Agir pour vous et avec vous

Jour : 9 février 2025

Mardi dernier a eu lieu à l’Espace Jean Jaurès, la première séance du Repair Café, elle a connu une belle réussite, dès le premier jour. Désormais tous les mardis de 17 à 19h, le Repair Café sera installé à votre disposition dans l’entrée de l’Espace Jean Jaurès, sachez-le.

Comment ça marche ?

Plusieurs bénévoles, bricoleurs émérites se sont associés autour de Robert Breton, si vous avez un appareil défectueux, plutôt que de le jeter et d’en acheter un neuf, tentez la réparation et luttez ainsi contre la société de consommation dans une démarche éco-responsable.

Au Repair Café, on vous réparera votre appareil et la main d’oeuvre sera gratuite, mieux que ça, on vous proposera de le réparer ensemble pour qu’une autre fois vous sachiez peut-être le faire vous-même ? Et si vous n’y arrivez pas, le service sera toujours là, possible chaque semaine.

Il faut dire un grand merci à Robert Breton et aux bénévoles qui ont eu du succès et donc du boulot dès la première séance, le tout dans une ambiance très sympa, on peut même boire un p’tit café … Et puis, en parallèle, un atelier vélo fonctionne. Selon la même méthode, on peut vous réparer votre vélo, mais surtout on peut vous montrer comment le réparer vous-même …

L’équipe de bénévole lance un appel à participation : il leur manque juste une personne plutôt spécialiste des réparations pour la partie électronique…


Samedi 8 février, avec Sylvie Kurt, adjointe au Maire déléguée à la Culture, en présence d’un public conquis, nous avons accueilli dans le hall de l’Hôtel de Ville l’artiste Mirella Pasqualin. Mirella est bien connue des tomblainois, puisqu’elle a plusieurs fois exposé au Salon l’Automne des Arts, mais cette fois-ci c’est uniquement à ses oeuvres que l’exposition est consacrée …
Mirella a toujours été intéressée par la peinture, mais aussi par la danse, elle pratique les deux disciplines, mais c’est après sa retraite de l’Education Nationale qu’elle donne plus de temps à ses deux passions, elle prend des cours du soir aux Beaux Arts et également à l’UCP, l’Université de la Culture Permanente, en privilégiant l’aquarelle. Puis, elle rencontre l’artiste peintre Bernadette Lentgen qui lui fait découvrir l’acrylique. S

es deux passions l’ont amenée à une évidence : peindre la danse. L’exposition agrémente l’accueil de la mairie, elle est visible jusqu’au 1er mars, dites-le, faites-le détour … Et, une semaine après avoir inauguré l’école de danse urbaine Joséphine Baker à Tomblaine, en présence de Brian Bouillon Baker, le fils de Joséphine Baker, nous avons découvert que parmi les toiles exposées de Mirella Pasqualin, on trouve … Joséphine Baker … Il n’y a pas de hasard, il n’y a que de belles rencontres !

Elle sont incroyables ! Après leur formidable parcours en Coupe d’Europe qui les a menées jusqu’en huitièmes de finale (!), après avoir battu en décembre le record de France du public le plus nombreux pour un match de volleyball (masculin ou féminin),  les volleyeuses du VNVB continuent leur épopée en championnat de France, elles viennent de battre le leader (qu’elles rejoignent du coup au classement) Nantes, 3 sets à 0 !!!

Ces jeunes femmes, leur entraineur André Sa, l’ensemble du club portés par un public formidable et encore une fois nombreux ce samedi, sont une véritable vitrine en terme d’attractivité et de communication, pour la Métropole du Grand Nancy.

Malheureusement, on peut légitimement se demander si la Métropole, qui a si souvent communiqué sur le thème « on veut soutenir le sport féminin », n’a pas depuis un certain temps lâché ce club …

Les instances du volleyball ont prononcé des sanctions financières très lourdes (du jamais vu à ce point) contre le VNVB (amende de 10 000€, impossibilité de participer aux play-offs, rétrogradation en fin de saison !), le tout sous prétexte que le club avait rendu ses comptes en retard et connait des difficultés financières (qu’il redresse progressivement pourtant).

 Le comble, c’est que pour un club qui n’a que de petits moyens par rapport aux autres, mais qui est un des plus performants en France, on le sanctionne financièrement (la double peine) et sportivement (la triple peine). On peut aussi se demander si les instances nationales du volleyball ne sont pas un peu suicidaires ? Elles risquent de mettre à terre un des plus beau fleuron de leur sport.

Quant à la Métropole, j’avais proposé une analyse et des solutions, qui n’ont connu aucune considération et aucune réponse, c’est une méthode du mépris instituée. Je sais que je dérange, parce que j’ai raison. J’observe pourtant de grandes dépenses dans des domaines où l’efficience, la pertinence, le pragmatisme, les résultats ne sont pas démontrés. La Métropole a choisi de ne pas apporter l’aide au VNVB qui lui aurait été nécessaire, elle n’a pas été au rendez-vous. C’est grave, elle se trompe une fois de plus.

Mais peut-être n’est-il pas trop tard pour réagir, sortir de sa posture et mériter aussi les applaudissements du public ?