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Jour : 12 juin 2015

Comme souvent, beaucoup regretteront que l’Est Républicain s‘empare du moindre sujet négatif pour faire la une sur Tomblaine et ne communique pas sur les aspects positifs. Chacun sait que cette Ville connaît un développement remarquable avec +9,74% d’habitants en 4 ans, 21 commerces et entreprises nouvellement installés, un Projet de Rénovation Urbaine remarqué dans certaines revues au niveau national, mais ça, ça n’intéresse pas le journal local. Là, il était essentiel à la une de ce journal de valoriser ce sujet négatif sauf que les titres sont trompeurs et le contenu de l’article aussi.

Le titre dit « Musée de Tomblaine : la gabegie sera démolie ». Outre le style de la formule qui laisse à désirer, il faut déjà remarquer que si gabegie il y a eu, c’est avant 1998 lorsque la majorité de droite du Conseil Général a fait n’importe quoi dans ce qu’ils appelaient un musée. Cela n’a jamais été un musée, aucune muséographie, aucune scénographie, un gâchis financier. Michel Dinet a eu raison de décider de cesser l’activité de cet établissement.

Mais la gabegie avait déjà été engagée avant 1998 puisque ce bâtiment, certes esthétique, n’était finalement pas compatible avec quelqu‘activité que ce soit, car pas isolé et ne pouvant pas supporter de nouvelle isolation. Ensuite quand le journaliste donne la parole à Eric Pensalfini, c’est un comble car celui-ci n’a absolument pas connu l’histoire de ce bâtiment mais il appartient à une majorité qui a créé le problème au Conseil Général avant 1998 et à la majorité de la Communauté Urbaine qui empêche tout développement économique sur ce site depuis si longtemps. Les donneurs de leçons n’ont pas de honte.

Le journaliste me donne la parole mais ce qu’il me fait dire est assez réducteur. D’abord, il annonce que j’ai siégé au Conseil d’Administration du musée (ce qui laisse à penser que je porte une responsabilité dans cette affaire), il est important de préciser que j’ai été membre du Conseil d’Administration après les élections de 1998, quand je suis devenu Conseiller Général et que nous avons constaté ce scandale. J’ai donc participé à faire fermer ce musée qui coûtait une fortune aux contribuables. S’il est vrai qu’aujourd’hui je trouve que c’est une sage décision, la solution que j’avais proposée il y a deux ans avec un centre équestre qui avait projet de bodega, de club équestre, d’activités autour du handicap, de spectacles équestres et de formation d’artistes équestres était une bonne solution. C’est malheureusement la Communauté Urbaine qui l’a empêchée.

 

Comme souvent, beaucoup regretteront que l’Est Républicain s‘empare du moindre sujet négatif pour faire la une sur Tomblaine et ne communique pas sur les aspects positifs. Chacun sait que cette Ville connaît un développement remarquable avec +9,74% d’habitants en 4 ans, 21 commerces et entreprises nouvellement installés, un Projet de Rénovation Urbaine remarqué dans certaines revues au niveau national, mais ça, ça n’intéresse pas le journal local. Là, il était essentiel à la une de ce journal de valoriser ce sujet négatif sauf que les titres sont trompeurs et le contenu de l’article aussi.

Le titre dit « Musée de Tomblaine : la gabegie sera démolie ». Outre le style de la formule qui laisse à désirer, il faut déjà remarquer que si gabegie il y a eu, c’est avant 1998 lorsque la majorité de droite du Conseil Général a fait n’importe quoi dans ce qu’ils appelaient un musée. Cela n’a jamais été un musée, aucune muséographie, aucune scénographie, un gâchis financier. Michel Dinet a eu raison de décider de cesser l’activité de cet établissement.

Mais la gabegie avait déjà été engagée avant 1998 puisque ce bâtiment, certes esthétique, n’était finalement pas compatible avec quelqu‘activité que ce soit, car pas isolé et ne pouvant pas supporter de nouvelle isolation. Ensuite quand le journaliste donne la parole à Eric Pensalfini, c’est un comble car celui-ci n’a absolument pas connu l’histoire de ce bâtiment mais il appartient à une majorité qui a créé le problème au Conseil Général avant 1998 et à la majorité de la Communauté Urbaine qui empêche tout développement économique sur ce site depuis si longtemps. Les donneurs de leçons n’ont pas de honte.

Le journaliste me donne la parole mais ce qu’il me fait dire est assez réducteur. D’abord, il annonce que j’ai siégé au Conseil d’Administration du musée (ce qui laisse à penser que je porte une responsabilité dans cette affaire), il est important de préciser que j’ai été membre du Conseil d’Administration après les élections de 1998, quand je suis devenu Conseiller Général et que nous avons constaté ce scandale. J’ai donc participé à faire fermer ce musée qui coûtait une fortune aux contribuables. S’il est vrai qu’aujourd’hui je trouve que c’est une sage décision, la solution que j’avais proposée il y a deux ans avec un centre équestre qui avait projet de bodega, de club équestre, d’activités autour du handicap, de spectacles équestres et de formation d’artistes équestres était une bonne solution. C’est malheureusement la Communauté Urbaine qui l’a empêchée.