Agir pour vous et avec vous

Mois : novembre 2012 (Page 3 de 12)

Samedi 1er décembre, à la salle des fêtes à Tomblaine, la section Socialiste de Tomblaine organisera sa traditionnelle choucroute républicaine.

Chaque année, un invité exceptionnel est reçu par le secrétaire de section, Jean-Pierre Laurency, conseiller général de Meurthe-et-Moselle, et Hervé Féron, le maire de Tomblaine. Cette année, cet invité sera Michel Liebgott, député socialiste de la 10ème circonscription de Moselle, sur laquelle se trouve la commune de Florange et Arcelor Mittal. 

N’hésitez pas à vous inscrire nombreux en retournant l’invitation ci-dessous (cliquez sur l’invitation pour la télécharger au format PDF et l’imprimer) ! 

ATTENTION : vous avez jusqu’à demain, mercredi 28 novembre, pour renvoyer le coupon !

Samedi 1er décembre, à la salle des fêtes à Tomblaine, la section Socialiste de Tomblaine organisera sa traditionnelle choucroute républicaine.

Chaque année, un invité exceptionnel est reçu par le secrétaire de section, Jean-Pierre Laurency, conseiller général de Meurthe-et-Moselle, et Hervé Féron, le maire de Tomblaine. Cette année, cet invité sera Michel Liebgott, député socialiste de la 10ème circonscription de Moselle, sur laquelle se trouve la commune de Florange et Arcelor Mittal. 

N’hésitez pas à vous inscrire nombreux en retournant l’invitation ci-dessous (cliquez sur l’invitation pour la télécharger au format PDF et l’imprimer) ! 

ATTENTION : vous avez jusqu’à demain, mercredi 28 novembre, pour renvoyer le coupon !

Ce matin, le site leplus.nouvelobs.com publiait une tribune intitulée : « Mittal ne respecte pas la France : nous, députés, soutenons la fermeté de Montebourg ». Je suis signataire de cette tribune, dont voici la teneur :

Mittal ne respecte pas notre pays

Aujourd’hui, Mittal ne respecte pas notre pays. Par des conditions de reprise intenables, il empêche le gouvernement de trouver des repreneurs sérieux et voue à l’échec les tentatives de sauvetage de Florange et de ses emplois.

En 2006, Mittal a mené une OPA hostile pour absorber Arcelor, fleuron européen de la sidérurgie. Depuis, il n’a respecté ni ses engagements, ni la France. Le site de Gandrange a été fermé en 2009. Le site de Florange n’a bénéficié d’aucun investissement pour accroître sa compétitivité. L’industriel indien complète lui-même le tableau : il se livre aujourd’hui à un chantage à l’emploi en impliquant les autres sites français de production.

Nous, députés de la Nation, considérons qu’il est temps d’arrêter de considérer comme la seule qui vaille la parole d’un dirigeant industriel dont les intérêts ne sont manifestement pas ceux de la France, de son tissu industriel, de ses emplois.

 

Pallier les défaillances de l’industriel indien

Nous, députés de la Nation, affirmons que l’État fait son devoir en envisageant de pallier aux défaillances de l’industriel indien. Il est temps de sortir de la chimère d’une économie sans usine, sans machine, comme si l’immatériel pouvait remplacer le travail de l’ouvrier, du contremaître, de l’ingénieur et son savoir-faire.

Nous, députés de la Nation, considérons que la sauvegarde des 2500 emplois d’un site rentable dans une région malheureusement touchée depuis longtemps par la crise doit être une priorité de l’action publique.

 

Nous soutenons la position d’Arnaud Montebourg

C’est pourquoi, nous soutenons la proposition de contrôle public temporaire du site dans les conditions qu’Arnaud Montebourg a déjà évoquées publiquement notamment avec l’accompagnement d’un partenaire industriel.

Pour parvenir au sauvetage du secteur automobile américain, Barack Obama s’est appuyé, en 2009, sur une intervention publique forte dans un pays où ce type d’intervention ne s’inscrit pas dans l’histoire industrielle. Sa réussite prouve que c’est par une action pragmatique et non pas idéologique que l’on peut intervenir dans l’économie de la mondialisation. Cela ne remet pas en cause l’attractivité du pays et montre la détermination du gouvernement dans sa politique industrielle.

 

Le 22 janvier 2012, François Hollande déclarait dans son discours du Bourget : « Nous devrons montrer nos armes. » En effet.

Ce matin, le site leplus.nouvelobs.com publiait une tribune intitulée : « Mittal ne respecte pas la France : nous, députés, soutenons la fermeté de Montebourg ». Je suis signataire de cette tribune, dont voici la teneur :

Mittal ne respecte pas notre pays

Aujourd’hui, Mittal ne respecte pas notre pays. Par des conditions de reprise intenables, il empêche le gouvernement de trouver des repreneurs sérieux et voue à l’échec les tentatives de sauvetage de Florange et de ses emplois.

En 2006, Mittal a mené une OPA hostile pour absorber Arcelor, fleuron européen de la sidérurgie. Depuis, il n’a respecté ni ses engagements, ni la France. Le site de Gandrange a été fermé en 2009. Le site de Florange n’a bénéficié d’aucun investissement pour accroître sa compétitivité. L’industriel indien complète lui-même le tableau : il se livre aujourd’hui à un chantage à l’emploi en impliquant les autres sites français de production.

Nous, députés de la Nation, considérons qu’il est temps d’arrêter de considérer comme la seule qui vaille la parole d’un dirigeant industriel dont les intérêts ne sont manifestement pas ceux de la France, de son tissu industriel, de ses emplois.

 

Pallier les défaillances de l’industriel indien

Nous, députés de la Nation, affirmons que l’État fait son devoir en envisageant de pallier aux défaillances de l’industriel indien. Il est temps de sortir de la chimère d’une économie sans usine, sans machine, comme si l’immatériel pouvait remplacer le travail de l’ouvrier, du contremaître, de l’ingénieur et son savoir-faire.

Nous, députés de la Nation, considérons que la sauvegarde des 2500 emplois d’un site rentable dans une région malheureusement touchée depuis longtemps par la crise doit être une priorité de l’action publique.

 

Nous soutenons la position d’Arnaud Montebourg

C’est pourquoi, nous soutenons la proposition de contrôle public temporaire du site dans les conditions qu’Arnaud Montebourg a déjà évoquées publiquement notamment avec l’accompagnement d’un partenaire industriel.

Pour parvenir au sauvetage du secteur automobile américain, Barack Obama s’est appuyé, en 2009, sur une intervention publique forte dans un pays où ce type d’intervention ne s’inscrit pas dans l’histoire industrielle. Sa réussite prouve que c’est par une action pragmatique et non pas idéologique que l’on peut intervenir dans l’économie de la mondialisation. Cela ne remet pas en cause l’attractivité du pays et montre la détermination du gouvernement dans sa politique industrielle.

 

Le 22 janvier 2012, François Hollande déclarait dans son discours du Bourget : « Nous devrons montrer nos armes. » En effet.

C’est toujours un véritable plaisir de voir que les journalistes de l’Est Républicain lisent très régulièrement mon blog ! Mais c’est toujours affligeant de voir comment ils le commentent. J’ai l’habitude d’être maltraité dans ce journal. Quand un article commence par « coutumier des règlements de compte », on n’est pas là dans l’information, mais dans le jugement de valeur médiocre.

Ça n’est pas grave, puisque si vous avez lu attentivement le billet que j’avais écrit sur mon blog, vous pouvez remarquer que dans ce billet de l’Est Républicain, c’est un mensonge que de dire que je demande des sanctions contre Valérie Debord. Lisez les deux billets, et jugez vous-mêmes.

Et pendant ce temps-là, ce journal n’a toujours pas repris les propositions que j’ai faites à André Rossinot lors du Conseil de Communauté de vendredi pour sauver les petits commerçants, les petits artisans et les petits entrepreneurs. Ça, c’est particulièrement triste…

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