomération nancéienne. Tout cela va à l’encontre de l’intérêt public et de la cohésion sociale. Les Grands Nancéiens souffrent. Nous développerons d’ici à 2014, « 50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014 », par la présentation de 50 dossiers, des petits dossiers, qui paraissent insignifiants, tant ils passent inaperçus, ou encore de gros dossiers… qui paraissent insignifiants tant ils passent inaperçus !
Dossier n° 35 – 13 mars 2014
VOTEZ MATHIEU KLEIN !
J’étais présent hier soir lors du débat organisé par l’Est Républicain et France Bleu, réunissant les têtes de listes pour les municipales à Nancy. La première des choses qui est à remarquer, c’est certainement l’absence d’André Rossinot. On se dit que, soit il continue à être très suffisant et il ne s’abaisse pas à venir avec le petit peuple écouter parler les candidats, soit il ne soutient pas avec enthousiasme Laurent Hénart. Il y a une troisième solution, c’est qu’il ait cette suffisance et qu’il ne soutienne pas avec enthousiasme Laurent Hénart.
L’organisation de ce débat est très intéressante dans sa forme. Il est forcément frustrant d’avoir un temps de parole limité sur autant de sujets mais ce style de débats a le mérite d’exister. Je suis forcément partisan, mais c’est tout de même avec une réelle satisfaction et bien évidemment sans surprise que j’ai trouvé que Mathieu Klein surclassait et de loin tout le monde dans ce débat. Il a le bon ton, il a choisi la bonne méthode, il est toujours en train d’installer la construction de son projet en le présentant de façon très pédagogique et sereine. Il ne cède pas aux tentatives de déstabilisation, il convainc, il avance. On sent qu’il est homme de terrain, on sent que le projet a été mûrement réfléchi. Il est le bon candidat, il est l’homme de la situation. Assez loin derrière lui arrive Laurent Hénart, avec un certain nombre de qualités qu’on lui connaît mais coincé dans le costume qu’il se doit d’endosser, le costume du mauvais bilan du temps d’André Rossinot. Il est très difficile pour lui d’assumer.
Mais surtout, on découvre un Laurent Hénart très énervé, très énervable. On m’avait dit qu’il s’était déjà comporté comme ça à d’autres occasions, mais on le sent véritablement sur la défensive et moins convaincant que Mathieu. Il est trop agressif.
Quant aux autres candidats, j’ai trouvé cela très décevant. Je pense sincèrement que beaucoup d’entre eux sont sur des positions dogmatiques, que leur projet est plus d’être candidat que de devenir éventuellement Maire de Nancy. C’est vraiment dommage pour le débat car ils ne se sont pas sérieusement appropriés les problématiques. Il y a manifestement un manque de travail. Je ne dis pas cela pour le plaisir de polémiquer mais je pense que beaucoup de questions méritaient des réponses plus pertinentes, plus pragmatiques et là, seul Mathieu Klein m’a convaincu.
Je suis également dérangé par le fait qu’on pose beaucoup de questions aux candidats à la Mairie sur des thématiques qui sont de la compétence de la Communauté Urbaine, même si bien évidemment, le Maire de Nancy (et surtout si c’est Mathieu Klein) aura toute sa place dans la discussion, dans la contribution sur chacune de ces thématiques.
Par contre, lorsque je lis la presse d’aujourd’hui, je suis étonné de voir qu’une association « interpelle les candidats à la Mairie de Nancy et par voie de conséquence à la CUGN au sujet de la fracture numérique ». En effet, il est clair que nous ne sommes pas là sur un domaine de compétence municipale mais que c’est une compétence que s’est attribuée la Communauté Urbaine. J’ai trouvé dommage à plusieurs reprises que la presse n’ait pas relayé mes propos au Conseil de Communauté Urbaine. En effet, je suis le seul Conseiller communautaire à être intervenu très longtemps sur ce qu’on appelle les zones d’ombre et les mauvais choix du Grand Nancy en matière d'accès au Très Haut Débit. Rappelez-vous, j’étais également intervenu à l’époque et j’avais été le seul pour dénoncer les conditions scandaleuses de la gestion de la SEM Câble de l’Est, le déficit cumulé et les conditions dans lesquelles la CUGN a stoppé cette aventure en perdant au passage 3,87 millions d’euros. J’ai été le seul à intervenir en Conseil de Communauté sur l’oubli de Tomblaine par le Président Rossinot quant au développement de la fibre optique. A tel point qu’au Conseil de Communauté suivant, c’était en 2012, il a dû remettre à l’ordre du jour une nouvelle délibération pour corriger la précédente (je l’avais menacé par écrit de l’attaquer au Tribunal Administratif pour inégalité de traitement). Aujourd’hui, j’apprécierais que la presse relaie de temps en temps mes prises de position car dans l’article que j’ai publié hier sur ce même blog intitulé « Le courant ne passe pas », il me semble que je donne des réponses assez précises aux questions que se pose cette association, questions qui ne peuvent être posées si on veut être cohérent qu’au futur Président de la Communauté Urbaine. Pour l’instant, je suis le seul à y avoir répondu.
Encore une bonne raison pour changer de majorité à la Communauté Urbaine en 2014.
50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014.
Le Président Rossinot veut tout maîtriser et, pour ce faire, il a une capacité à empêcher les initiatives, ou à geler les projets de développement, il distribue les avantages à ses amis pour tenter de conserver une majorité, il organise un traitement inégalitaire des communes et des quartiers sur l’agglomération nancéienne. Tout cela va à l’encontre de l’intérêt public et de la cohésion sociale. Les Grands Nancéiens souffrent. Nous développerons d’ici à 2014, « 50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014 », par la présentation de 50 dossiers, des petits dossiers, qui paraissent insignifiants, tant ils passent inaperçus, ou encore de gros dossiers… qui paraissent insignifiants tant ils passent inaperçus !
Dossier n° 34 – 12 mars 2014
LE COURANT NE PASSE PAS
La CUGN investit depuis 1996 dans la construction d’un Réseau Métropolitain de Télécommunications en fibre optique, visant à développer l’accès Haut Débit sur l’ensemble de l’agglomération. D’abord limité aux administrations locales et aux entreprises, la CUGN a choisi courant 2010 d’étendre son Réseau et de déployer la fibre optique jusqu’à l’intérieur des logements pour les particuliers des 8 communes les moins bien desservies de l’agglomération, à savoir Art-Sur-Meurthe, Fléville-devant-Nancy, Jarville-la-Malgrange, Laneuveville-Devant-Nancy, Maxéville, Saulxures-lès-Nancy, Seichamps et Tomblaine.
On se souvient des difficultés qu’Hervé Féron avait connues pour faire en sorte que Tomblaine soit intégré à ce projet car André Rossinot avait tout simplement oublié la ville de Tomblaine. Il a fallu des interventions acharnées d’Hervé Féron pour que la mauvaise délibération qui avait été prise soit reproposée au Conseil de Communauté suivant en intégrant Tomblaine.
La gestion du RMT est assurée par Tutor, société privée liée à la CUGN par une délégation de service public pour une durée de 8 ans. C’est ainsi elle qui a été chargée de définir les conditions d’accès des Fournisseurs d’Accès Internet au Réseau afin que ceux-ci puissent proposer leurs services au public.
Depuis le 1er octobre dernier, les habitants de quatre des communes précitées sont raccordés au réseau déployé par la CUGN. 9.000 prises FTTH ont été ouvertes à la commercialisation dans les communes de Fléville, Laneuveville, Maxéville et Saulxures. Quatre opérateurs peu connus du grand public se sont positionnés et proposent leurs services. Les Fournisseurs d’Accès Internet nationaux n’ont quant à eux formulé aucune offre à l’heure actuelle.
La raison ? Tutor demande aux opérateurs de débourser 12 euros pour l’utilisation des câbles reliant le particulier au réseau local. Sur un abonnement triple play généralement situé aux alentours des 30 euros, ce montant représente tout de même plus du tiers de l’abonnement facturé aux usagers ! Dès lors, il n’est guère étonnant de voir les FAI nationaux bouder le réseau de la CUGN et compter sur une baisse progressive de ce tarif, une fois le réseau amorti. D’autant plus dans le contexte actuel où la guerre des prix entre les opérateurs semble repartir de plus belle comme le montre l’offre triple play proposée récemment par l’un des Fournisseurs d’Accès Internet à 19,90 euros sur laquelle certains concurrents se sont rapidement alignés en dépit des doutes des analystes quant à la viabilité économique d’une telle initiative. D’autant plus que les opérateurs s’emploient conformément aux orientations nationales contenues dans le plan France Très Haut Débit et en collaboration avec les pouvoirs publics à moderniser leur réseau pour répondre aux nouveaux usages des internautes et étendre l’accès Haut Débit dans les zones difficilement accessibles pour que chaque habitant puisse être raccordé à Internet.
Les conditions imposées par Tutor et indirectement par la CUGN dans le contrat d’affermage nuisent à l’attractivité du réseau communautaire. C’est donc une offre partielle qui est présentée aux habitants concernés. Il ne s’agit pas de critiquer les propositions des quatre opérateurs qui se sont positionnés sur ces communes, ni leur capacité à assurer une qualité de service satisfaisante. Le problème, c’est que la liberté de choix des habitants est dès lors restreinte. En effet, pour bénéficier du Très Haut Débit, ceux-ci devront impérativement changer d’opérateur, entraînant le règlement de frais de résiliation, la perte de certains services dont ils bénéficient avec leur FAI actuel...
Le mécontentement grandissant de ces citoyens laisse également à penser que la Communauté Urbaine pourrait laisser des plumes dans cette affaire si son Réseau était délaissé par les habitants de l’agglomération. Ce serait une nouvelle fois des investissements considérables qui auraient été réalisés avec de l’argent public dépensé en vain. Plus de 13 millions d’euros sont consacrés par la CUGN à la résorption des zones blanches et grises dans l’agglomération, sans compter les travaux déjà entrepris précédemment. S’achemine-t-on vers un nouveau désastre financier ? Rappelons que le réseau était précédemment géré par la SEM Câbles de l’Est qui a enregistré un déficit cumulé de 2,25 millions d’euros entre 2000 et 2004, conduisant la CUGN à stopper cette aventure hasardeuse et perdant au passage 3,87 millions d’euros, correspondant aux fonds investis dans le capital de la SEM.
En 2012, Tutor a reversé près de 853.000 euros à la Communauté Urbaine pour l’exploitation du réseau mais il n’est pas certain que le montant de ces redevances demeure aussi élevé. Le contrat d’affermage prenant fin en février 2015, une procédure de consultation pour la recherche d’un nouvel opérateur a été lancée. Ce serait peut-être l’occasion de rechercher enfin une issue à ces difficultés pour éviter un nouvel écueil de l’agglomération dans le domaine du numérique.
Une bonne raison supplémentaire pour changer de majorité à la Communauté Urbaine en 2014.
Lundi à 19h15, Hervé Féron rencontrait les seniors du club de football de Tomblaine, le GSAT, et avec la sympathique présidente, Hinde Magada, il remettait les nouvelles tenues à l'équipe 1 du club.
Petit moment de convivialité.
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Pour la deuxième fois en une dizaine de jours, les sondages donnent Mathieu Klein gagnant les élections municipales de Nancy, ce qui signifierait qu’André Rossinot ne serait pas renouvelé à la Présidence de la Communauté Urbaine. Le seul véritable enseignement à tirer de ces sondages est que la victoire de Mathieu est possible. Cela ne doit avoir qu’une seule conséquence : nous mobiliser très nombreux pour faire gagner Mathieu Klein. Il est évident que les socialistes, la Gauche et plus largement encore, tous ceux qui se sont engagés dans cette campagne ont eu raison de faire campagne solidairement. C’est aussi parce que la proposition d’une Présidence de la CUGN à Hervé Féron et une première Vice-Présidence à Mathieu Klein représentent une belle alternative cohérente et constructive pour les Grands Nancéiens.
A droite, on s’énerve beaucoup. C’est pour cela qu’Hervé Féron subit quasiment une rumeur nouvelle par jour, diffusée lâchement sur le net. Il a opté pour répondre très peu, tant la méthode est médiocre et peu crédible. Par contre, sentant parfaitement le danger de l’association Mathieu Klein / Hervé Féron, la droite s’emploie à dire et à faire dire aux médias que cette association serait très inattendue, on a même parlé de « tempêtes passées ». Voilà donc ce qu’Hervé Féron en dit :
« Mais de quelles tempêtes parle-t-on ? Vous pouvez rechercher toutes les interventions de Mathieu Klein ou de moi-même, écrites ou orales, il n’y a jamais eu la moindre tempête, la moindre engueulade entre nous. Je dirais même que j’ai toujours eu beaucoup d’estime et une vraie amitié vis-à-vis de Mathieu. Ce ne sont pas les circonstances actuelles qui m’amènent à dire cela publiquement. J’ai rencontré Mathieu Klein au Conseil Général de Meurthe-et-Moselle lorsque tous les deux nous étions Vice-Présidents. Tout est vérifiable, regardez bien, Mathieu Klein et moi-même avons toujours porté les politiques publiques du Conseil Général ensemble derrière Michel Dinet, nous avons toujours voté pendant plusieurs années exactement de la même façon, solidairement avec la majorité de Michel Dinet. Quand en 2007 j’ai souhaité être candidat aux législatives, Mathieu Klein a été de ceux qui m’ont activement soutenu pour que j’obtienne l’investiture. Quand ensuite Mathieu Klein a été candidat pour devenir le Premier Secrétaire Fédéral du Parti Socialiste en Meurthe-et-Moselle, je suis certainement celui qui l’a le plus activement soutenu. Il suffit de regarder le résultat du vote de la section socialiste de Tomblaine, 100% avait voté Mathieu Klein ! Quand la droite a charcuté ma circonscription pour tenter d’avantager Valérie Debord, Mathieu Klein a soutenu activement ma candidature à l’investiture pour ces législatives de 2012. Nous sommes donc compagnons de route depuis longtemps.
Alors certes, nos personnalités sont très différentes, notre parcours, nos histoires personnelles mais la diversité, c’est ce qui a toujours fait la richesse de notre parti. L’important, c’est qu’on se rejoigne systématiquement sur les valeurs républicaines, progressistes, humanistes. Les deux exemples que la droite nancéienne a tenté de trouver sont sur les sujets du cumul des mandats et l’affaire Dieudonné. Sur le cumul des mandats, Mathieu souhaitait une loi telle que celle qui vient d’être votée, moi je souhaitais une loi qui empêche les cumuls de mandats impossibles mais qui permette aux maires de petites communes de continuer à pouvoir participer aux travaux de l’Assemblée. Lorsque certains m’ont attaqué gratuitement sur cette position, j’ai répliqué vivement et sans excès. Les excès, on ne les a trouvés que dans les commentaires qui ont été faits sur mes propos. Ce n’est jamais Mathieu Klein qui m’a attaqué là-dessus, je n’ai donc jamais répliqué contre lui. Alors voilà, de tempêtes, il n’y a pas eu.
Sur l’affaire Dieudonné, nous étions exactement sur le fond sur les mêmes positions. Juste dans la méthode, je pensais qu’il ne fallait pas interdire Dieudonné de spectacle pour ne pas le victimiser mais qu’il valait mieux faire constater ce qui pouvait être de l’ordre du délit et demander à ce que les peines soient appliquées. Cela me semblait plus efficace. Là encore, il n’y a pas eu de tempête entre Mathieu et moi. Le projet que nous proposons, lui aux Nancéiens et moi aux Grands Nancéiens, c’est de continuer à construire ensemble. C’est pourquoi je crois très fort à une grande mobilisation pour la candidature de Mathieu Klein ».
Hervé Féron avec Najat Vallaud-Belkacem
et la réalisatrice yéménite, Khadija Al-Salami
Intervention d'Hervé Féron en Séance Publique pour les victimes de la répression
de la Commune de Paris
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