Hervé Féron

Agir pour vous et avec vous

Jour : 29 juin 2024

29 juin 2024 /
 
Hier, vendredi 28 juin, le tomblainois David Albert, directeur de l’école élémentaire Jules Ferry, a porté à Langres en Haute-Marne, la Flamme Olympique !
Aujourd’hui, c’était au tour de Rosa Demontis, qui travaille à Auchan Tomblaine, de porter la Flamme Olympique, à Bar-le-Duc, nous sommes fièrs de Rosa et heureux pour elle, qu’elle ait pu vivre cette aventure exceptionnelle !
 
29 juin 2024 /
 
En novembre 2014, Hugo F chantait pour la première fois sur scène, cette chanson « Le dernier qui sortira », c’était à Paris, sur la scène du Bataclan…
Ecoutez les paroles et pensez-y avant que d’aller voter.
 
29 juin 2024 /
 
Les fêtes des écoles se succèdent, les galas des associations tomblainoises aussi, le soleil est de retour, on se rend compte de tout ce qui est offert à chaque enfant, dans le cadre de l’école publique, du service public ou bien par les associations partenaires de la municipalité.
Un proverbe africain dit « il faut tout un village pour éduquer un enfant » et c’est une réalité, lorsque dans une fête d’école, on voit que les enseignants, comme les parents sont les acteurs d’une belle fête… juste pour le bonheur des enfants. C’est aussi particulièrement important pour le lien social au niveau d’un quartier, beaucoup de gens se rencontrent et apprennent à se connaitre, en accompagnant leur enfant à l’école…
Vendredi, avec Christiane Defaux, adjointe au maire déléguée à l’enfance et à l’accès au savoir, nous avons rendu visite à l’école primaire Job Durupt, où la fête était magnifique et participative. Et puis, nous sommes allés à l’école élémentaire Elisabeth et Robert Badinter, où là aussi la fête battait son plein.
Nous n’avons pas de photos de l’école Badinter, mais c’est tout de même un vrai plaisir de voir comment cette école au coeur du Quartier Politique de la Ville a évolué. Il y a une vingtaine d’année, cette école était obsolète. Avant l’arrivée de madame Brouillet, dans ce quartier difficile, la direction de l’école était restée vacante pendant deux ans ! On ne trouvait plus de parents pour siéger au Conseil d’école, il n’y avait plus de kermesse et plus véritablement de vie scolaire… Madame Brouillet directrice, avec une équipe d’enseignants volontaristes et courageux, ont reconstruit la relation avec les parents et les élèves, pendant que nous reconstruisions une école neuve. Cette équipe d’enseignants a fait un travail remarquable, il faut que cela se sache et le résultat est aujourd’hui largement perceptible, ne serait-ce qu’à travers cette très belle fête où les enfants et les parents étaient nombreux, les parents participaient activement auprès des enseignants. Plus qu’une fête d’école, c’était une fête de quartier, joyeuse et sereine…
C’est énorme de constater comment l’école peut fédérer tout un quartier, comment elle peut être au centre de l’organisation de la vie des gens, une référence, un repère. Par les temps qui courent, il est même plutôt réjouissant de constater que l’école reste le socle des valeurs républicaines.
Enfin, ce vendredi, avec les élus Sylvie Kurt, Ralph Lallemand et Philippe Luce, nous avons terminé rue Rouget de Lisle par un repas des voisins (un des plus anciens qui existe sur Tomblaine) toujours très sympa, c’est chaque fois l’occasion de se rencontrer et de mieux se connaitre.
 
29 juin 2024 /

Voilà l’été, s’il vous plait ne nous pourrissez pas la vie.

Je ne suis candidat à rien et je suis d’autant plus à l’aise à vous adresser cet SOS !

Voici le temps des vacances, voici enfin le soleil, après 8 mois ininterrompus de pluie. A Nancy-Tomblaine : la Plage des deux Rives, les vacances et la quiétude à la portée de tous.

Mais aussi, la passion à la portée de tous, cet été : le Tour de France cycliste, le Championnat d’Europe de football, le festival d’Avignon, les Jeux Olympiques de Paris, les Jeux Paralympiques, un petit apéro entre amis, la France en sérénité… et juste après le Livre sur la Place à Nancy, le festival Nancy Jazz Pulsations… Tout ce qui fait la vie ensemble la Culture, le sport, l’intelligence cultivée, la fête …

S’il vous plait, faites que cela continue à être possible, s’il vous plait ne gâchez pas toutes ces années de travail et de militantisme au service de tous. Bénévoles, mouvement associatif, professionnels de la Culture et du Sport, élus locaux au service de la vie ensemble, de la solidarité, de l’Humanisme, de l’acceptation de l’autre, de la fête au milieu de la grisaille…

S’il vous plait ne votez ni pour Macron, ni pour le Rassemblement National, ne leur donnez par le pouvoir de tout détruire immédiatement, j’aime la France, j’aime son art de vivre, j’aime que l’on soit tous aussi différents. Se réveiller le lendemain peut être terrible.

Je pense que tout le monde doit avoir sa place, quelles que soit nos différences. Les ennemis de la République ne sont pas à identifier en fonction de leurs origines ou de leur couleur de peau, ce sont au contraire les nantis bien installés qui jouent en bourse et bénéficient d’avantages fiscaux considérables. Ils concentrent à quelques uns une grande partie des richesses de notre pays quand les autres travaillent dur. . Un vrai programme progressiste devra protéger les plus fragiles, mais aussi les classes moyennes qui aujourd’hui sont pauvres et doivent être aidées, mais aussi les petites et moyennes entreprises, premiers créateurs d’emplois, qui crèvent sous le poids des taxes d’Etat.

Pourquoi, lors de cette campagne, personne n’évoque l’augmentation du prix du gaz de 12% dès le 1er juillet ???

La France ne pourra pas se contenter d’une alliance de dernière minute de la gauche, juste pour s’opposer au Rassemblement National et pour retrouver ensuite ses vieux démons opportunistes…

La France a besoin de sincérité, d’élus responsables, en capacité de se réunir derrière un projet d’intérêt général, distants des dogmes stupides, des bobos de la politique, de tout ce qui saoule définitivement le peuple et qui le conduit à une dérive abandonnique qui confine au vote d’extrême droite.

Se réveiller le lendemain peut être terrible.
Hervé Féron.
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