Agir pour vous et avec vous

Mois : août 2021 (Page 12 de 13)

Au mois de mai dernier, la Compagnie Alegria donnait des master classes de Commedia dell’Arte pour tous les enfants de toutes les classes de CM2 de Tomblaine, master classes organisées par l’association « Aux Actes Citoyens » et la Ville de Tomblaine.
Le dernier jour de cette master classe, le comédien d’Alegria Émilien, tous les élèves de l’école élémentaire Brossolette et les collègues enseignantes d’Olivier Rambaut ont tourné une petite vidéo. 
Le directeur de l’école, Olivier Rambaut, cessait ses fonctions ce jour-là pour deux années, car il se battait discrètement, depuis longtemps, contre la maladie et il devait subir une intervention chirurgicale. Tout le monde l’aimait bien et tout le monde était persuadé qu’au bout de deux ans il reviendrait à l’école. Alors les enfants et les adultes lui ont chanté, lui ont crié « We love, we love Rambaut ! »
Quel témoignage d’amitié, d’amour, quelle reconnaissance. Tout le monde était persuadé qu’il reviendrait…

 

 

Avec le temps qui passe, les anniversaires prennent une saveur différente…

Quand on est jeune, on est heureux et fier, parce qu’on grandit, l’anniversaire est alors une fête parce qu’il est une étape de notre progression. On se réjouit de vieillir.

Mais plus tard, l’anniversaire devient progressivement la marque du temps qui passe. Quand le corps vous rappelle le temps dépassé et que l’âme est déchirée par les 
blessures de la vie, celles dont on ne parle pas, celles qui ne cicatrisent jamais, celles qu’on ne peut  partager, tant elles sont douloureuses… 

L’anniversaire reste cependant une belle fête à célébrer, « un joyeux anniversaire », quand on a la chance d’être entouré. Parce qu’il devient, sous la forme d’un rendez-vous
annuel, l’occasion que vous soient témoignées de la sympathie, de l’amitié, de l’amour…

J’ai toujours été irrité par les réseaux sociaux et leurs fonctionnements, parce qu’ils se substituent aux vraies relations, à la vie en présentiel et donc aux sentiments sincères.
Lorsqu’un jour, j’ai appris que « j’avais des milliers d’amis » rien que sur facebook, j’en ai ri et cela m’a fait peur en même temps… Bienvenue dans le monde de la prétention, 
de l’impudeur et de l’irrationnel… Pourtant, j’use et j’abuse de ces réseaux sociaux, parce qu’ils restent trop souvent le seul moyen de communiquer quand on a des 
responsabilités et qu’on est « un homme public », sans que ses propos ne soient empêchés, censurés, ou déformés.

Et puis arrive le jour de votre anniversaire et là, messenger, facebook, les sms, les mails, vous amènent des centaines et des centaines de témoignages de sympathie. Tous
chaleureux, certains trop élogieux, tous émouvants et je ne veux douter de la sincérité de personne, car nul n’est obligé.

J’écris ce texte, au lendemain de ce jour d’anniversaire, parce que j’ai essayé de remercier tout le monde et que je n’ai pas réussi, je veux vous dire à toutes et à tous merci !

Merci, parce dans ce monde compliqué, cette époque sans âmes et sans émotions, vous m’apportez confiance et réconfort.

Et quand, en plus, vous avez la chance d’être en famille pour ce jour anniversaire, c’est du plaisir à déguster. Je me suis levé hier matin, mon petit-fils âgé de 21 mois, m’a tendu
le plus beau des dessins, il m’en a énuméré les couleurs et en me prodiguant un énorme bisou bien baveux, il m’a articulé quelque chose qui ressemblait à « bon anniversaire papy »,
en tous cas, moi, je l’ai compris comme ça… Le bonheur absolu !

L’anniversaire reste aussi une bonne nouvelle si vous continuez à grandir, malgré votre âge. Ces moments-là me révèlent que j’aime toutes celles et tous ceux qui m’entourent et 
vous en faites probablement partie. Je n’ai aucune haine pour ceux qui me combattent, qui colportent des rumeurs, qui multiplient les coups bas, je suis beaucoup trop fort pour les 
haïr, je n’éprouve pour eux que de l’indifférence…

Certains d’entre vous (plusieurs) m’ont écrit que je rajeunissais (un manque probable de lucidité, ou bien un excès de complaisance…), je me plais à le croire, car je reste passionné 
par nos projets et par nos combats.
Tant que j’ai toujours l’intention de gagner tous ces combats avec vous, parce que nous partageons de belles valeurs, très éloignées des dogmes partisans et des fonctionnements
réducteurs, immatures et en précarité intellectuelle des partis politiques, cela me confère une sorte d’optimisme déterminé qui ressemble furieusement à un air de jeunesse pérenne.
Vivre de passions, ne jamais rien lâcher, inventer, imaginer, ne jamais rien exclure pour que tout reste possible ! 

Quand le temps est passé, l’anniversaire peut rester une belle nouvelle, dès lors que vous continuez à progresser, à apprendre, à vous améliorer.

Alors, j’ai envie de vivre, fort de l’affection que je porte aux autres (et voilà l’impudeur des réseaux sociaux qui me rattrape).

Cet anniversaire a été terni par la disparition trop tôt d’un ami. Un instituteur de Tomblaine, directeur d’école élémentaire, un militant de l’École de la République et de l’Éducation 
Populaire. Un acteur de la vie locale qui aimait les gens, ses élèves, sa famille. Si important qu’il restera présent longtemps en mémoire pour de nombreux tomblainois. 
Quelle injustice ! Quelle peine ! J’ai pensé à lui et à sa famille pendant toute cette journée d’anniversaire.

Terrible ironie de l’histoire, des dates et de la vie qui s’en va toujours trop vite.

Voilà, je voulais juste vous dire merci, mais je me suis un peu lâché (un défaut de jeunesse !). Le temps qui passe mérite d’être vécu avec appétit et délectation quand il est fait d’amour 
et de douceur.

Avec le temps qui passe, les anniversaires prennent une saveur différente…

Quand on est jeune, on est heureux et fier, parce qu’on grandit, l’anniversaire est alors une fête parce qu’il est une étape de notre progression. On se réjouit de vieillir.

Mais plus tard, l’anniversaire devient progressivement la marque du temps qui passe. Quand le corps vous rappelle le temps dépassé et que l’âme est déchirée par les 
blessures de la vie, celles dont on ne parle pas, celles qui ne cicatrisent jamais, celles qu’on ne peut  partager, tant elles sont douloureuses… 

L’anniversaire reste cependant une belle fête à célébrer, « un joyeux anniversaire », quand on a la chance d’être entouré. Parce qu’il devient, sous la forme d’un rendez-vous
annuel, l’occasion que vous soient témoignées de la sympathie, de l’amitié, de l’amour…

J’ai toujours été irrité par les réseaux sociaux et leurs fonctionnements, parce qu’ils se substituent aux vraies relations, à la vie en présentiel et donc aux sentiments sincères.
Lorsqu’un jour, j’ai appris que « j’avais des milliers d’amis » rien que sur facebook, j’en ai ri et cela m’a fait peur en même temps… Bienvenue dans le monde de la prétention, 
de l’impudeur et de l’irrationnel… Pourtant, j’use et j’abuse de ces réseaux sociaux, parce qu’ils restent trop souvent le seul moyen de communiquer quand on a des 
responsabilités et qu’on est « un homme public », sans que ses propos ne soient empêchés, censurés, ou déformés.

Et puis arrive le jour de votre anniversaire et là, messenger, facebook, les sms, les mails, vous amènent des centaines et des centaines de témoignages de sympathie. Tous
chaleureux, certains trop élogieux, tous émouvants et je ne veux douter de la sincérité de personne, car nul n’est obligé.

J’écris ce texte, au lendemain de ce jour d’anniversaire, parce que j’ai essayé de remercier tout le monde et que je n’ai pas réussi, je veux vous dire à toutes et à tous merci !

Merci, parce dans ce monde compliqué, cette époque sans âmes et sans émotions, vous m’apportez confiance et réconfort.

Et quand, en plus, vous avez la chance d’être en famille pour ce jour anniversaire, c’est du plaisir à déguster. Je me suis levé hier matin, mon petit-fils âgé de 21 mois, m’a tendu
le plus beau des dessins, il m’en a énuméré les couleurs et en me prodiguant un énorme bisou bien baveux, il m’a articulé quelque chose qui ressemblait à « bon anniversaire papy »,
en tous cas, moi, je l’ai compris comme ça… Le bonheur absolu !

L’anniversaire reste aussi une bonne nouvelle si vous continuez à grandir, malgré votre âge. Ces moments-là me révèlent que j’aime toutes celles et tous ceux qui m’entourent et 
vous en faites probablement partie. Je n’ai aucune haine pour ceux qui me combattent, qui colportent des rumeurs, qui multiplient les coups bas, je suis beaucoup trop fort pour les 
haïr, je n’éprouve pour eux que de l’indifférence…

Certains d’entre vous (plusieurs) m’ont écrit que je rajeunissais (un manque probable de lucidité, ou bien un excès de complaisance…), je me plais à le croire, car je reste passionné 
par nos projets et par nos combats.
Tant que j’ai toujours l’intention de gagner tous ces combats avec vous, parce que nous partageons de belles valeurs, très éloignées des dogmes partisans et des fonctionnements
réducteurs, immatures et en précarité intellectuelle des partis politiques, cela me confère une sorte d’optimisme déterminé qui ressemble furieusement à un air de jeunesse pérenne.
Vivre de passions, ne jamais rien lâcher, inventer, imaginer, ne jamais rien exclure pour que tout reste possible ! 

Quand le temps est passé, l’anniversaire peut rester une belle nouvelle, dès lors que vous continuez à progresser, à apprendre, à vous améliorer.

Alors, j’ai envie de vivre, fort de l’affection que je porte aux autres (et voilà l’impudeur des réseaux sociaux qui me rattrape).

Cet anniversaire a été terni par la disparition trop tôt d’un ami. Un instituteur de Tomblaine, directeur d’école élémentaire, un militant de l’École de la République et de l’Éducation 
Populaire. Un acteur de la vie locale qui aimait les gens, ses élèves, sa famille. Si important qu’il restera présent longtemps en mémoire pour de nombreux tomblainois. 
Quelle injustice ! Quelle peine ! J’ai pensé à lui et à sa famille pendant toute cette journée d’anniversaire.

Terrible ironie de l’histoire, des dates et de la vie qui s’en va toujours trop vite.

Voilà, je voulais juste vous dire merci, mais je me suis un peu lâché (un défaut de jeunesse !). Le temps qui passe mérite d’être vécu avec appétit et délectation quand il est fait d’amour 
et de douceur.

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