Agir pour vous et avec vous

Mois : mai 2024 (Page 1 de 13)

 
 
Un long article dans l’Est Républicain d’hier est consacré à la Chaufferie Urbaine, il comporte des erreurs et des omissions et certains d’entre vous m’ont interrogé à ce sujet. Je vous donne donc quelques informations…
Une dame habitant Essey-les-Nancy m’avait adressé un courrier recommandé, avec copies à la Préfète de Meurthe et Moselle, au Maire d’Essey et au Président de la Métropole du Grand Nancy. A ce courrier était adossée une pétition d’habitants d’Essey-lès-Nancy.
J’avais répondu à cette dame pour lui apporter un certain nombre d’éléments à sa connaissance et je lui demandais de bien vouloir transmettre ces éléments à l’ensemble des co-signataires de cette pétition.
Tout d’abord, elle regrettait que « j’autorise la construction d’une chaufferie urbaine sur la commune de Tomblaine en limite de sa ville ».
Je lui ai répondu que cette chaufferie urbaine avait fait l’objet d’un permis de construire signé par madame la Préfète et non pas par le maire de Tomblaine. Avant que de signer ce permis de construire, madame le Préfet avait dit entendre mes arguments et en tenir compte mais ce n’est clairement pas moi qui ai autorisé cette chaufferie et je n’ai pas constaté par la suite que mes arguments avaient été entendus.
De même, l’Est Républicain d’hier dit qu’il y a eu un vote du Conseil Municipal de Tomblaine à ce sujet… C’est faux, il n’y a jamais eu de délibération du CM de Tomblaine en ce sens.
Comment cela s’est-il passé ?
Les services de la Métropole du Grand Nancy ont travaillé sur ce projet sans jamais m’en informer de quelque façon que ce soit. Ce qui est déjà un irrespect incroyable !
Le jour où le projet est arrivé à l’ordre du jour du Conseil de Métropole, je l’ai découvert. Bien sûr je m’en suis offusqué et c’est seulement là que des techniciens de la Métropole m’ont proposé de venir me voir en mairie de Tomblain pour présenter ce projet…. Après qu’il ait été voté en Conseil de Métropole ! Je déplore sans cesse ce manque de considération pour le maire de la commune de la part de la Métropole.
Lorsqu’ils sont venus me présenter le projet, j’ai fait remarquer un certain nombre d’incohérences.
Tout d’abord, l’implantation de la chaufferie était prévue, déjà en limite d’Essey-lès-Nancy, mais en plein sur la trame verte et bleue où toutes constructions nous sont interdites depuis de nombreuses années, par les services de l’Etat et par la Métropole ! J’ai eu le plus grand mal du monde à me faire entendre et à décaler de quelques dizaines de mètres le projet.
Comme je protestais sur le manque de concertation et sur le manque d’information, des personnels de la Métropole et de DALKIA sont venus présenter le projet en Conseil Municipal de Tomblaine. Nous avons alors posé plusieurs questions :
– Comment les camions allaient-ils pouvoir accéder au site, d’une part, pendant les travaux (15 à 20 camions par jour), d’autre part, quand la chaufferie sera en fonctionnement (2 à 3 camions maximum par jour). Nous n’avons obtenu aucune réponse.
– Nous souhaitions en savoir plus sur les éventuelles nuisances et sur le fonctionnement d’une chaufferie urbaine. Il a été proposé au Conseil Municipal une visite de la chaufferie située rue Victor à Nancy.
– Nous remarquions que cette chaufferie urbaine, une fois de plus, ne rapportera aucune recette fiscale à la ville de Tomblaine et ce n’est pas un hasard si la Métropole a encore choisi Tomblaine, comme de nombreuses infrastructures qui appartiennent à la Métropole, au Département ou à la Région, cette chaufferie Urbaine ne sera pas assujettie ni à une Taxe Foncière, ni à la Contribution Foncière des Entreprises !!! Le préjudice financier commence à être très lourd…
Et, dans le même temps, nous faisions remarquer que dans le projet, cette Chaufferie Urbaine ne devait desservir que des bâtiments métropolitains, départementaux ou régionaux,et que par conséquent, il n’était pas prévu dans le projet de desservir des bâtiments municipaux ou des bâtiments d’habitation de Tomblainois. On nous a rassurés et on nous a promis que cela serait corrigé, mais depuis ça n’a pas été corrigé… Pour Tomblaine, c’est la double peine.
Le Conseil Municipal a visité cette chaufferie à Nancy, qui d’extérieur est vraiment inesthétique. La visite a été très instructive et nous a convaincus de son intérêt sur le plan écologique. Nous avons constaté aussi que les premières habitations sont à 5 mètres de la chaufferie et qu’il n’y a aucune nuisance, aucun désagrément perceptible de l’extérieur.
Je pense que la Métropole du Grand Nancy aurait dû informer les habitants d’Essey-lès-Nancy et bien sûr leur maire, proposer une réunion publique d’information voire même une visite de la chaufferie de Nancy.
J’écrivais alors qu’il n’était peut-être pas trop tard pour le faire. Les habitants d’Essey-lès-Nancy constateraient qu’ils n’ont pas à craindre les nuisances extérieures et qu’au contraire de la chaufferie de Nancy, celle qui devrait être implantée à Tomblaine, à proximité d’Essey sera un bâtiment de qualité esthétique. Cela permettrait aussi d’expliquer la perti

A propos de la Chaufferie Urbaine… Tout ce que vous voulez savoir.
Un long article dans l’Est Républicain d’hier est consacré à la Chaufferie Urbaine, il comporte des erreurs et des omissions et certains d’entre vous m’ont interrogé à ce sujet. Je vous donne donc quelques informations…
Une dame habitant Essey-les-Nancy m’avait adressé un courrier recommandé, avec copies à la Préfète de Meurthe et Moselle, au Maire d’Essey et au Président de la Métropole du Grand Nancy. A ce courrier était adossée une pétition d’habitants d’Essey-lès-Nancy.
J’avais répondu à cette dame pour de porter un certain nombre d’éléments à sa connaissance et je lui demandais de bien vouloir transmettre ces éléments à l’ensemble des co-signataires de cette pétition.
Tout d’abord, elle regrettait que « j’autorise la construction d’une chaufferie urbaine sur la commune de Tomblaine en limite de sa ville ».
Je lui ai répondu que cette chaufferie urbaine avait fait l’objet d’un permis de construire signé par madame la Préfète et non pas par le maire de Tomblaine. Avant que de signer ce permis de construire, madame le Préfet avait dit entendre mes arguments et en tenir compte mais ce n’est clairement pas moi qui ai autorisé cette chaufferie et je n’ai pas constaté par la suite que mes arguments avaient été entendus.
De même, l’Est Républicain d’hier dit qu’il y a eu un vote du Conseil Municipal de Tomblaine à ce sujet… C’est faux, il n’y a jamais eu de délibération du CM de Tomblaine en ce sens.
Comment cela s’est-il passé ?
Les services de la Métropole du Grand Nancy ont travaillé sur ce projet sans jamais m’en informer de quelque façon que ce soit. Ce qui est déjà un irrespect incroyable !
Le jour où le projet est arrivé à l’ordre du jour du Conseil de Métropole, je l’ai découvert. Bien sûr je m’en suis offusqué et c’est seulement là que des techniciens de la Métropole m’ont proposé de venir me voir en mairie de Tomblain pour présenter ce projet…. Après qu’il ait été voté en Conseil de Métropole ! Je déplore sans cesse ce manque de considération pour le maire de la commune de la part de la Métropole.
Lorsqu’ils sont venus me présenter le projet, j’ai fait remarquer un certain nombre d’incohérences.
Tout d’abord, l’implantation de la chaufferie était prévue, déjà en limite d’Essey-lès-Nancy, mais en plein sur la trame verte et bleue où toutes constructions nous sont interdites depuis de nombreuses années, par les services de l’Etat et par la Métropole ! J’ai eu le plus grand mal du monde à me faire entendre et à décaler de quelques dizaines de mètres le projet.
Comme je protestais sur le manque de concertation et sur le manque d’information, des personnels de la Métropole et de DALKIA sont venus présenter le projet en Conseil Municipal de Tomblaine. Nous avons alors posé plusieurs questions :
– Comment les camions allaient-ils pouvoir accéder au site, d’une part, pendant les travaux (15 à 20 camions par jour), d’autre part, quand la chaufferie sera en fonctionnement (2 à 3 camions maximum par jour). Nous n’avons obtenu aucune réponse.
– Nous souhaitions en savoir plus sur les éventuelles nuisances et sur le fonctionnement d’une chaufferie urbaine. Il a été proposé au Conseil Municipal une visite de la chaufferie située rue Victor à Nancy.
– Nous remarquions que cette chaufferie urbaine, une fois de plus, ne rapportera aucune recette fiscale à la ville de Tomblaine et ce n’est pas un hasard si la Métropole a encore choisi Tomblaine, comme de nombreuses infrastructures qui appartiennent à la Métropole, au Département ou à la Région, cette chaufferie Urbaine ne sera pas assujettie ni à une Taxe Foncière, ni à la Contribution Foncière des Entreprises !!! Le préjudice financier commence à être très lourd…
Et, dans le même temps, nous faisions remarquer que dans le projet, cette Chaufferie Urbaine ne devait desservir que des bâtiments métropolitains, départementaux ou régionaux,et que par conséquent, il n’était pas prévu dans le projet de desservir des bâtiments municipaux ou des bâtiments d’habitation de Tomblainois. On nous a rassurés et on nous a promis que cela serait corrigé, mais depuis ça n’a pas été corrigé… Pour Tomblaine, c’est la double peine.
Le Conseil Municipal a visité cette chaufferie à Nancy, qui d’extérieur est vraiment inesthétique. La visite a été très instructive et nous a convaincus de son intérêt sur le plan écologique. Nous avons constaté aussi que les premières habitations sont à 5 mètres de la chaufferie et qu’il n’y a aucune nuisance, aucun désagrément perceptible de l’extérieur.
Je pense que la Métropole du Grand Nancy aurait dû informer les habitants d’Essey-lès-Nancy et bien sûr leur maire, proposer une réunion publique d’information voire même une visite de la chaufferie de Nancy.
J’écrivais alors qu’il n’était peut-être pas trop tard pour le faire. Les habitants d’Essey-lès-Nancy constateraient qu’ils n’ont pas à craindre les nuisances extérieures et qu’au contraire de la chaufferie de Nancy, celle qui devrait être implantée à Tomblaine, à proximité d’Essey sera un bâtiment de qualité esthétique. Cela permettrait aussi d’expliquer la pertinence sur le plan écologique du réseau de chaleur métropolitain.
Nous sommes sur une parcelle constructible, on a le droit de construire là et il me semble qu’il n’y aura aucune nuisance pour les habitants même si je peux comprendre qu’ils ont toujours eu l’habitude de ne rien avoir sur cette zone.
Je serais donc favorable à l’implantation de cette chaufferie urbaine, mais aujourd’hui force m’est de constater que :
– Sur le visuel adossé à la demande de permis de construire, on voit une superbe route à deux voies qui permettra le passage des camions par TOMBLAINE sauf que personne n’a prévu de construire cette voie, ni la Métropole, ni DALKIA et personne ne répond aux questions que je pose. J’ai interpellé à plusieurs reprises la Préfète, comme le Président de la Métropole, ils ne me répondent pas.
– Je constate que le projet va permettre de desservir des bâtiments Métropolitains (stade Marcel Picot, stade Raymond Petit, COSEC, piscine du Lido), Régionaux (lycées, Maison Régionale des Sports), Départementaux (collège) plus un bâtiment d’habitation Tomblainois (Le Chardon Rouge – VIVEST) qui apparaît là plus comme un alibi qu’autre chose. En effet, contrairement aux promesses qui ont été faites, il n’est pas prévu de desservir des bâtiments communaux Tomblainois et encore moins des bâtiments d’habitation sur notre commune alors que la distance est la même que pour les autres infrastructures. C’est une fois de plus de la part de la Métropole une façon de maltraiter la ville de Tomblaine en proposant un bâtiment qui n’apportera aucune recette fiscale et aucun service local.
Je rappelle que le projet éco-citoyen de la Ville de Tomblaine prévoit de développer sur ce secteur une véritable opération de restauration écologique, puisque l’Etat a cédé ces terrains à la Métropole sans assumer son devoir de dépollution et que depuis des années l’Etat et La Métropole utilisent illégalement pendant 4 mois, chaque année, cette zone comme aire de grand passage de gens du voyage ce qui a généré de nouvelles pollution, des arbres coupés, de la végétation détruites, incendie, dépôts de détritus, d’huiles, de métaux divers…
Autour du projet Plaine Flageul, plusieurs exemples au niveau écologique : la plus grande station de recharge électrique de la région mise en place par le concessionnaire automobile, projet ralenti et empêché par la Métropole plusieurs années, mais qui a finalement abouti / l’installation du site d’expérimentation Urbanloop sur la Plaine Flageul avec, en contrepartie, promesse de développement sur Tomblaine… promesse pour l’instant pas tenue par mal Métropole / l’avion 100% électrique de l’aéro-club pour lequel une petite subvention avait été sollicitée auprès de la Métropole… la Métropole n’a jamais suivi / le champ solaire de 12 Ha que la CCI veut développer à proximité du site et qui serait entretenu par éco-pâturage… Projet empêché par la Métropole depuis plusieurs année.
Ça fait beaucoup pour un même site, non ???

nence sur le plan écologique du réseau de chaleur métropolitain.

Nous sommes sur une parcelle constructible, on a le droit de construire là et il me semble qu’il n’y aura aucune nuisance pour les habitants même si je peux comprendre qu’ils ont toujours eu l’habitude de ne rien avoir sur cette zone.
Je serais donc favorable à l’implantation de cette chaufferie urbaine, mais aujourd’hui force m’est de constater que :
– Sur le visuel adossé à la demande de permis de construire, on voit une superbe route à deux voies qui permettra le passage des camions par TOMBLAINE sauf que personne n’a prévu de construire cette voie, ni la Métropole, ni DALKIA et personne ne répond aux questions que je pose. J’ai interpellé à plusieurs reprises la Préfète, comme le Président de la Métropole, ils ne me répondent pas.
– Je constate que le projet va permettre de desservir des bâtiments Métropolitains (stade Marcel Picot, stade Raymond Petit, COSEC, piscine du Lido), Régionaux (lycées, Maison Régionale des Sports), Départementaux (collège) plus un bâtiment d’habitation Tomblainois (Le Chardon Rouge – VIVEST) qui apparaît là plus comme un alibi qu’autre chose. En effet, contrairement aux promesses qui ont été faites, il n’est pas prévu de desservir des bâtiments communaux Tomblainois et encore moins des bâtiments d’habitation sur notre commune alors que la distance est la même que pour les autres infrastructures. C’est une fois de plus de la part de la Métropole une façon de maltraiter la ville de Tomblaine en proposant un bâtiment qui n’apportera aucune recette fiscale et aucun service local.
Je rappelle que le projet éco-citoyen de la Ville de Tomblaine prévoit de développer sur ce secteur une véritable opération de restauration écologique, puisque l’Etat a cédé ces terrains à la Métropole sans assumer son devoir de dépollution et que depuis des années l’Etat et La Métropole utilisent illégalement pendant 4 mois, chaque année, cette zone comme aire de grand passage de gens du voyage ce qui a généré de nouvelles pollution, des arbres coupés, de la végétation détruites, incendie, dépôts de détritus, d’huiles, de métaux divers…
Autour du projet Plaine Flageul, plusieurs exemples au niveau écologique : la plus grande station de recharge électrique de la région mise en place par le concessionnaire automobile, projet ralenti et empêché par la Métropole plusieurs années, mais qui a finalement abouti / l’installation du site d’expérimentation Urbanloop sur la Plaine Flageul avec, en contrepartie, promesse de développement sur Tomblaine… promesse pour l’instant pas tenue par mal Métropole / l’avion 100% électrique de l’aéro-club pour lequel une petite subvention avait été sollicitée auprès de la Métropole… la Métropole n’a jamais suivi / le champ solaire de 12 Ha que la CCI veut développer à proximité du site et qui serait entretenu par éco-pâturage… Projet empêché par la Métropole depuis plusieurs année.
Ça fait beaucoup pour un même site, non ???
 
En attendant que la Préfète de Meurthe et Moselle entérine la démission du Conseil Municipal de Tomblaine, ce qui n’empêchera pas d’intensifier la lutte contre sa décision incroyable de vouloir stocker des migrants dans des conteneurs, au plus mauvais endroit qui soit… Vos élus continuent à travailler pour les habitants et pour l’avenir de Tomblaine…
Ainsi :
– mardi 14 mai a eu lieu une rencontre avec les chefs d’entreprises et les commerçants de Tomblaine pour construire des partenariats et des synergies sur le territoire.
– Du 18 au 25 mai, Tomblaine a accueilli le 33ème festival de Théâtre « Aux Actes Citoyens », la manifestation théâtrale la plus populaire de toute la Région Grand Est.
– Mercredi 29 mai a eu lieu la soirée « Tomblaine au coeur de l’année olympique » qui a valorisé les politiques locales en matière de sport et en direction de la jeunesse.
– Samedi 1er juin aura lieu Place Michel Colucci, au coeur de la ZAC, le salon de l’accès au logement à Tomblaine, qui réunira tous les acteurs du logement locatif social et de l’accession sociale au logement.
Tomblaine, malgré les difficultés se construit et prépare l’avenir. Si vous venez au salon de l’accès au logement, samedi 1er juin, vous découvrirez les premiers commerçants installés sur la Place Michel Colucci…
 
 
 
 
 
Samedi 1er juin de 10h à 18h, Place Michel Colucci (dans la ZAC du Bois la Dame)
 
 
 
Magnifique soirée à l’Espace Jean Jaurès, qui avait pour but de valoriser les actions municipales autour du sport, dans le contexte de l’année olympique, avec en particulier la mise à l’honneur d’un grand champion : Benoit Brunet. Benoit Brunet habite Tomblaine, il pratique l’aviron, élu « rameur de l’année » en 2023, plusieurs fois champion de France, il a participé de nombreuses fois aux championnats d’Europe (3ème en 2024) ou coupe du Monde (5ème dimanche dernier), il est sélectionné en équipe de France pour participer aux JO de Paris 2024 !
Benoit Brunet avait accompagné les enfants du Centre de Loisirs de Tomblaine le matin même au Pôle France d’aviron pour des séances d’entrainement sur un « tank à ramer », puis il avait passé une partie de la journée au CLSH.
Tomblaine, ville sportive, recense 20 associations sportives locales et 2186 licenciés (pour 9300 habitants…), sans compter le sport scolaire ! Car il faut savoir qu’à Tomblaine tous les enfants de toutes les écoles pratiquent la gymnastique pendant toute leur scolarité, grâce à un moniteur municipal mis à disposition, tous les enfants des écoles élémentaires apprennent à nager grâce au dispositif de la Métropole, tous les enfants de CM1 bénéficient d’un cycle d’initiation au canoë kayak, tous les enfants de CM2 vont en classes de neige un peu moins de trois semaines à La Clusaz… Les grandes infrastructures sportives de Meurthe et Moselle sont concentrées sur Tomblaine : stade Marcel Picot pour le football professionnel, stade Raymond Petit (plus grand stade d’athlétisme du département), Maison Régionale des Sports (où les Ligues sportives de la Région Grand Est ont leurs sièges), mais aussi la piscine du Lido, la Plage des deux Rives, sans oublier l’Espace Jean Jaurès, ses salles sportives et les associations qui y brillent (Rondade salto et ses nombreux champions de gymnastique, le taekwondo, le judo…) Et n’oublions pas qu’un « l’espace sportif séniors » sera inauguré pour les personnes âgées dans le Parc Juliette Drouet le 6 juin prochain !
La soirée a mobilisé des dizaines de jeunes tomblainois engagés dans l’aventure olympique d’une façon ou d’une autre, et ce sont les élus du Conseil Municipal qui leur distribuaient chaque fois une récompense.
Toute la soirée Benoit Brunet s’est gentiment prêté au jeu de la photo-souvenir avec tous les invités mis à l’honneur. Six enfants du Centre de Loisirs et six autres du Conseil Municipal d’enfants lui avaient préparé une interview très pertinente et en direct.
Trois entreprises se sont engagées auprès de Benoit Brunet pour le soutenir, en particulier sur la partie préparation physique et santé, elles ont été également mises à l’honneur, il s’agit de la Clinique Louis Pasteur Santé, qui était représentée par Christophe Baillet, la société We Up, représentée par Cyril Van Damme et HF Immobilier représentée par Léa Didier.
Puis deux porteurs officiels de la Flamme Olympique ont été mis à l’honneur, en présence de Luc Marchal directeur du CREPS, Jean-François Pénin, directeur adjoint du CREPS et Philippe Luscan, adjoint du directeur d’Académie : Rosa De Montis (Auchan Tomblaine) qui la portera samedi 29 juin à Bar-le-Duc et David Albert, qui habite Tomblaine, directeur de l’école élémentaire Jules Ferry, qui la portera vendredi 28 Juin à Langres.
Il y a deux ans, la Ville de Tomblaine signait une convention avec la Protection civile 54, c’était une première en France. Par cette convention la ville de Tomblaine a financé la formation de 17 jeunes tomblainois qui ont obtenu le PSE1 et le PSE2 (le PSE2 correspond au niveau de secourisme requis chez les sapeurs-pompiers). Grâce à cette formation certains de ces jeunes ont pu intégrer les équipes de la Protection civile pour un engagement bénévole, ou encore être salariés par la ville de Tomblaine sur des opérations telles que la Plage des deux Rives.
En présence de monsieur Didier Nicolas, président de la Protection Civile 54, six de ces jeunes ont été présentés lors de cette soirée, car ils vont participer aux JO de Paris !!! Salariés par la Ville de Tomblaine, mis à disposition de la Protection Civile, logés et nourris par l’organisation des JO. Une formidable aventure qui les verra intervenir sur les sites olympiques ou encore sur des mises à disposition du SAMU en extérieur…
Ensuite deux clubs sportifs tomblainois ont été mis à l’honneur. Le basket féminin, dont on sait que l’équipe 1 est la meilleure équipe féminine de basket de Lorraine, championne de sa poule en Nationale 3, elle accède cette année en Nationale 2 ! Mais c’était l’équipe féminine 3 qui était félicitée lors de cette soirée pour son parcours exceptionnel. Elle évolue au niveau interdépartemental – pré-régional féminine sénior, dans la poule Excellence, dans laquelle elle finit première avec 10 matchs joués et 10 matchs gagnés ! Invaincue en championnat, elle s’est qualifiée pour la finale de la Coupe de Meurthe et Moselle qui aura lieu le 2 juin à Frouard ! A noter que la présidente du club Nazha Ajeddig (dont c’était l’anniversaire hier) joue dans cette équipe et que c’est sa propre fille Salma (qui joue, elle en Pré-national) qui est la coach de l’équipe !
Et puis, les séniors 1 du GSAT, club de football, dont le président est Philippe Kadem. L’an dernier, en D3, ils avaient gagné 20 matches sur 20, marqué 128 buts, en en encaissant 17… Ils s’étaient hissés en D2. Cette année, ils terminent premier de D2, avec 15 points d’avance sur le deuxième et montent donc en D1, avec en point de mire le niveau régional… Ils sont qualifiés pour la finale de la Coupe de District qui aura lieu le 9 juin ! Ils visent donc, eux aussi le doublé coupe-championnat ! Bravo au coach Feyzoullah Simsek ! Il faut remarquer aussi les résultats remarquables des autres équipes du club et le fait que le GSAT a multiplié par deux en un an son nombre d’adhérents !
En fin de soirée le projet municipal de création d’une école de danse urbaine en coeur de QPV, dans la dynamique des JO 2024, a été dévoilé et K&Move a conclu par une démonstration spectaculaire, avant de partager le verre de l’amitié.
 
 
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