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Jour : 9 octobre 2012

Ce soir à 18h00, au Quai d’Orsay, Hervé Féron participera, à l’invitation et aux côtés de Laurent Fabius, Ministre des Affaires Etrangères, au lancement de la campagne mondiale pour l’abolition universelle de la peine de mort.

Hervé Féron, Député-Maire de Tomblaine, André Bonal, Président de la SLH, et Raphaël Atlani, le Directeur de la SLH.

Hier, au 4 rue Jean Moulin à Tomblaine, avait lieu l’inauguration du « Chardon Rouge », une résidence de 30 logements sociaux, en présence des nouveaux habitants. Cette réhabilitation est le résultat d’un travail en commun entre la ville de Tomblaine et de la Société Lorraine d’Habitat (S.L.H.). 

Monsieur André Bonal, Président de la S.L.H., a souligné qu’Hervé Féron, le Maire de Tomblaine, a œuvré pour la mise à disposition par le Grand Nancy de l’emprise foncière. Puis la S.L.H., à l’origine de l’opération de rénovation, a su faire de ce bâtiment, qui a abrité durant 30 ans les pompiers de la caserne de Tomblaine, un véritable lieu de vie, grâce à la maîtrise d’œuvre ECOLOGGIA BATIMENT, qui a su répondre concrètement à l’esprit d’innovation du bâtiment. 

Hervé Féron lui, a souhaité la bienvenue aux 30 familles nouvellement tomblainoises. Il  a souligné que le logement social aujourd’hui, au-delà de la maîtrise des charges locatives, doit être aussi un habitat de qualité, digne. Le « Chardon Rouge » est labellisé BBC (bâtiment basse consommation). La résidence propose des performances thermiques équivalentes à des logements neufs, dans un bâtiment construit dans les années 1970, grâce à une technologie novatrice. Des isolations thermiques extérieures de qualité, l’installation d’une pompe à chaleur géothermique.

C’est ainsi qu’une chaudière à condensation fonctionnera en complément de la géothermie, rendue possible grâce à 14 forages à 100 mètres de profondeur. Les dépenses d’énergies seront ainsi divisées par 4.

Hervé Féron a rappelé qu’il a fallu se battre à l’époque pour que ces 30 logements sociaux ne soient pas déclassés. Il avait dû interpeller le Président du Conseil Général (en responsabilité du SDIS), et le Président de la Communauté Urbaine du Grand Nancy, qui tous les deux avaient soutenu sa position. Il ne fallait pas supprimer 30 logements sociaux dans le contexte actuel. 

C’est ainsi qu’avec la S.L.H., ce beau projet a pu être possible.