Agir pour vous et avec vous

Mois : juin 2015 (Page 4 de 11)

Je regrette que l’Est Républicain ne reprenne que les affirmations de la majorité de la Communauté Urbaine du Grand Nancy sans avoir repris les informations que j’ai données à plusieurs reprises, y compris en Conseil de Communauté. Dans l’édition d’aujourd’hui, un article est ainsi consacré au mécontentement des rippeurs qui craignent la suppression de 30 emplois et la dégradation de leurs conditions de travail déjà difficiles si un avenant au contrat de délégation de service public venait à être appliqué. Le journaliste indique que « d’autres mesures d’économies sont à redouter » en raison des baisses de dotations de l’Etat au Grand Nancy, de l’ordre de 10,3 millions d’euros cette année et de 55,8 millions d’euros en cumulé à l’horizon 2017. La cause est toute trouvée, il n’y a pas besoin de chercher ailleurs, l’Etat est fautif, la Communauté Urbaine blanche comme neige. Mais la réalité est bien différente.

J’avais donc fait la démonstration en Conseil de Communauté Urbaine que la situation financière de la CUGN et les mesures d’économies nécessitées par cet état ne sont pas les résultantes des baisses de dotations de l’Etat mais bien les conséquences de la gestion malheureuse du Grand Nancy depuis de nombreuses années, et notamment de la politique dispendieuse, pour ne pas dire hasardeuse, en matière d’investissement (que l’on pense au tram, au Centre des Congrès ou encore aux nombreux terrains réservés auprès de l’EPFL) qui ont conduit à un niveau d’endettement irraisonné.

Le 13 février dernier, Lors du Débat d’Orientation Budgétaire 2015, j’avais indiqué que le Grand Nancy avait investi en moyenne 154 millions d’euros par an ces 5 dernières années. Entre 2008 et 2013, cela représente 919 millions d’euros, les dépenses d’investissement ont grimpé de 112 à 172 millions d’euros, soit une hausse de 54%. Dès 2013, la Communauté Urbaine n’a plus été en mesure de tenir le rythme puisque les dépenses d’investissement ont baissé de 8,5% par rapport à 2012 quand celles des 16 autres collectivités similaires augmentaient de 3,7%. De même, j’avais relevé qu’entre 2009 et 2013, l’encours de dette de la CUGN avait augmenté de 34% quand cette hausse était limitée à 3,7% en moyenne pour l’ensemble des Communautés Urbaines et métropoles de France.

Le 10 avril 2015 à l’occasion du vote du Budget Primitif 2015, j’avais noté que les recettes avaient augmenté de 21% entre 2008 et 2015 et les charges réelles de 20,3%. Alors que ces résultats ont entraîné une hausse de l’épargne brute de 24,5%, l’encours de dette a continué d’atteindre des sommets, passant de 471,3 à 677 millions d’euros au 31 décembre 2014, soit une hausse de 43,6% ! Fin 2013, l’encours de dette était de 662 millions d’euros. Cet accroissement de l’encours de dette de plus de 2% en un an, entre 2013 et 2014, équivaut à 15 millions d’euros alors que les baisses de dotations de l’Etat pour la Communauté Urbaine s’élèvent à 3 millions d’euros en 2014 et 10,3 millions d’euros en 2015. Ainsi sur 2 ans, les dotations de l’Etat perdues ne suffiraient même pas à combler la hausse de la dette sur un an alors que cette hausse est la plus faible depuis 2010 ! Les faits sont là.

Lorsqu’aujourd’hui, on nous annonce des restrictions sur les voiries qui lèsent en particulier les communes les plus pauvres et les plus mal desservies par les transports en commun ou lorsqu’on nous annonce des diminutions des tournées pour le ramassage des ordures qui épargnent le centre-ville de Nancy, on a l’impression que cette grosse dette, elle aussi, ne sera pas épongée de façon égalitaire.

 

M. Hervé Féron attire l’attention de M. le Ministre du Travail, de l’Emploi, de la Formation Professionnelle et du Dialogue Social sur les mesures visant à plafonner l’indemnisation du préjudice lié à un licenciement injustifié. Lors de l’examen en nouvelle lecture à l’Assemblée nationale du Projet de loi « Croissance, activité et égalité des chances économiques », le Gouvernement a fait adopter un amendement portant création de l’article 87 D du Projet de loi, instaurant une barémisation des indemnités de licenciement. A titre d’exemple, dans une entreprise de moins de vingt salariés, un salarié licencié abusivement au bout de quinze ans  ne percevra au maximum que six mois de salaire, alors même que ce seuil était précédemment le plancher de l’indemnisation. Derrière cette mesure, initialement proposée par la droite sénatoriale, transparaît la logique selon laquelle les entreprises auraient besoin de davantage de lisibilité pour embaucher, le chômage de masse découlant d’un manque de confiance des entrepreneurs. Pourtant, la flexibilité du marché du travail n’est pas source de création d’emplois, et Hervé Féron estime que c’est même « le chemin vers la précarisation et une vie professionnelle source d’anxiété ». Ces termes sont ceux de l’exposé des motifs de l’amendement de suppression de l’article 87 D, cosigné par M. Féron mais n’ayant pas pu être défendu en séance publique, du fait du recours à l’article 49-3 de la Constitution par le Gouvernement. M. Féron estime particulièrement regrettable que ce débat n’ait pas eu lieu devant la représentation nationale, car l’enjeu est de taille pour les salariés français. En effet, permettre aux entrepreneurs de licencier plus facilement et sans crainte de pénalités proportionnées apparaît comme particulièrement injuste, et cette logique ne peut être acceptée dans la mesure où elle organise l’indemnisation prévisible d’une faute. Par ailleurs, cette mesure gouvernementale témoigne d’une défiance voire d’un mépris pour la capacité des juges prudhommaux à estimer une situation et à accorder un préjudice. En effet, il convient de rappeler que l’indemnisation est déterminée après un jugement qui constate la faute de l’employeur. Au vu de ces éléments, M. Hervé Féron demande à M. le Ministre du Travail de supprimer la disposition contenue à l’article 87 D du Projet de loi « Croissance, activité et égalité des chances économiques », pour abandonner l’idée de plafonner l’indemnisation du préjudice lié à un licenciement injustifié.

 

M. Hervé Féron attire l’attention de M. le Ministre du Travail, de l’Emploi, de la Formation Professionnelle et du Dialogue Social sur les mesures visant à plafonner l’indemnisation du préjudice lié à un licenciement injustifié. Lors de l’examen en nouvelle lecture à l’Assemblée nationale du Projet de loi « Croissance, activité et égalité des chances économiques », le Gouvernement a fait adopter un amendement portant création de l’article 87 D du Projet de loi, instaurant une barémisation des indemnités de licenciement. A titre d’exemple, dans une entreprise de moins de vingt salariés, un salarié licencié abusivement au bout de quinze ans  ne percevra au maximum que six mois de salaire, alors même que ce seuil était précédemment le plancher de l’indemnisation. Derrière cette mesure, initialement proposée par la droite sénatoriale, transparaît la logique selon laquelle les entreprises auraient besoin de davantage de lisibilité pour embaucher, le chômage de masse découlant d’un manque de confiance des entrepreneurs. Pourtant, la flexibilité du marché du travail n’est pas source de création d’emplois, et Hervé Féron estime que c’est même « le chemin vers la précarisation et une vie professionnelle source d’anxiété ». Ces termes sont ceux de l’exposé des motifs de l’amendement de suppression de l’article 87 D, cosigné par M. Féron mais n’ayant pas pu être défendu en séance publique, du fait du recours à l’article 49-3 de la Constitution par le Gouvernement. M. Féron estime particulièrement regrettable que ce débat n’ait pas eu lieu devant la représentation nationale, car l’enjeu est de taille pour les salariés français. En effet, permettre aux entrepreneurs de licencier plus facilement et sans crainte de pénalités proportionnées apparaît comme particulièrement injuste, et cette logique ne peut être acceptée dans la mesure où elle organise l’indemnisation prévisible d’une faute. Par ailleurs, cette mesure gouvernementale témoigne d’une défiance voire d’un mépris pour la capacité des juges prudhommaux à estimer une situation et à accorder un préjudice. En effet, il convient de rappeler que l’indemnisation est déterminée après un jugement qui constate la faute de l’employeur. Au vu de ces éléments, M. Hervé Féron demande à M. le Ministre du Travail de supprimer la disposition contenue à l’article 87 D du Projet de loi « Croissance, activité et égalité des chances économiques », pour abandonner l’idée de plafonner l’indemnisation du préjudice lié à un licenciement injustifié.

 

Samedi matin à 10h30, Hervé FERON recevait en mairie de Tomblaine l’équipe première féminine de l’ASPTT Nancy-Tomblaine de basket, accompagnée du Président du club Olivier Rambaut (par ailleurs directeur de l’école élémentaire Brossolette de Tomblaine) et de Philippe Fabris, Président général du club omnisport ASPTT.

Cette sympathique équipe a brillé particulièrement cette année en gagnant tous ses matches en championnat (22 matches) comme en coupe, elle est la seule équipe en France au niveau Pré-Nationale qui a réalisé cette performance.

Tomblaine réussit donc le doublé coupe-championnat, en réalisant l’exploit de battre Metz (équipe de Nationale) en quart de finale !

L’équipe a été félicitée et honorée par la remise de médailles et coupes et le député-maire a assuré le club du soutien renforcé de la Ville.

 

 

A 11h30, Hervé FERON recevait Fanny Retournard pour le vernissage d’une très belle exposition photographique que l’on pourra découvrir en mairie de Tomblaine jusqu’au 10 juillet. Fanny Retournard immortalise des intérieurs de maisons et de lieux abandonnés, délaissés. Dans des tons sépia, noir et blanc dominants, ce sont des ambiances qui sont suggérées, chaque photo est une histoire racontée. Un pur moment de poésie. Fanny encadre l’activité photo à la MJC de Jarville et elle habite Nancy. Son nom d’artiste est « Souris Bleue », à découvrir absolument.

 

Exposition de Fanny Retournard

 

A 16h30, Hervé FERON assistait au Gala de Patinage Artistique sur roulettes au centre Georges Brassens de Ludres.

Exceptionnel ! Un énorme travail de Ludivine Kusior qui entraîne ces patineuses et patineurs. Cette discipline est très originale, sportive et artistique. De plus, ce club est performant, il participe avec succès régulièrement au Championnat de France. Franchement, la Communauté Urbaine du Grand Nancy devrait avoir un tout petit peu de reconnaissance pour ce club et tous ses bénévoles méritants en leur mettant enfin à disposition un gymnase digne de ce nom, adapté. En ne s’entrainant pas dans de bonnes conditions, les compétitrices sont désavantagées quand elles se retrouvent en compétition au plus haut niveau !

Bravo pour ce beau gala !

 

Gala de patinage artistique sur roulettes

 

A 19h, puis à 20h, Hervé FERON a participé à deux fêtes successives des voisins à Tomblaine, rue Jean Lhote, puis au Clos des Jardiniers. Chaque fois, ce sont de bons moments de convivialité avec des habitants sympas. Ce genre de fête permet de se rencontrer (parfois pour la première fois), de se parler, de mieux se connaître. C’est essentiel pour la qualité de vie dans un quartier. Et chaque fois, les habitants ont accueilli chaleureusement le Maire et ses adjoints.

Une seule ombre au tableau : la saison des fêtes des voisins n’est pas propice pour la ligne !

 

Fête des voisins

 

Enfin, dimanche, Hervé FERON est parti pour deux jours avec deux adjointes au Maire pour rendre visite aux personnes âgées de Tomblaine qui sont en vacances à Cabourg.

Il rejoindra directement l’Assemblée Nationale mardi matin…

 

Les personnes âgées de Tomblaine en vacances à Cabourg

 

Samedi matin à 10h30, Hervé FERON recevait en mairie de Tomblaine l’équipe première féminine de l’ASPTT Nancy-Tomblaine de basket, accompagnée du Président du club Olivier Rambaut (par ailleurs directeur de l’école élémentaire Brossolette de Tomblaine) et de Philippe Fabris, Président général du club omnisport ASPTT.

Cette sympathique équipe a brillé particulièrement cette année en gagnant tous ses matches en championnat (22 matches) comme en coupe, elle est la seule équipe en France au niveau Pré-Nationale qui a réalisé cette performance.

Tomblaine réussit donc le doublé coupe-championnat, en réalisant l’exploit de battre Metz (équipe de Nationale) en quart de finale !

L’équipe a été félicitée et honorée par la remise de médailles et coupes et le député-maire a assuré le club du soutien renforcé de la Ville.

 

 

A 11h30, Hervé FERON recevait Fanny Retournard pour le vernissage d’une très belle exposition photographique que l’on pourra découvrir en mairie de Tomblaine jusqu’au 10 juillet. Fanny Retournard immortalise des intérieurs de maisons et de lieux abandonnés, délaissés. Dans des tons sépia, noir et blanc dominants, ce sont des ambiances qui sont suggérées, chaque photo est une histoire racontée. Un pur moment de poésie. Fanny encadre l’activité photo à la MJC de Jarville et elle habite Nancy. Son nom d’artiste est « Souris Bleue », à découvrir absolument.

 

Exposition de Fanny Retournard

 

A 16h30, Hervé FERON assistait au Gala de Patinage Artistique sur roulettes au centre Georges Brassens de Ludres.

Exceptionnel ! Un énorme travail de Ludivine Kusior qui entraîne ces patineuses et patineurs. Cette discipline est très originale, sportive et artistique. De plus, ce club est performant, il participe avec succès régulièrement au Championnat de France. Franchement, la Communauté Urbaine du Grand Nancy devrait avoir un tout petit peu de reconnaissance pour ce club et tous ses bénévoles méritants en leur mettant enfin à disposition un gymnase digne de ce nom, adapté. En ne s’entrainant pas dans de bonnes conditions, les compétitrices sont désavantagées quand elles se retrouvent en compétition au plus haut niveau !

Bravo pour ce beau gala !

 

Gala de patinage artistique sur roulettes

 

A 19h, puis à 20h, Hervé FERON a participé à deux fêtes successives des voisins à Tomblaine, rue Jean Lhote, puis au Clos des Jardiniers. Chaque fois, ce sont de bons moments de convivialité avec des habitants sympas. Ce genre de fête permet de se rencontrer (parfois pour la première fois), de se parler, de mieux se connaître. C’est essentiel pour la qualité de vie dans un quartier. Et chaque fois, les habitants ont accueilli chaleureusement le Maire et ses adjoints.

Une seule ombre au tableau : la saison des fêtes des voisins n’est pas propice pour la ligne !

 

Fête des voisins

 

Enfin, dimanche, Hervé FERON est parti pour deux jours avec deux adjointes au Maire pour rendre visite aux personnes âgées de Tomblaine qui sont en vacances à Cabourg.

Il rejoindra directement l’Assemblée Nationale mardi matin…

 

Les personnes âgées de Tomblaine en vacances à Cabourg

 

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