Agir pour vous et avec vous

Mois : juillet 2020 (Page 9 de 15)

Il était apprécié de tous, toujours très souriant. Gérard Moissette a travaillé à la Commune
de Tomblaine du 1er janvier 1987 au 1er janvier 2003. Il commença aux services techniques
comme responsable des manifestations, puis il prit la responsabilité du service bâtiments,
puis la responsabilité du service environnement.
En 2003, lorsque la Communauté Urbaine du Grand Nancy a repris un certain nombre de
compétences, Gérard a été muté à la CUGN. Mais a Tomblaine personne ne l’a oublié, il n’y
a gardé que des amis. Tous les ans, à l’occasion des vœux du maire, il nous faisait l’amitié,
avec son épouse Sylvie de nous rendre visite et de passer la soirée avec nous.
Nous partageons la peine de sa famille. A son épouse, à ses deux filles Magali et Emilie, au
nom du Conseil Municipal de Tomblaine et au nom de tous les anciens collègues de Gérard,
nous présentons nos sincères condoléances.
Hervé Féron.

Il était apprécié de tous, toujours très souriant. Gérard Moissette a travaillé à la Commune
de Tomblaine du 1er janvier 1987 au 1er janvier 2003. Il commença aux services techniques
comme responsable des manifestations, puis il prit la responsabilité du service bâtiments,
puis la responsabilité du service environnement.
En 2003, lorsque la Communauté Urbaine du Grand Nancy a repris un certain nombre de
compétences, Gérard a été muté à la CUGN. Mais a Tomblaine personne ne l’a oublié, il n’y
a gardé que des amis. Tous les ans, à l’occasion des vœux du maire, il nous faisait l’amitié,
avec son épouse Sylvie de nous rendre visite et de passer la soirée avec nous.
Nous partageons la peine de sa famille. A son épouse, à ses deux filles Magali et Emilie, au
nom du Conseil Municipal de Tomblaine et au nom de tous les anciens collègues de Gérard,
nous présentons nos sincères condoléances.
Hervé Féron.

Françaises, Français, chers compatriotes, restez au lit !

L’Etat de mensonge permanent. Le président de la République va (encore) parler à la télévision. Je vous invite à rester couchés sous la couette et à prendre un bon bouquin…

En ces temps troublés de l’histoire, qui ressemblent tellement à l’après-guerre, sauf qu’après la guerre, le Peuple de France avait retrouvé espoir et solutions, pour vivre dignement et solidairement, grâce au Conseil National de la Résistance… époque où un homme politique pouvait être aussi un héros, parce qu’il avait souffert avec le Peuple et parce qu’il en était proche.
En ces temps troublés, aujourd’hui, le Peuple de France n’avait pas mérité autant de mépris. Et pourtant le nouveau gouvernement d’Emmanuel Macron est une véritable injure à l’histoire… la vraie histoire, pas celle qu’il va tenter de nous raconter en ce triste 14 juillet 2020 à la télévision.

Tout d’abord, le bilan… en trois ans de mandat seulement, l’intérêt porté par la justice française à ses ministres ou proches collaborateurs, s’apparente à une hécatombe. Nous avons une pensée, pas vraiment émue, pour mesdames et messieurs Benalla, de Rugy, Delevoye, Richard Ferrand, Alexis Kohler, Muriel Penicaud, Laura Flessel, etc.
Et voilà qu’aujourd’hui dans le casting de Castex, ils nous enfilent Eric Dupond-Moretti, l’avocat de Balkany… Je sais, je sais… un avocat doit pouvoir défendre tout accusé, quel qu’il soit… Mais de là à nommer dans la foulée ce même avocat ministre de la justice, il y a quelque chose de terriblement symbolique… L’avocat qui hier fustigeait les juges ! Cela sonne comme une déclaration d’intention présidentielle faite de mépris envers les juges et envers le Peuple.
Dupond-Moretti a pour lui qu’il est beau parleur, mais on peut continuer à s’interroger, quand chacun sait qu’il n’acceptait de défendre que les causes qui lui permettaient d’être médiatisé ou surtout lorsque ses clients avaient les moyens de s’offrir ses gras honoraires… Et puis, lorsqu’en 2019, ce boulimique des médias était monté sur les planches, j’avais trouvé intéressant de programmer « Eric Dupond-Moretti à la barre » dans le festival de théâtre de notre ville. Lorsqu’il nous a été annoncé que pour une heure quarante de spectacle, seul en scène, ce monsieur, qui n’était tout de même pas un grand du théâtre français, demandait la modique somme de 32 000€ (hors taxe !), auxquels il fallait ajouter de nombreux caprices de star… Nous avons abandonné ce projet, nous trouvions alors impudique le mélange des genres. Alors, oui monsieur le Président ce message que vous envoyez aux Français est Aujourd’hui une injure.

Je ne vais pas tous les énumérer, mais je me permettrai quelques remarques sur les autres ministres de ce gouvernement Macron façonné à l’énergie du désespoir.
– Un premier Ministre bien gentil… on l’aimait bien au village… Mais surtout ancien secrétaire adjoint à l’Elysée de Nicolas Sarkozy. Vous avez nommé un bon commis de l’Etat, il sera aux ordres. De ces très haut fonctionnaires qui coutent si cher à la France, qu’ils administrent en technocrates sans humanité, mais vous l’avez choisi bien rond, l’accent chantant, maire d’une petite commune, pour mieux faire passer la pilule des mesures anti-sociales que vous avez décidé de mettre en oeuvre coûte que coûte, comme pour ignorer la déroute que les Français vous ont infligée lors des récentes élections municipales.

– On peut s’étonner de revoir Blanquer à l’Education Nationale, après sa gestion désastreuse pendant la crise sanitaire… C’est encore un mauvais signe donné aux enseignants qui sont en souffrance.

– J’ai connu Barbara Pompili à l’Assemblée Nationale, je l’ai croisée très souvent, nous étions dans la même commission, je pense d’elle qu’elle est arriviste, elle était prête à tout pour devenir ministre, flattant les uns, donnant des leçons aux autres, populiste à souhait, elle était détestée pour ses méthodes dans son propre camp (qu’elle a d’ailleurs trahi si souvent). C’est triste, mais le jour où elle ne sera plus ministre, on ne se souviendra plus d’elle.

– On nous ressert aussi le pauvre Olivier Véran à la santé, fusible après un autre fusible Agnès Busyn, qui, elle, a fini disjoncter et péter les plombs. Olivier Véran, qui a dû assumer tous les mensonges d’Etat sur le manque de masques, sur le manque de tests, sur le manque de respirateurs, puis sur les achats massifs de respirateurs inadaptés, celui qui a dû escamoter autant que possible l’incurie de l’Etat et des ARS …
Un machin a été inventé pour légitimer toute cette incohérence nationale « le Ségur de la santé » sorte de séminaire en obstétrique qui accouchera d’une augmentation mensuelle de 183€ par professionnel de santé, quand les professionnels, eux, espéraient 300€ nets minimum. Parcequ’il ne s’agissait pour eux que de rattraper le retard des rémunérations dû au gel du point d’indice depuis 2010 !!! Ils ne demandent pas l’aumône, savez-vous que les infirmiers français ont une des rémunérations les plus faibles de toute l’OCDE ?
Quant aux postes de soignants promis à la création, on attendra pour voir, car on a déjà trop souvent vu le film, celui du mensonge d’Etat permanent. Avez-vous remarqué, par exemple, que, pendant la crise, le directeur de l’ARS de la Région Grand Est a été remercié pour avoir dit que le plan prévu pour équilibrer le budget du CHU de Nancy, visant à supprimer à nouveau 598 postes et 174 lits sur les cinq prochaines années serait maintenu ! Il a été écarté, car cela paraissait cynique en pleine crise sanitaire, ce n’était pas politiquement correct de dire l’affligeante vérité… et bien aujourd’hui ce plan est confirmé ! Le fusible devra donc remplir son office.

Le Ségur de la santé ! Monsieur le Président, savez-vous qui a dit « la modeste et douce bienveillance est une vertu qui donne plus d’amis que la richesse et plus de crédit que le pouvoir » ? Cela est si pertinent que cela pourrait avoir été écrit hier matin, à propos de nos personnels soignants pour la bienveillance et de nos gouvernants pour la richesse et le pouvoir ?
Et bien c’est la Comtesse de Ségur qui a écrit cela au début du 19ème siècle…

– Et puis, le pire est arrivé peut-être avec Roselyne Bachelot. A la recherche du temps perdu, ou à la recherche de ministres bling-bling, vous avez donné la Culture à celle qui est en tournée show-business depuis huit ans, exploitant, à des fins privées, la notoriété acquise par son ministère sous Sarkozy et cultivant dans les médias l’image d’une amuseuse de corps de garde, à base de blagues grossières et d’humour graveleux. J’ai trop de respect pour les clowns pour oser la comparaison, mais là c’est tout le monde de la Culture que vous insultez, j’entends la Culture populaire, au sens que lui donnait Antoine Vitez « la Culture Populaire est la Culture élitaire pour tous ». Vous nous offrez du désespoir que vous habillez en rose bonbon.
Mais surtout, elle a été ministre de la santé, je me souviens d’elle lorsqu’une nuit nous avions proposé un amendement pertinent à l’Assemblée et qu’elle avait mission de le mettre en échec. Comme nous étions en majorité. Elle a pris la parole pendant trois quarts d’heure pour nous raconter n’importe quoi en nous narguant, car chacun savait qu’elle pourrissait volontairement le débat et jouait la montre pour laisser le temps aux député parisiens de son camp de revenir à l’Assemblée et voter contre notre amendement, pourtant d’intérêt public. Elle n’a honte de rien. J’aurai aussi l’occasion un jour de parler de mes nombreuses interventions dans l’hémicycle pour défendre les vertus bactéricides et virucides du cuivre, démontrées à l’époque par d’éminents médecins, universitaires et scientifiques et on parlait déjà du coronavirus. Elle a toujours refusé les propositions d’équipements dans les hôpitaux français que je formulais, sous la pression des lobbys et de ses conseillers…
Et dans ses conseillers, son fils Pierre Bachelot, qui après avoir été son collaborateur parlementaire, puis son conseiller quand elle était ministre, fut même chargé de mission à l’INPES, établissement sous la tutelle du ministère de la santé et donc de sa mère Roselyne Bachelot, auprès de laquelle il était déjà employé comme membre du cabinet…

Monsieur le Président, votre nouvelle intervention télévisée n’aura d’autre intention que de vous positionner pour l’élection présidentielles de 2022, mais quand répondrez-vous de vos actes et de vos décisions auprès des Français ?
Hervé Féron.

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