C’est incroyable ce qu’un article sur mon blog peut produire comme réactions…

Alors que mes propos, mes interventions, mes actions de député ne sont jamais rapportés dans la presse locale, ce site reste pourtant très lu… et donc fort commenté. Et l’on parle de moi dans les lieux où je ne suis pas…

J’ai encore commis un acte de lèse-majesté ! J’ai écrit ce que beaucoup pensent très fort. J’ai d’ailleurs plus décrit que je n’ai écrit, car il n’y avait que du factuel : l’insécurité du centre-ville à Nancy et aussi des interventions pour le moins étonnantes de la police municipale vis-à-vis de jeunes socialistes qui distribuaient des tracts… 

Seulement voilà, j’ai touché là où ça fait mal : j’ai dit des vérités, et en plus j’ai posé des questions qui dérangent (genre : « qui a pu donner de telles consignes à ces policiers ? ») … questions qui n’ont d’ailleurs toujours pas trouvé réponse.

Alors ça énerve, ça dérange, ça gratouille. Alors on m’insulte, on critique mon style (qui ne serait pas celui de Lamartine ! Lol !!!) , on tente de se justifier, on perd son sang-froid. De façon évidente, j’ai touché là où ça fait mal, et pourtant je n’ai pas voulu faire mal. 

Peut-on encore parler dans ce microcosme, ce « régime à part convenu Grand-Nancéen » ?

À propos de Lamartine, n’était-ce pas lui qui disait : « La patience est la vertu du juste » ?

Ne vous énervez pas, acceptez que l’on puisse parler, avoir un avis différent, et même l’écrire. Calme, ça va aller…

 

Hervé FERON