Agir pour vous et avec vous

Jour : 5 juin 2013

Cet après-midi, l’Assemblée Nationale a examiné la proposition de résolution tendant à améliorer le recrutement à la tête des grandes institutions culturelles.

Hervé FERON est intervenu dans la discussion générale afin de défendre la mise en oeuvre de procédures de consultation préalable à la désignation des dirigeants de ces établissements, rappelant la nécessité de promouvoir la parité et la diversité dans leur recrutement.

 


Intervention d’Hervé FERON dans la discussion… par herveferon

 

Cet après-midi, l’Assemblée Nationale a examiné la proposition de résolution tendant à améliorer le recrutement à la tête des grandes institutions culturelles.

Hervé FERON est intervenu dans la discussion générale afin de défendre la mise en oeuvre de procédures de consultation préalable à la désignation des dirigeants de ces établissements, rappelant la nécessité de promouvoir la parité et la diversité dans leur recrutement.

 


Intervention d’Hervé FERON dans la discussion… par herveferon

 


 50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014.

Le Président Rossinot veut tout maîtriser et, pour ce faire, il a une capacité à empêcher les initiatives, ou à geler les projets de développement, il distribue les avantages à ses amis pour tenter de conserver une majorité, il organise un traitement inégalitaire des communes et des quartiers sur l’agglomération nancéienne. Tout cela va à l’encontre de l’intérêt public et de la cohésion sociale. Les Grands Nancéiens souffrent. Nous développerons d’ici à 2014, « 50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014 », par la présentation de 50 dossiers, des petits dossiers, qui paraissent insignifiants, tant ils passent inaperçus, ou encore de gros dossiers… qui paraissent insignifiants tant ils passent inaperçus !


 

Dossier n° 15 – 5 juin 2013

DIS-MOI TON NOM, JE TE DIRAI QUI TU ES… OU N’ES PAS

 

Nous vous parlons régulièrement sur ce blog du manque criant de concertation organisée par la Communauté Urbaine du Grand Nancy avant toute prise de décision, que ce soit avec les élus ou la population concernée par les opérations en cause. La CUGN par l’intermédiaire de son Président s’est une nouvelle fois illustrée dans le cadre du projet Stan 2013.

Nous vous avions déjà évoqué ce sujet dans un précédent article. La Communauté Urbaine a en effet décidé de restructurer son réseau de transports en commun. Mal organisé, celui-ci fait aujourd’hui la part belle comme pour tout projet de la CUGN à la ville centre, délaissant complètement les villes périphériques comme Vandœuvre ou Villers. C’est ainsi que ces deux communes, respectivement 2ème et 3ème commune de l’intercommunalité en densité de population, ne verront pas leur desserte améliorée en dépit des engagements pris par André ROSSINOT et sa majorité. Les villes périphériques restent délaissées, les communes de la première couronne isolées, sans véritable liaison entre elles. Par ailleurs, l’appui du réseau sur une unique ligne structurante, à savoir la ligne 1 de tram, dont on connaît depuis trop longtemps maintenant les défaillances et les souffrances qui en résultent pour les usagers réguliers de cette ligne, ne pouvait perdurer éternellement. Une réorganisation du réseau était nécessaire, mais le résultat est en-deçà des espérances… ou plutôt conforme à ce qu’on pouvait attendre de la majorité intercommunale.

Aujourd’hui, nous parlons à nouveau du projet Stan 2013 pour illustrer les méthodes autoritaires de la droite dans l’agglomération nancéienne. En effet, la Communauté Urbaine du Grand Nancy vient de diffuser sa plaquette d’informations concernant ce projet auprès des communes concernées, dans laquelle elle propose les dénominations pour les arrêts des différentes lignes. Cette fois-ci, les communes avaient bon espoir de faire entendre leur voix, puisque les suggestions de la Communauté Urbaine avaient été soumises à l’avis de chacun des maires concernés. Leurs espoirs étaient cependant illusoires.

Comme les vice-présidents de la CUGN ne sont pas du tout des élus de proximité, ils ignorent tout de la vie locale. Ainsi, le 26 février, les élus locaux de Tomblaine ont fait savoir qu’ils étaient en désaccord avec les propositions formulées dans la plaquette d’information Stan 2013 et contestaient la dénomination de différents arrêts. Ils donnaient alors leurs propositions de dénomination plus conformes à l’histoire de Tomblaine et à la vie des gens. Cependant, pour ce projet comme pour tout autre sujet soumis à discussion par la CUGN, la méthode est toujours là-même. Le Président Rossinot organise un semblant de concertation pour au final décider seul sans tenir compte des opinions qui ont été exprimées.

Ainsi, dans cette plaquette à destination du public, l’arrêt que la commune de Tomblaine souhaitait nommer « Fraternité » (parce que au niveau du rond-point de la Fraternité), est nommé étrangement « Groupe scolaire de Tomblaine » ce qui est incohérent car cet arrêt n’est pas du tout à proximité d’un groupe scolaire. Le changement de dénomination de l’arrêt Sainte-Marguerite en Galilée (puisqu’il se situe au niveau du rond-point Galilée) que nous suggérions a été totalement ignoré. Plus grave encore, des nouveaux arrêts devaient être implantés sur la ligne 13 afin de desservir la commune de Tomblaine. Ces arrêts nommés Tuileries avaient été acceptés par la Communauté Urbaine le 8 février. Aujourd’hui, nous constatons que ceux-ci ne figurent même pas sur les plans ! S’agit-il d’une erreur ou d’un oubli volontaire ? Le doute s’installe et la question est d’autant plus légitime quand on constate le sort que la CUGN réserve aux propositions des élus locaux.

Alors que le Projet Stan 2013 aurait dû être l’occasion d’améliorer le service rendu aux usagers et d’inciter les Grands Nancéiens à utiliser le réseau de transports en commun, même s’ils le sont déjà par les conditions de circulation actuelle dans l’agglomération, la majorité à la CUGN reste arcboutée sur sa logique politicienne et entretient l’opposition entre les communes suivant la couleur politique de leur Conseil Municipal et leur fidélité au monarque Rossinot.

Même si ce procédé ne surprend plus les élus et n’étonnera guère les lecteurs réguliers de ce blog, on peut néanmoins se demander à quoi sert de demander l’avis des élus locaux… Cette posture d’affichage n’est pas à l’honneur de la Communauté Urbaine, les citoyens attendent mieux de sa part. Un véritable projet qui prend en compte les attentes et les considérations des acteurs de terrain, mais ce n’est pas à l’ordre du jour. On repassera en 2014, en espérant que la droite elle ne repassera pas d’ici là.

 


 50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014.

Le Président Rossinot veut tout maîtriser et, pour ce faire, il a une capacité à empêcher les initiatives, ou à geler les projets de développement, il distribue les avantages à ses amis pour tenter de conserver une majorité, il organise un traitement inégalitaire des communes et des quartiers sur l’agglomération nancéienne. Tout cela va à l’encontre de l’intérêt public et de la cohésion sociale. Les Grands Nancéiens souffrent. Nous développerons d’ici à 2014, « 50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014 », par la présentation de 50 dossiers, des petits dossiers, qui paraissent insignifiants, tant ils passent inaperçus, ou encore de gros dossiers… qui paraissent insignifiants tant ils passent inaperçus !


 

Dossier n° 15 – 5 juin 2013

DIS-MOI TON NOM, JE TE DIRAI QUI TU ES… OU N’ES PAS

 

Nous vous parlons régulièrement sur ce blog du manque criant de concertation organisée par la Communauté Urbaine du Grand Nancy avant toute prise de décision, que ce soit avec les élus ou la population concernée par les opérations en cause. La CUGN par l’intermédiaire de son Président s’est une nouvelle fois illustrée dans le cadre du projet Stan 2013.

Nous vous avions déjà évoqué ce sujet dans un précédent article. La Communauté Urbaine a en effet décidé de restructurer son réseau de transports en commun. Mal organisé, celui-ci fait aujourd’hui la part belle comme pour tout projet de la CUGN à la ville centre, délaissant complètement les villes périphériques comme Vandœuvre ou Villers. C’est ainsi que ces deux communes, respectivement 2ème et 3ème commune de l’intercommunalité en densité de population, ne verront pas leur desserte améliorée en dépit des engagements pris par André ROSSINOT et sa majorité. Les villes périphériques restent délaissées, les communes de la première couronne isolées, sans véritable liaison entre elles. Par ailleurs, l’appui du réseau sur une unique ligne structurante, à savoir la ligne 1 de tram, dont on connaît depuis trop longtemps maintenant les défaillances et les souffrances qui en résultent pour les usagers réguliers de cette ligne, ne pouvait perdurer éternellement. Une réorganisation du réseau était nécessaire, mais le résultat est en-deçà des espérances… ou plutôt conforme à ce qu’on pouvait attendre de la majorité intercommunale.

Aujourd’hui, nous parlons à nouveau du projet Stan 2013 pour illustrer les méthodes autoritaires de la droite dans l’agglomération nancéienne. En effet, la Communauté Urbaine du Grand Nancy vient de diffuser sa plaquette d’informations concernant ce projet auprès des communes concernées, dans laquelle elle propose les dénominations pour les arrêts des différentes lignes. Cette fois-ci, les communes avaient bon espoir de faire entendre leur voix, puisque les suggestions de la Communauté Urbaine avaient été soumises à l’avis de chacun des maires concernés. Leurs espoirs étaient cependant illusoires.

Comme les vice-présidents de la CUGN ne sont pas du tout des élus de proximité, ils ignorent tout de la vie locale. Ainsi, le 26 février, les élus locaux de Tomblaine ont fait savoir qu’ils étaient en désaccord avec les propositions formulées dans la plaquette d’information Stan 2013 et contestaient la dénomination de différents arrêts. Ils donnaient alors leurs propositions de dénomination plus conformes à l’histoire de Tomblaine et à la vie des gens. Cependant, pour ce projet comme pour tout autre sujet soumis à discussion par la CUGN, la méthode est toujours là-même. Le Président Rossinot organise un semblant de concertation pour au final décider seul sans tenir compte des opinions qui ont été exprimées.

Ainsi, dans cette plaquette à destination du public, l’arrêt que la commune de Tomblaine souhaitait nommer « Fraternité » (parce que au niveau du rond-point de la Fraternité), est nommé étrangement « Groupe scolaire de Tomblaine » ce qui est incohérent car cet arrêt n’est pas du tout à proximité d’un groupe scolaire. Le changement de dénomination de l’arrêt Sainte-Marguerite en Galilée (puisqu’il se situe au niveau du rond-point Galilée) que nous suggérions a été totalement ignoré. Plus grave encore, des nouveaux arrêts devaient être implantés sur la ligne 13 afin de desservir la commune de Tomblaine. Ces arrêts nommés Tuileries avaient été acceptés par la Communauté Urbaine le 8 février. Aujourd’hui, nous constatons que ceux-ci ne figurent même pas sur les plans ! S’agit-il d’une erreur ou d’un oubli volontaire ? Le doute s’installe et la question est d’autant plus légitime quand on constate le sort que la CUGN réserve aux propositions des élus locaux.

Alors que le Projet Stan 2013 aurait dû être l’occasion d’améliorer le service rendu aux usagers et d’inciter les Grands Nancéiens à utiliser le réseau de transports en commun, même s’ils le sont déjà par les conditions de circulation actuelle dans l’agglomération, la majorité à la CUGN reste arcboutée sur sa logique politicienne et entretient l’opposition entre les communes suivant la couleur politique de leur Conseil Municipal et leur fidélité au monarque Rossinot.

Même si ce procédé ne surprend plus les élus et n’étonnera guère les lecteurs réguliers de ce blog, on peut néanmoins se demander à quoi sert de demander l’avis des élus locaux… Cette posture d’affichage n’est pas à l’honneur de la Communauté Urbaine, les citoyens attendent mieux de sa part. Un véritable projet qui prend en compte les attentes et les considérations des acteurs de terrain, mais ce n’est pas à l’ordre du jour. On repassera en 2014, en espérant que la droite elle ne repassera pas d’ici là.