Agir pour vous et avec vous

Mois : janvier 2018 (Page 6 de 16)

C’est le titre de la chanson interprétée par les élèves du Lycée Varoquaux de Tomblaine qui suivent des cours de LSF : Langues des Signes en Français. Leur professeur Olivier Marchal fait un travail remarquable et depuis plusieurs années le lycée Arthur Varoquaux produit des très courts-métrages qui sont reconnus et primés dans des festivals prestigieux. C’est chaque fois le fruit du travail croisé de l’atelier vidéo du lycée et de l’option post-bac LSF, avec des élèves comédiens, chanteurs, réalisateurs, dont certains sont sourds ou malentendants et d’autres sont entendants.
Depuis plusieurs années le festival « Aux Actes Citoyens »  pépinière de talents, a été partenaire de cette démarche en accueillant et valorisant ces films du lycée Varoquaux.
On se souvient qu’ils ont été retenus pour interpréter en Langue des Signes le clip officiel des Enfoirés en 2017 et que dans la foulée, ils avaient été sollicités pour interpréter le clip mythique des restos du coeur tourné avec Coluche en 1983…
J’avais appelé en mai 2017 Véronique Colucci pour attirer son attention et elle avait accepté de participer à l’ouverture du festival « Aux Actes Citoyens ». Ouverture grandiose, puisque devant le décor monumental et somptueux monté par les bénévoles du festival et représentant la Scala de Milan, une centaine de ces lycéens avaient interprété en live les deux clips, devant Véronique Colucci, le comédien Stéphane Ferrara, l’imitateur Gérald Dahan et une foule nombreuse. Un moment d’exception ! Magique !

Cette fois-ci, c’est une création, je suis fier de les avoir aidés en les mettant en lien avec le lycée Daunot et surtout Jean-Michel Vaicle pour la réalisation sonore, mais aussi en leur mettant à disposition une salle à l’Espace Jean Jaurès pour tourner ce clip et le talent de Sébastien Fetzer (employé municipal) pour la création lumières…
C’est ensemble qu’on réussit, même si tout le mérite revient à ce professeur passionné Olivier Marchal et ses élèves qui nous font chaque fois vibrer un peu, beaucoup, passionément.
Regardez, écoutez…

 


J’avais été un membre actif de la Commission d’évaluation qui avait beaucoup travaillé, auditionné des dizaines d’experts, avant que de déposer son rapport au Président François Hollande sur la pertinence de la candidature de la France à l’organisation de l’Exposition Universelle en 2025.

A l’époque ce projet nous avait semblé de la plus grande pertinence. Il s’agissait de mobiliser l’ensemble des français pour une manifestation qui allait avoir des retombées en terme d’image, mais aussi des retombées économiques sur l’ensemble du territoire ne serait-ce que par l’implication de tout un réseau de grandes villes (dont Nancy). 
Tout le monde était d’accord, la gauche, la droite, le ministre de l’économie de l’époque (un certain Emmanuel Macron), les partenaires privés étaient séduits. 
Mais voilà, il fallait ensuite avoir la volonté politique. Il ne suffit pas d’être candidat, il faut porter le projet…
Ce Gouvernement ne l’a pas porté. Et aujourd’hui, il annonce (alors qu’il y a trois mois, le Président de la République soutenait le projet sans réserve) qu’il souhaite l’abandonner en raison « d’un risque pour les finances publiques, un manque de partenaires privés et une crainte quant à la participation… »
C’est plus facile à annoncer que d’avouer qu’on n’a pas assez travaillé…
C’est une immense erreur.

Comment peut-on craindre un manque de participation 7 années auparavant, alors que l’on sait qu’entre temps il y aura le Mondial de Rugby et les JO de Paris qui initieront une énorme dynamique ?
Quel amateurisme !
On fait l’impasse sur le moyen de relancer l’attractivité de la France à travers l’exposition de ses savoir-faire dans les domaines du culturel, de l’artistique, du scientifique, de la recherche, de l’architecture, de l’écologie,…
On fait l’impasse sur un énorme projet d’investissement structurant pour notre pays, en terme de transports en commun à Paris et en France, de logements, de grandes infrastructures.
On fait l’impasse sur une opportunité unique de réaliser le grand Chelem : Mondial de Rugby en 2023, Jeux Olympiques d’été en 2024, Exposition Universelle en 2025.
C’est à l’image de la France de par le monde que l’on s’en prend.
Il est évident que les infrastructures réalisées pour chacun de ces grands rendez-vous allaient pouvoir être utilisées par ces trois rendez-vous et que le coût des investissements nécessaires pour le troisième dans le temps allait donc en être minoré ! Quel mauvais calcul ! 

Le projet avait avant cela été calibré pour être équilibré financièrement.
Dans toutes les réunions auxquelles j’ai participé, il avait été rappelé que les thématiques telles que la  protection de la planète, les énergies propres, et l’écologie en général seraient une priorité à travers les expositions, les avancées technologiques, et les expressions diverses.

Et puis chacun sait que l’activité crée de l’activité. On abandonne là un extraordinaire moyen de développement économique et de création d’emplois.

C’est une erreur décidée en catimini, face à ce qui devait être un grand projet partagé. Quelle absence de responsabilité ! Quelle absence de réalisme ! Quel gâchis !

J’avais été un membre actif de la Commission d’évaluation qui avait beaucoup travaillé, auditionné des dizaines d’experts, avant que de déposer son rapport au Président François Hollande sur la pertinence de la candidature de la France à l’organisation de l’Exposition Universelle en 2025.

A l’époque ce projet nous avait semblé de la plus grande pertinence. Il s’agissait de mobiliser l’ensemble des français pour une manifestation qui allait avoir des retombées en terme d’image, mais aussi des retombées économiques sur l’ensemble du territoire ne serait-ce que par l’implication de tout un réseau de grandes villes (dont Nancy). 
Tout le monde était d’accord, la gauche, la droite, le ministre de l’économie de l’époque (un certain Emmanuel Macron), les partenaires privés étaient séduits. 
Mais voilà, il fallait ensuite avoir la volonté politique. Il ne suffit pas d’être candidat, il faut porter le projet…
Ce Gouvernement ne l’a pas porté. Et aujourd’hui, il annonce (alors qu’il y a trois mois, le Président de la République soutenait le projet sans réserve) qu’il souhaite l’abandonner en raison « d’un risque pour les finances publiques, un manque de partenaires privés et une crainte quant à la participation… »
C’est plus facile à annoncer que d’avouer qu’on n’a pas assez travaillé…
C’est une immense erreur.

Comment peut-on craindre un manque de participation 7 années auparavant, alors que l’on sait qu’entre temps il y aura le Mondial de Rugby et les JO de Paris qui initieront une énorme dynamique ?
Quel amateurisme !
On fait l’impasse sur le moyen de relancer l’attractivité de la France à travers l’exposition de ses savoir-faire dans les domaines du culturel, de l’artistique, du scientifique, de la recherche, de l’architecture, de l’écologie,…
On fait l’impasse sur un énorme projet d’investissement structurant pour notre pays, en terme de transports en commun à Paris et en France, de logements, de grandes infrastructures.
On fait l’impasse sur une opportunité unique de réaliser le grand Chelem : Mondial de Rugby en 2023, Jeux Olympiques d’été en 2024, Exposition Universelle en 2025.
C’est à l’image de la France de par le monde que l’on s’en prend.
Il est évident que les infrastructures réalisées pour chacun de ces grands rendez-vous allaient pouvoir être utilisées par ces trois rendez-vous et que le coût des investissements nécessaires pour le troisième dans le temps allait donc en être minoré ! Quel mauvais calcul ! 

Le projet avait avant cela été calibré pour être équilibré financièrement.
Dans toutes les réunions auxquelles j’ai participé, il avait été rappelé que les thématiques telles que la  protection de la planète, les énergies propres, et l’écologie en général seraient une priorité à travers les expositions, les avancées technologiques, et les expressions diverses.

Et puis chacun sait que l’activité crée de l’activité. On abandonne là un extraordinaire moyen de développement économique et de création d’emplois.

C’est une erreur décidée en catimini, face à ce qui devait être un grand projet partagé. Quelle absence de responsabilité ! Quelle absence de réalisme ! Quel gâchis !

Tomblaine n’en finit plus de gagner. Les basketteuses de l’ASPTT Nancy-Tomblaine ont battu celles de Calais : 62-55.
Le score est beaucoup plus serré que d’habitude et pourtant les tomblainoises ont mené de 17 points en première mi-temps.
Elles ont eu affaire à une solide équipe Calaisienne.

 Le dernier quart-temps a été me plus âprement disputé, mais  les tomblainoises ont su faire finalement la différence en particulier par une belle adresse à trois points.
Quant à l’ambiance dans les tribunes… je n’ai jamais vu quelqu’un d’aussi chauvin que Denise Gu…. (lol)

 

 

Tomblaine n’en finit plus de gagner. Les basketteuses de l’ASPTT Nancy-Tomblaine ont battu celles de Calais : 62-55.
Le score est beaucoup plus serré que d’habitude et pourtant les tomblainoises ont mené de 17 points en première mi-temps.
Elles ont eu affaire à une solide équipe Calaisienne.

 Le dernier quart-temps a été me plus âprement disputé, mais  les tomblainoises ont su faire finalement la différence en particulier par une belle adresse à trois points.
Quant à l’ambiance dans les tribunes… je n’ai jamais vu quelqu’un d’aussi chauvin que Denise Gu…. (lol)

 

 

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