Hervé Féron se réjouit de la nouvelle aide de 34,6 millions d’euros octroyée par l’Etat au CHU de Nancy. Après une première contribution exceptionnelle de plus de 24 millions d’euros en 2013 et un soutien financier de 20 millions d’euros l’an dernier, le Comité interministériel de la performance et de la modernisation de l’offre de soins hospitaliers (COPERMO) a donné son aval au versement d’une nouvelle aide de 34,6 millions d’euros pour soutenir la trésorerie sur la période 2015-2019 et accompagner le projet de regroupement des laboratoires de biologie sur le site de Brabois. Le Copermo a rendu un avis favorable soulignant la qualité du projet de redressement et de refondation de l’établissement et reconnaissant les efforts consentis par les personnels.
C’est une bonne nouvelle pour le CHU, pour la politique publique de santé et d’accès aux soins sur le bassin de vie nancéien mais aussi pour l’emploi, même si l’on regrette et si l’on préférerait éviter les 90 emplois menacés à l’horizon 2018, mais ces mesures d’économies sont la résultante de la gestion catastrophique du CHU ces dernières années.
La presse locale ne vous le dit pas mais Hervé Féron a, lui aussi, beaucoup œuvré pour qu’une solution soit trouvée aux difficultés du CHU. Il s’est considérablement investi pour sensibiliser personnellement la Ministre de la Santé sur ce sujet et cela dès la fin 2012. Rendez-vous au Ministère, échanges de courriers, questions écrites à la Ministre, ces nombreuses interventions ont certainement participé à favoriser la solution qui s’offre aujourd’hui au CHU de Nancy, situé sur la circonscription d’Hervé Féron.