Agir pour vous et avec vous

Mois : septembre 2023 (Page 10 de 25)

Le tirage au sort avait offert une belle affiche puisque le club tomblainois affrontait ce dimanche Thaon les Vosges, équipe de Nationale 3 (ce qui faisait 5 divisions d’écart) pour le troisième tour de la Coupe de France de football, Le soleil était de la partie, il faisait même très chaud pour jouer au football. Et pourtant le peu de vent qu’il y avait n’a pas permis au parachutiste annoncé de sauter sur ce magnifique terrain synthétique, la proximité de la forêt rendant l’exercice dangereux.
C’est Michaël Chrétien, directeur sportif de l’ASNL qui est venu gentiment donner le coup d’envoi du match.
Un match de bon niveau, le GSAT n’a pas démérité loin de là. Légèrement dominés en première mi-temps, les
Tomblainois ont même fait jeu égal, se procurant plusieurs occasions de but, ils ont atteint la mi-temps sur le score de 0 à 0. On se prenait à rêver.
Dix minutes après la reprise, Thaon les Vosges marquait un but sur coup de pied arrêté… Puis le moral, mais aussi certainement la forme et la fraîcheur physique ont fait la différence, puisque les tomblainois ont reculé et subi le match, avec une forte domination de Thaon en deuxième mi-temps.
Le club du président Ralph Lallemand a été courageux, ne lâchant rien, avec même un sursaut en fin de match et quelques belles actions qui auraient pu être concrétisées.
Le deuxième but de Thaon les Vosges, survenu à la dernière minute, est presque anecdotique. On retiendra que le GSAT a montré de belles dispositions, qui permettent d’espérer une superbe saison 2023-2024, c’est tout ce qu’on leur souhaite !
 
Le tirage au sort avait offert une belle affiche puisque le club tomblainois affrontait ce dimanche Thaon les Vosges, équipe de Nationale 3 (ce qui faisait 5 divisions d’écart) pour le troisième tour de la Coupe de France de football, Le soleil était de la partie, il faisait même très chaud pour jouer au football. Et pourtant le peu de vent qu’il y avait n’a pas permis au parachutiste annoncé de sauter sur ce magnifique terrain synthétique, la proximité de la forêt rendant l’exercice dangereux.
C’est Michaël Chrétien, directeur sportif de l’ASNL qui est venu gentiment donner le coup d’envoi du match.
Un match de bon niveau, le GSAT n’a pas démérité loin de là. Légèrement dominés en première mi-temps, les
Tomblainois ont même fait jeu égal, se procurant plusieurs occasions de but, ils ont atteint la mi-temps sur le score de 0 à 0. On se prenait à rêver.
Dix minutes après la reprise, Thaon les Vosges marquait un but sur coup de pied arrêté… Puis le moral, mais aussi certainement la forme et la fraîcheur physique ont fait la différence, puisque les tomblainois ont reculé et subi le match, avec une forte domination de Thaon en deuxième mi-temps.
Le club du président Ralph Lallemand a été courageux, ne lâchant rien, avec même un sursaut en fin de match et quelques belles actions qui auraient pu être concrétisées.
Le deuxième but de Thaon les Vosges, survenu à la dernière minute, est presque anecdotique. On retiendra que le GSAT a montré de belles dispositions, qui permettent d’espérer une superbe saison 2023-2024, c’est tout ce qu’on leur souhaite !
 
 

La Ville de Tomblaine depuis deux ans a accueilli des familles ukrainiennes (la plupart du temps des mères de familles, seules avec leurs enfants) et leur a organisé un parcours accompagné (accueil d’urgence, scolarisation immédiate des enfants, intégration dans la vie associative de la ville, recherche d’emploi pour les mères de famille, logement…). Ces familles sont aujourd’hui parfaitement intégrées à la vie tomblainoise, d’autres ont pu retourner vivre en Ukraine.

 

Par ailleurs des enfants, puis des adolescents ukrainiens ont été accueillis, en périodes de vacances scolaires, à plusieurs reprises, lors de « séjours de répit », ce qui nous a permis de proposer des vacances, avec des activités diversifiées, en sérénité, pour des jeunes traumatisés, qui pour la plupart avaient perdu leur père à la guerre …

Cette fois-ci il s’agira d’accueillir un groupe d’enfants ukrainiens, pendant cinq semaines, du 17 septembre au 22 octobre, sous la forme d’une classe transplantée. Ce projet soutenu par le ministère de l’éducation nationale, en partenariat avec l’association humanitaire Europe Prykhystok, sera, dans la forme, une première en Europe.

 

 

Âgés de 8, 9 et 10 ans, ces enfants ne sont quasiment jamais allés à l’école, puisque l’école en Ukraine commence à l’âge de six ans. Quand ils avaient six ans, la crise sanitaire et le Covid 19 les ont empêchés d’aller à l’école, puis la guerre est arrivée. Leur école ne dispose pas de caves pour se protéger des bombardements, c’est pourquoi ils ne peuvent toujours pas aller à l’école en présentiel.
 
Ces enfants ukrainiens iront pendant un mois à l’école Jules Ferry, où une classe spécifique leur sera dédiée, parfaitement équipée, mobilier, TBI, etc… Le TBI et le Très Haut Débit permettront à l’enseignante d’être en contact avec d’autres élèves en Ukraine, en même temps qu’elle enseignera en présentiel pour ce groupe.
 
Et puis, ils vont côtoyer les enfants français en récréation, au restaurant scolaire, au CLSH les mercredis et également en participant aux activités proposées par les associations tomblainoises.
 
Le groupe sera encadré par trois accompagnatrices ukrainiennes, dont une enseignante et par des animatrices françaises employées par la ville de Tomblaine. Il sera logé dans un gîte municipal, au bord de l’eau (petit havre de paix).

 

On remarque une formidable mobilisation spontanée de la population, les voisins, les enseignants, les personnels municipaux se montrent accueillants et solidaires.

 

L’équipe enseignante de l’école Jules Ferry prévoit d’intégrer ce groupe dans le projet pédagogique de l’école par des actions spécifiques.

 

Et puis de nombreux partenaires nous aident spontanément (un chef d’entreprise offre une journée dans un parc d’attraction, la Métropole du Grand Nancy recevra le groupe à la piscine, ou en visite à l’Aquarium… L’ASNL offrira des places pour un match de football, l’Etat nous aidera aussi) Quelle générosité de tous !

 

En Ukraine, 1,5 millions d’enfants sont exposés à la dépression, à l’anxiété, au stress post traumatique ; plus de 5 millions à l’éducation perturbée, sans accès à une salle de classe faute d’abri, apprenant en ligne depuis trois ans et demi : une génération entière est au bord du gouffre selon l’UNICEF. 
(21 février 2023, UNICEF : « Ukraine : une génération d’enfants au bord du gouffre » 
 

La Ville de Tomblaine depuis deux ans a accueilli des familles ukrainiennes (la plupart du temps des mères de familles, seules avec leurs enfants) et leur a organisé un parcours accompagné (accueil d’urgence, scolarisation immédiate des enfants, intégration dans la vie associative de la ville, recherche d’emploi pour les mères de famille, logement…). Ces familles sont aujourd’hui parfaitement intégrées à la vie tomblainoise, d’autres ont pu retourner vivre en Ukraine.

 

Par ailleurs des enfants, puis des adolescents ukrainiens ont été accueillis, en périodes de vacances scolaires, à plusieurs reprises, lors de « séjours de répit », ce qui nous a permis de proposer des vacances, avec des activités diversifiées, en sérénité, pour des jeunes traumatisés, qui pour la plupart avaient perdu leur père à la guerre …

Cette fois-ci il s’agira d’accueillir un groupe d’enfants ukrainiens, pendant cinq semaines, du 17 septembre au 22 octobre, sous la forme d’une classe transplantée. Ce projet soutenu par le ministère de l’éducation nationale, en partenariat avec l’association humanitaire Europe Prykhystok, sera, dans la forme, une première en Europe.

 

 

Âgés de 8, 9 et 10 ans, ces enfants ne sont quasiment jamais allés à l’école, puisque l’école en Ukraine commence à l’âge de six ans. Quand ils avaient six ans, la crise sanitaire et le Covid 19 les ont empêchés d’aller à l’école, puis la guerre est arrivée. Leur école ne dispose pas de caves pour se protéger des bombardements, c’est pourquoi ils ne peuvent toujours pas aller à l’école en présentiel.
 
Ces enfants ukrainiens iront pendant un mois à l’école Jules Ferry, où une classe spécifique leur sera dédiée, parfaitement équipée, mobilier, TBI, etc… Le TBI et le Très Haut Débit permettront à l’enseignante d’être en contact avec d’autres élèves en Ukraine, en même temps qu’elle enseignera en présentiel pour ce groupe.
 
Et puis, ils vont côtoyer les enfants français en récréation, au restaurant scolaire, au CLSH les mercredis et également en participant aux activités proposées par les associations tomblainoises.
 
Le groupe sera encadré par trois accompagnatrices ukrainiennes, dont une enseignante et par des animatrices françaises employées par la ville de Tomblaine. Il sera logé dans un gîte municipal, au bord de l’eau (petit havre de paix).

 

On remarque une formidable mobilisation spontanée de la population, les voisins, les enseignants, les personnels municipaux se montrent accueillants et solidaires.

 

L’équipe enseignante de l’école Jules Ferry prévoit d’intégrer ce groupe dans le projet pédagogique de l’école par des actions spécifiques.

 

Et puis de nombreux partenaires nous aident spontanément (un chef d’entreprise offre une journée dans un parc d’attraction, la Métropole du Grand Nancy recevra le groupe à la piscine, ou en visite à l’Aquarium… L’ASNL offrira des places pour un match de football, l’Etat nous aidera aussi) Quelle générosité de tous !

 

En Ukraine, 1,5 millions d’enfants sont exposés à la dépression, à l’anxiété, au stress post traumatique ; plus de 5 millions à l’éducation perturbée, sans accès à une salle de classe faute d’abri, apprenant en ligne depuis trois ans et demi : une génération entière est au bord du gouffre selon l’UNICEF. 
(21 février 2023, UNICEF : « Ukraine : une génération d’enfants au bord du gouffre » 
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