Agir pour vous et avec vous

Mois : juillet 2013 (Page 1 de 6)

La Cour des Comptes est à la politique ce que la DNCG est à la Ligue 1 et manifestement ce sera dur pour le club de l’UMP de recruter cet été tant que son budget n’aura pas été équilibré.

Interdit de recrutement, le club a besoin de trouver 11 millions, sous peine d’être relégué en Ligue 2 ! Son président Copé a lancé une souscription à ses supporters moins nombreux aujourd’hui qu’à l’époque où le club caracolait en tête du championnat. Il lui reste bien encore aux moins deux ultras, irréductibles excitées Morano et Debord… prêtes à se muer en pom-pom girls, mais tout ça, ça ne mobilise pas les foules !!!

7 millions ont déjà été récoltés. Mais il est loin le temps où l’on pouvait faire encore appel à certains généreux sponsors (Secours pas Catholique de madame Bettencourt), et le couple torride David Douillet-Bernadette (sous Bayrou) ne fait plus recette à la mi-temps même en petites pièces jaunes !

Avec toutes les affaires que le club UMP et son capitaine Sarko ont connues lors de ces deux dernières saisons, l’UMP aurait pourtant intérêt à recruter pour renforcer sa défense. Toutes ses tentatives pour se renforcer sur son aile droite, tout comme au centre-droit d’ailleurs, ne lui ont pas permis d’éviter la zone des relégables.

Quant au petit club local du MODEM, il dégraisse ses effectifs et ne renouvelle pas le contrat de Thierry Coulom qui se retrouve sans club et donc sur le marché des transferts…

A vot’ bon coeur m’sieurs dames !

La saison prochaine va être palpitante !

La Cour des Comptes est à la politique ce que la DNCG est à la Ligue 1 et manifestement ce sera dur pour le club de l’UMP de recruter cet été tant que son budget n’aura pas été équilibré.

Interdit de recrutement, le club a besoin de trouver 11 millions, sous peine d’être relégué en Ligue 2 ! Son président Copé a lancé une souscription à ses supporters moins nombreux aujourd’hui qu’à l’époque où le club caracolait en tête du championnat. Il lui reste bien encore aux moins deux ultras, irréductibles excitées Morano et Debord… prêtes à se muer en pom-pom girls, mais tout ça, ça ne mobilise pas les foules !!!

7 millions ont déjà été récoltés. Mais il est loin le temps où l’on pouvait faire encore appel à certains généreux sponsors (Secours pas Catholique de madame Bettencourt), et le couple torride David Douillet-Bernadette (sous Bayrou) ne fait plus recette à la mi-temps même en petites pièces jaunes !

Avec toutes les affaires que le club UMP et son capitaine Sarko ont connues lors de ces deux dernières saisons, l’UMP aurait pourtant intérêt à recruter pour renforcer sa défense. Toutes ses tentatives pour se renforcer sur son aile droite, tout comme au centre-droit d’ailleurs, ne lui ont pas permis d’éviter la zone des relégables.

Quant au petit club local du MODEM, il dégraisse ses effectifs et ne renouvelle pas le contrat de Thierry Coulom qui se retrouve sans club et donc sur le marché des transferts…

A vot’ bon coeur m’sieurs dames !

La saison prochaine va être palpitante !

Bernadette Lafont à Tomblaine, dans le cadre du Festival « Aux Actes Citoyens », le 25 mai dernier

On a appris aujourd’hui le décès de Bernadette Lafont. Victime lundi d’un malaise, elle est décédée aujourd’hui au CHU de Nîmes.

Je ne vais pas revenir sur son énorme carrière, ce que ne manqueront pas de faire la plupart des médias qui lui rendront hommage, mais je voudrais vous dire que j’avais une grande admiration et de la tendresse pour cette immense actrice. Elle a tout connu, la consécration, la gloire, les Césars, mais aussi les peines les plus cruelles.

Bernadette Lafont était à Tomblaine, il y a quelques semaines encore. Elle avait déjà foulé les planches tomblainoises, il y a quelques années avec Michel Galabru dans « Monsieur Amédée ». Elle était une amie du festival « Aux Actes Citoyens ».

Dans mon parcours de vie atypique, j’ai eu la chance de faire de belles rencontres, il y a peu, je vous parlais dans des circonstances aussi tristes de mes souvenirs avec André Verchuren. C’est certainement parce que j’aime les artistes, les vrais, ceux qui sont sincères.

J’ai rencontré Bernadette Lafont, en 1988, je crois, lorsque je travaillais à Europe 1, elle avait été l’invitée d’une de nos émissions. Je garde d’elle, bien sûr, le souvenir de son regard toujours pétillant, de cette voix douce et gouailleuse, elle était une nature vraiment généreuse sur scène, sur un plateau, comme dans la vie.

J’ai eu l’occasion de tourner aussi avec elle, quelques semaines plus tard, dans une émission de télé (sur Antenne 2, à l’époque). Je me souviens qu’un comédien était habillé en vert ce jour là, et par superstition, elle avait refusé de jouer avec lui, jusqu’à ce qu’il aille se changer !

Elle était pourtant très agréable, très sympa. j’ai passé également quelques soirées festives avec elle à cette époque, avec les copains d’Europe 1, ça n’était jamais triste !

Elle était venue me voir jouer aux Blancs Manteaux un soir, j’étais très fier de ça. Elle était comme ça, très attachante.

Il y a quelques semaines, Bernadette Lafont était à Tomblaine, dans le cadre du festival « Aux Actes Citoyens », elle avait lu avec Claude Bourgeyx (l’auteur) « les Petits Outrages ». Un pur moment de bonheur ! Pendant la lecture, mais aussi après, les dizaines de spectateurs qui sont restés pour participer à la discussion organisée avec Bernadette Lafont n’oublieront pas ce moment privilégié.

C’était il y a quelques semaines. Et là, c’est la stupeur. Bernadette Lafont nous manque déjà, elle est allée rejoindre Pauline.

Bernadette Lafont à Tomblaine, dans le cadre du Festival « Aux Actes Citoyens », le 25 mai dernier

On a appris aujourd’hui le décès de Bernadette Lafont. Victime lundi d’un malaise, elle est décédée aujourd’hui au CHU de Nîmes.

Je ne vais pas revenir sur son énorme carrière, ce que ne manqueront pas de faire la plupart des médias qui lui rendront hommage, mais je voudrais vous dire que j’avais une grande admiration et de la tendresse pour cette immense actrice. Elle a tout connu, la consécration, la gloire, les Césars, mais aussi les peines les plus cruelles.

Bernadette Lafont était à Tomblaine, il y a quelques semaines encore. Elle avait déjà foulé les planches tomblainoises, il y a quelques années avec Michel Galabru dans « Monsieur Amédée ». Elle était une amie du festival « Aux Actes Citoyens ».

Dans mon parcours de vie atypique, j’ai eu la chance de faire de belles rencontres, il y a peu, je vous parlais dans des circonstances aussi tristes de mes souvenirs avec André Verchuren. C’est certainement parce que j’aime les artistes, les vrais, ceux qui sont sincères.

J’ai rencontré Bernadette Lafont, en 1988, je crois, lorsque je travaillais à Europe 1, elle avait été l’invitée d’une de nos émissions. Je garde d’elle, bien sûr, le souvenir de son regard toujours pétillant, de cette voix douce et gouailleuse, elle était une nature vraiment généreuse sur scène, sur un plateau, comme dans la vie.

J’ai eu l’occasion de tourner aussi avec elle, quelques semaines plus tard, dans une émission de télé (sur Antenne 2, à l’époque). Je me souviens qu’un comédien était habillé en vert ce jour là, et par superstition, elle avait refusé de jouer avec lui, jusqu’à ce qu’il aille se changer !

Elle était pourtant très agréable, très sympa. j’ai passé également quelques soirées festives avec elle à cette époque, avec les copains d’Europe 1, ça n’était jamais triste !

Elle était venue me voir jouer aux Blancs Manteaux un soir, j’étais très fier de ça. Elle était comme ça, très attachante.

Il y a quelques semaines, Bernadette Lafont était à Tomblaine, dans le cadre du festival « Aux Actes Citoyens », elle avait lu avec Claude Bourgeyx (l’auteur) « les Petits Outrages ». Un pur moment de bonheur ! Pendant la lecture, mais aussi après, les dizaines de spectateurs qui sont restés pour participer à la discussion organisée avec Bernadette Lafont n’oublieront pas ce moment privilégié.

C’était il y a quelques semaines. Et là, c’est la stupeur. Bernadette Lafont nous manque déjà, elle est allée rejoindre Pauline.

L’Assemblée Nationale a adopté hier en 1ère lecture le Projet de Loi relatif à l’Indépendance de l’Audiovisuel Public.

Hervé FERON est intervenu à plusieurs reprises au cours de la discussion sur les articles afin de défendre cette réforme qui prévoit le rétablissement de la prérogative du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel en matière de nomination et de révocation des dirigeants de l’audiovisuel public. La procédure de désignation des membres de cette instance est également rénovée afin de favoriser un choix consensuel et non partisan.

 

Intervention sur l’article 1er du Projet de Loi :


Intervention d’Hervé FERON en séance publique… par herveferon

 

Intervention sur l’article 5 du Projet de Loi :


Intervention d’Hervé FERON en séance publique… par herveferon

 

« Anciens articles