Après les multiples promesses non tenues par le Président-candidat Sarkozy devant les sidérurgistes d’Arcelor Mittal, c’est au tour de Valérie Rosso-Debord d’en mettre une couche, en affirmant que l’Etat était « prêt à prendre des parts dans le capital d’ArcelorMittal si nécessaire ». Elle va bientôt devenir plus démago que lui…