Agir pour vous et avec vous

Jour : 21 janvier 2018

J’avais été un membre actif de la Commission d’évaluation qui avait beaucoup travaillé, auditionné des dizaines d’experts, avant que de déposer son rapport au Président François Hollande sur la pertinence de la candidature de la France à l’organisation de l’Exposition Universelle en 2025.

A l’époque ce projet nous avait semblé de la plus grande pertinence. Il s’agissait de mobiliser l’ensemble des français pour une manifestation qui allait avoir des retombées en terme d’image, mais aussi des retombées économiques sur l’ensemble du territoire ne serait-ce que par l’implication de tout un réseau de grandes villes (dont Nancy). 
Tout le monde était d’accord, la gauche, la droite, le ministre de l’économie de l’époque (un certain Emmanuel Macron), les partenaires privés étaient séduits. 
Mais voilà, il fallait ensuite avoir la volonté politique. Il ne suffit pas d’être candidat, il faut porter le projet…
Ce Gouvernement ne l’a pas porté. Et aujourd’hui, il annonce (alors qu’il y a trois mois, le Président de la République soutenait le projet sans réserve) qu’il souhaite l’abandonner en raison « d’un risque pour les finances publiques, un manque de partenaires privés et une crainte quant à la participation… »
C’est plus facile à annoncer que d’avouer qu’on n’a pas assez travaillé…
C’est une immense erreur.

Comment peut-on craindre un manque de participation 7 années auparavant, alors que l’on sait qu’entre temps il y aura le Mondial de Rugby et les JO de Paris qui initieront une énorme dynamique ?
Quel amateurisme !
On fait l’impasse sur le moyen de relancer l’attractivité de la France à travers l’exposition de ses savoir-faire dans les domaines du culturel, de l’artistique, du scientifique, de la recherche, de l’architecture, de l’écologie,…
On fait l’impasse sur un énorme projet d’investissement structurant pour notre pays, en terme de transports en commun à Paris et en France, de logements, de grandes infrastructures.
On fait l’impasse sur une opportunité unique de réaliser le grand Chelem : Mondial de Rugby en 2023, Jeux Olympiques d’été en 2024, Exposition Universelle en 2025.
C’est à l’image de la France de par le monde que l’on s’en prend.
Il est évident que les infrastructures réalisées pour chacun de ces grands rendez-vous allaient pouvoir être utilisées par ces trois rendez-vous et que le coût des investissements nécessaires pour le troisième dans le temps allait donc en être minoré ! Quel mauvais calcul ! 

Le projet avait avant cela été calibré pour être équilibré financièrement.
Dans toutes les réunions auxquelles j’ai participé, il avait été rappelé que les thématiques telles que la  protection de la planète, les énergies propres, et l’écologie en général seraient une priorité à travers les expositions, les avancées technologiques, et les expressions diverses.

Et puis chacun sait que l’activité crée de l’activité. On abandonne là un extraordinaire moyen de développement économique et de création d’emplois.

C’est une erreur décidée en catimini, face à ce qui devait être un grand projet partagé. Quelle absence de responsabilité ! Quelle absence de réalisme ! Quel gâchis !

J’avais été un membre actif de la Commission d’évaluation qui avait beaucoup travaillé, auditionné des dizaines d’experts, avant que de déposer son rapport au Président François Hollande sur la pertinence de la candidature de la France à l’organisation de l’Exposition Universelle en 2025.

A l’époque ce projet nous avait semblé de la plus grande pertinence. Il s’agissait de mobiliser l’ensemble des français pour une manifestation qui allait avoir des retombées en terme d’image, mais aussi des retombées économiques sur l’ensemble du territoire ne serait-ce que par l’implication de tout un réseau de grandes villes (dont Nancy). 
Tout le monde était d’accord, la gauche, la droite, le ministre de l’économie de l’époque (un certain Emmanuel Macron), les partenaires privés étaient séduits. 
Mais voilà, il fallait ensuite avoir la volonté politique. Il ne suffit pas d’être candidat, il faut porter le projet…
Ce Gouvernement ne l’a pas porté. Et aujourd’hui, il annonce (alors qu’il y a trois mois, le Président de la République soutenait le projet sans réserve) qu’il souhaite l’abandonner en raison « d’un risque pour les finances publiques, un manque de partenaires privés et une crainte quant à la participation… »
C’est plus facile à annoncer que d’avouer qu’on n’a pas assez travaillé…
C’est une immense erreur.

Comment peut-on craindre un manque de participation 7 années auparavant, alors que l’on sait qu’entre temps il y aura le Mondial de Rugby et les JO de Paris qui initieront une énorme dynamique ?
Quel amateurisme !
On fait l’impasse sur le moyen de relancer l’attractivité de la France à travers l’exposition de ses savoir-faire dans les domaines du culturel, de l’artistique, du scientifique, de la recherche, de l’architecture, de l’écologie,…
On fait l’impasse sur un énorme projet d’investissement structurant pour notre pays, en terme de transports en commun à Paris et en France, de logements, de grandes infrastructures.
On fait l’impasse sur une opportunité unique de réaliser le grand Chelem : Mondial de Rugby en 2023, Jeux Olympiques d’été en 2024, Exposition Universelle en 2025.
C’est à l’image de la France de par le monde que l’on s’en prend.
Il est évident que les infrastructures réalisées pour chacun de ces grands rendez-vous allaient pouvoir être utilisées par ces trois rendez-vous et que le coût des investissements nécessaires pour le troisième dans le temps allait donc en être minoré ! Quel mauvais calcul ! 

Le projet avait avant cela été calibré pour être équilibré financièrement.
Dans toutes les réunions auxquelles j’ai participé, il avait été rappelé que les thématiques telles que la  protection de la planète, les énergies propres, et l’écologie en général seraient une priorité à travers les expositions, les avancées technologiques, et les expressions diverses.

Et puis chacun sait que l’activité crée de l’activité. On abandonne là un extraordinaire moyen de développement économique et de création d’emplois.

C’est une erreur décidée en catimini, face à ce qui devait être un grand projet partagé. Quelle absence de responsabilité ! Quelle absence de réalisme ! Quel gâchis !

Tomblaine n’en finit plus de gagner. Les basketteuses de l’ASPTT Nancy-Tomblaine ont battu celles de Calais : 62-55.
Le score est beaucoup plus serré que d’habitude et pourtant les tomblainoises ont mené de 17 points en première mi-temps.
Elles ont eu affaire à une solide équipe Calaisienne.

 Le dernier quart-temps a été me plus âprement disputé, mais  les tomblainoises ont su faire finalement la différence en particulier par une belle adresse à trois points.
Quant à l’ambiance dans les tribunes… je n’ai jamais vu quelqu’un d’aussi chauvin que Denise Gu…. (lol)

 

 

Tomblaine n’en finit plus de gagner. Les basketteuses de l’ASPTT Nancy-Tomblaine ont battu celles de Calais : 62-55.
Le score est beaucoup plus serré que d’habitude et pourtant les tomblainoises ont mené de 17 points en première mi-temps.
Elles ont eu affaire à une solide équipe Calaisienne.

 Le dernier quart-temps a été me plus âprement disputé, mais  les tomblainoises ont su faire finalement la différence en particulier par une belle adresse à trois points.
Quant à l’ambiance dans les tribunes… je n’ai jamais vu quelqu’un d’aussi chauvin que Denise Gu…. (lol)