Hervé FERON

Notre circonscription

Hervé Féron à la cérémonie du 11 novembre à Vandoeuvre

Hervé Féron, comme chaque année, était présent à la cérémonie du 11 novembre en présence du Maire de la ville allemande jumelée avec Vandoeuvre, Lemgo, et de nombreuses personnalités. Stéphane Hablot, Maire de Vandoeuvre, Vice-Président du Conseil Départemental et Vice-Président de la Métropole du Grand Nancy, a salué lors de son allocution "son ami Hervé Féron, Député de Vandoeuvre".

Chaque année, les participants sont nombreux à Vandoeuvre et la commémoration est très bien organisée, sous la responsabilité de Jean-Paul Bernard, Adjoint au Maire et avec la participation de nombreux jeunes, les élèves de l'école Brossolette, les scouts, les jeunes pompiers volontaires, les anciens combattants, porte-drapeaux et les représentants des autorités militaires. Belle manifestation !

Ensuite, Hervé Féron a participé à la commémoration à Tomblaine, suivie d'une prise de paroles à l'Espace Jean Jaurès pendant laquelle il a rappelé que le chanteur Léonard Cohen est parti rejoindre Marianne Ihlen, sa compagne. Lui qui avait interprété le Chant des Partisans en français, qui se terminait ainsi :

"Le vent souffle sur les tombes,

La Liberté reviendra,

On nous oubliera,

Nous rentrerons dans l'ombre"

Puis c'est à la salle des fêtes de Tomblaine que le Député-Maire s'est adressé aux sections fusionnées de Malzéville et Tomblaine de la Fédération des Combattants Républicains.

Enfin, à 17h30, Hervé Féron a participé à la cérémonie de commémoration au Mémorial Désilles à Nancy, toujours de haute tenue, présidée par Monsieur le Préfet de Meurthe-et-Moselle.

 

 

Hervé Féron interpelle à nouveau le Ministre par Question Écrite sur la situation des salariés de la Société Générale qui licencie alors qu’elle bénéficie du CICE

M. Hervé Féron alerte M. le Ministre de l’Economie et des Finances sur la situation des salariés de la Société Générale. En 2015, la Société Générale a fait 4 milliards de bénéfices et reversé 1 612 milliard de dividendes à ses actionnaires, les 10 plus hautes rémunérations ayant doublé en un an, jusqu’à frôler les 40 millions d'euros. Elle a bénéficié du Crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE) à hauteur de 38 millions d'euros cette même année, ce qui ne l’a pas empêchée de prévoir la suppression de 2550 suppression d'emplois d'ici à 2020, dont plus d’une centaine de postes à Nancy. Quand on sait que chaque actionnaire de la Société Générale a touché en moyenne 60 000€ en 2015 et que cela suffirait à créer un emploi supplémentaire payé 3000 euros nets par mois, on ne peut pas ne pas y voir une logique court-termiste à l’extrême sinon une mauvaise foi évidente de la part de l’institution. Hervé Féron, qui avait déjà alerté le Gouvernement sur ce sujet dans une question écrite n° 94868 en avril 2016, juge le comportement de la banque inacceptable et intolérable et il n’est pas davantage convaincu par la réponse évasive et faisant totalement l’impasse sur la problématique du CICE des services du Ministère. Il estime en effet qu’un enjeu d’une telle ampleur mériterait une réponse plus circonstanciée et volontariste de leur part. Plus largement, on constate actuellement une véritable perte de sens dans les sociétés financières comme c’est le cas dans les anciens services publics ou encore les hôpitaux. Intensification du travail, urgence, autonomie... Les risques psychosociaux sont élevés à la Société Générale, avec 20% de personnes qui se disent stressées, dont 10% en hyper-stress. Le coût annuel du stress au travail se chiffrerait en plusieurs milliards d'euros à la Sécurité sociale. A la lumière de ces éléments, M. Hervé Féron interpelle une nouvelle fois M. le Ministre sur la nécessité de renforcer le contrôle de l’utilisation du CICE avec de véritables contreparties en termes d’embauches, ce qui n’est certainement pas le cas de la Société Générale qui ne devrait donc plus bénéficier du CICE. Il estime aussi important que ce genre d’institutions valorisent davantage le bien-être au travail en mettant l’accent sur la prévention au-delà de la dimension curative dont on sait depuis bien longtemps qu’elle ne suffit pas.

101 députés et sénateurs demandent un référendum sur l’abolition des armes nucléaires, Hervé FERON signataire.

L’Assemblée générale de l’ONU pourrait convoquer en 2017 une conférence internationale sur l’interdiction et l’élimination des armes nucléaires. La France s’y oppose et modernise son arsenal. À rebours, une centaine de parlementaires lancent un appel pour un référendum sur le désarmement nucléaire.

Au 27 octobre, 101 ont signé cet appel, dont 82 député(e)s, 10 sénatrices et 9 sénateurs. La liste complète suit la tribune. Cet appel intervient alors qu’à New York, la Commission du désarmement des Nations unies examine une proposition qui devrait être soumise dans un mois à l’Assemblée générale de l’ONU : une conférence internationale visant à établir un traité d’interdiction et d’élimination des armes nucléaires.


L’humanité, aujourd’hui menacée dans sa dignité et son existence, doit disposer d’un droit fondamental : le droit à la survie, avec pour corollaire le droit des peuples à disposer de leur survie.

Ce droit implique l’abolition des armes nucléaires, armes de destruction massive, de massacre, de crime contre l’humanité. Totalement inopérantes pour juguler le terrorisme, elles lui empruntent le même mépris pour la vie humaine en le multipliant. Elles menacent d’anéantir des millions de personnes, des populations entières, et l’humanité elle-même, car une guerre nucléaire rendrait la terre invivable.

Un tel pouvoir d’anéantissement est concentré entre les mains d’une dizaine de chefs d’État qui peuvent décider d’en user à tout moment, sans procès ni appel, et exécuter eux-mêmes leur sentence dans le quart d’heure qui suit leur décision. Jamais les peuples des États dotés d’armes nucléaires n’ont été consultés, pas plus que ceux des États non dotés, alors qu’ils sont tenus de les financer et qu’elles mettent en jeu leur propre survie aussi bien que celle des autres peuples !

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Le sous-marin français « Le Terrible ». Lancé en 2008, il appartient à la dernière génération de sous-marins français et participe au dispositif de la dissuassion nucléaire permanente.

La France, pour sa part, dispose de ces armes depuis 1960. Elle leur a consacré plus de 300 milliards d’euros et elle ne cesse de les développer. Ses 300 bombes pourraient faire près d’un milliard de morts.

Cette situation bafoue les droits de l’homme, car une seule bombe atomique, ce sont « des centaines de milliers de morts, des femmes, des enfants, des vieillards carbonisés en un millième de seconde, et des centaines de milliers d’autres mourant au cours des années suivantes dans des souffrances atroces : n’est-ce pas un crime contre l’humanité ? » (Alain Peyrefitte à Charles de Gaulle, le 4 mai 1962).

Le peuple français peut ouvrir la voie à un monde sans armes nucléaires 

Elle est contraire au droit international, qui fait obligation aux États nucléaires ayant ratifié, comme la France, le traité de non-prolifération (TNP), « de poursuivre de bonne foi et de mener à terme des négociations conduisant au désarmement nucléaire dans tous ses aspects, sous un contrôle international strict et efficace » (Cour internationale de justice, avis consultatif du 8 juillet 1996).

Contraire à la Constitution française, qui place les droits de l’homme au-dessus de tout et impose leur respect, ainsi que le respect des traités.

Contraire au bon sens, car il est illogique de défendre les valeurs républicaines, dont la fraternité, en menaçant de commettre des crimes contre l’humanité ; illogique de lier les « intérêts vitaux » de la France à l’emploi d’armes fatalement suicidaires contre un pays qui en aurait aussi ; illogique de prétendre garantir sa sécurité par ces armes, tout en les interdisant aux autres ; illogique d’encourager ainsi leur prolifération, tout en prétendant la combattre ; illogique de vouloir faire des économies et de gaspiller des milliards dans des engins de mort inutilisables contre d’autres États nucléaires, incapables de dissuader des terroristes, et redoutables entre leurs mains, s’ils parviennent à s’en procurer.

Contraire à la démocratie, enfin, car le peuple français n’a jamais été consulté et l’on sait par un récent sondage que trois Français sur quatre répondraient oui à la question :

Voulez-vous que la France négocie et ratifie avec l’ensemble des États concernés un traité d’interdiction et d’élimination complète des armes nucléaires, sous un contrôle mutuel et international strict et efficace ? »

Trois Français sur quatre, également, veulent être consultés par référendum sur cette question et sont prêts à soutenir une proposition de loi d’origine parlementaire qui l’organiserait.

Ainsi, le peuple français peut ouvrir la voie à un monde sans armes nucléaires. Nous appelons les membres du Parlement à lui en offrir l’occasion, et l’ensemble des électeurs français à apporter en temps voulu, par voie électronique, leur soutien à cette initiative.

Nous délivrer de l’épée de Damoclès atomique, ce sera renforcer à la fois notre sécurité et notre liberté, dans le plein respect des droits de l’homme et de la devise républicaine : liberté, égalité, fraternité.


LES 98 PARLEMENTAIRES SIGNATAIRES DE CET APPEL AU 26 OCTOBRE

Hervé FERON (54), Laurence ABEILLE (94), Patrick ABATE (S.57)*, Brigitte ALLAIN (24), Sylviane ALAUX (64), Pouria AMIRSHAHI (HhdF9°C)**, Isabelle ATTARD (14), Danielle AUROI (63), Pierre AYLAGAS (65), Serge BARDY (49), Huguette BELLO (974), Esther BENBASSA (S.94), Michel BILLOUT (S.77), Marie-Christine BLANDIN (S.59), Michèle BONNETON (38), Corinne BOUCHOUX (S.49), Christophe BOUILLON (76), Kheïra BOUZIANE-LAROUSSI (21), Jean-Pierre BOSINO (S.60), Sylviane BULTEAU (85), Sabine BUIS (07), Jean-Jacques CANDELIER (59), Fanélie CARREY-CONTE (75), Patrice CARVALHO (60), Nathalie CHABANNE (64), Gaby CHARROUX (13), André CHASSAIGNE (63), Jean-Michel CLEMENT (86), Laurence COHEN (S.94), Sergio CORONADO (HhdF3°C)**, Jean-Jacques COTTEL (62), Pascale CROZON (69), Cécile CUKIERMAN (S.42), Yves DANIEL (44), Marc DOLEZ (59), Ronan DANTEC (S.44), Annie DAVID (S.38), Florence DELAUNAY (40), Michelle DEMESSINE (S.59), Jean DESESSARD (S.75), Evelyne DIDIER (S.54), Fanny DOMBRE COSTE (34), Françoise DUBOIS (72 ), Cécile DUFLOT (75), William DUMAS (30), Jean-Louis DUMONT (55), Marie-Hélène FABRE (11), Martine FAURE (33), Thierry FOUCAUD (S.76), Hugues FOURAGE (85), Jacqueline FRAYSSE (92), Geneviève GAILLARD (79), André GATTOLIN (S.92), Renaud GAUQUELIN (69), Jean-Patrick GILLE (37), Joël GIRAUD (05), Brigitte GONTHIER-MAURIN (S.92), Linda GOURJADE (81), Jean GRELLIER (79), Edith GUEUGNEAU (71), Chantal GUITTET (29), Chaynesse KHIROUNI (54), Jacques KRABAL (02), Bernadette LACLAIS (73), Conchita LACUEY (33), François-Michel LAMBERT (13), Jérôme LAMBERT (16), Pierre LAURENT (S.75), Anne-Yvonne LE DAIN (34), Annick LE LOCH (29), Marie-Thérèse LE ROY (29), Michel LE SCOUARNEC (S.56), Bernard LESTERLIN (03), Serge LETCHIMY (972), Noël MAMERE (33), Jacqueline MAQUET (62), Marie-Lou MARCEL (12), Jean-René MARSAC (35), Véronique MASSONNEAU (86), Kléber MESQUIDA (34), Paul MOLAC (56), Philippe NOGUES (56), Dominique ORLIAC (46), Hervé PELLOIS (56), Philippe PLISSON (33), Elisabeth POCHON (93), Christophe PREMAT (FhdF2°C)**, Christine PRUNAUD (S.22), Catherine QUERE (17), Marie-Line REYNAUD (16), Marcel ROGEMONT (35), Barbara ROMAGNAN (25), Jean-Louis ROUMEGAS (34), Maina SAGE (987), Nicolas SANSU (18), Eva SAS (91), Gabriel SERVILLE (973), Jonas TAHUAITAI (987), Suzanne TALLARD (17), Catherine TROALLIC (76), Cécile UNTERMAIER (71).

* S = sénateur ou sénatrice
** FhdF = Français établis hors de France


LE RÉFÉRENDUM D’INITIATIVE PARTAGÉE ET LE TRAITÉ D’INTERDICTION DES ARMES NUCLÉAIRES

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Le vote du groupe de travail de l’ONU sur le désarmement nucléaire, le 19 août, à Genève, en faveur de l’organisation d’une conférence internationale sur l’interdiction et l’élimination des armes nucléaires en 2017.

La réforme constitutionnelle de 2008 a ouvert la possibilité d’organiser un référendum à l’initiative d’un cinquième des membres du Parlement si cette initiative, une fois validée par le Conseil constitutionnel, reçoit le soutien d’un dixième des électeurs inscrits. Le recueil des soutiens citoyens s’effectue par voie électronique sur le site du ministère de l’Intérieur, chaque électeur pouvant l’apporter directement en fournissant quelques éléments d’identification simples et vérifiables, ou bien par l’intermédiaire de fonctionnaires de mairie spécialement habilités. Le recueil débute lorsque la proposition de loi est publiée au Journal officiel et peut durer 9 mois.

Une conférence internationale chargée d’élaborer un traité d’interdiction 

Toutefois, ce recueil ne peut avoir lieu pendant les 6 mois précédant des élections générales, telles que la présidentielle et les législatives de 2017. Il pourrait débuter le 1er août 2017 si la proposition de loi référendaire reçoit les signatures de 185 députés et sénateurs sur 925 avant la fin de l’actuelle législature. Les électeurs désirant la soutenir doivent donc inviter dès maintenant les députés et sénateurs à la signer au plus vite. Le Parlement renouvelé en juin 2017 devra l’examiner quand la seconde condition aura été remplie. S’il ne le fait pas dans les 6 mois, le président de la République sera tenu d’organiser le référendum.

La présente initiative, due à l’Action des citoyens pour le désarmement nucléaire, est portée par le groupe des parlementaires pour l’abolition des armes nucléaires. Elle s’inscrit dans le mouvement mondial, civil et gouvernemental, d’abolition des armes nucléaires, qui est sur le point d’obtenir la convocation par l’Assemblée générale de l’ONU, en 2017, d’une conférence internationale chargée d’élaborer un traité d’interdiction des armes nucléaires. La France a déjà fait savoir qu’elle ne voulait pas y participer et qu’elle continuerait à moderniser ses armes nucléaires, bien qu’elle se soit engagée, en ratifiant le traité de non-prolifération (TNP) en 1992, à négocier leur élimination. D’où la nécessité du référendum.

Ségolène Royal visite l’Entreprise Schweitzer à Ludres

Aujourd’hui, Hervé Féron avait convié Madame la Ministre de l’Environnement, de l’Energie et de la Mer à participer à l’inauguration des nouvelles machines de l’Entreprise Schweitzer, permettant la production de sacs en plastique à base de fécule de pommes de terre.

 

Vous trouverez, ci-dessous, le discours qu’Hervé Féron a prononcé à l’issue de cette visite qui marquait l’aboutissement de cette véritable avancée pour l’emploi sur notre territoire mais aussi pour l’écologie et la sauvegarde de la planète.

 

 

 

Discours d’Hervé Féron :

Madame la Ministre de l’Environnement, de l’Energie et de la Mer, Chère Ségolène, merci à toi d’avoir répondu à notre invitation

Mesdames Messieurs les élus, Monsieur le Président Directeur Général du groupe Sphère, Monsieur le Directeur de l’entreprise Schweitzer, Mesdames Messieurs, en vos grades et qualités,

Quelques mots pour vous dire que je suis ravi que nous nous retrouvions aujourd’hui pour ce qui est réellement un moment de fête, un aboutissement. Je rencontre régulièrement des chefs d’entreprises pour m’informer, mieux connaitre leur activité et pour ensuite, dans mon rôle de député, prendre en compte les difficultés qu’ils rencontrent. Lorsque que j’ai rencontré, en 2015, Monsieur Lebon, j’ai découvert un directeur passionné par son entreprise, il en connait les moindre recoins, tous les postes, on a là toute la pertinence d’une entreprise qui a le savoir-faire de l’artisanat renforcé par le fait qu’elle appartient à un grand groupe français, le groupe Sphère. Le groupe Sphère apporte à l’Entreprise Schweitzer toute sa part dans une stratégie nationale et internationale, une vraie solidarité dans l’équilibre des marchés et, nous en reparlerons : la recherche et l’innovation. Une Entreprise comme Schweitzer est une chance pour un territoire comme le nôtre.

Je vous ai interpellée Madame la Ministre parce que le sujet était celui-là : l’Entreprise Schweitzer qui fabrique des sacs plastiques était déjà tournée vers le Développement Durable parce qu’une partie de son activité consistait à recycler du plastique. Mais, pour l’essentiel elle travaillait avec des résidus de pétrole. Le groupe Sphère était prêt à investir beaucoup d’argent dans l’achat de machines permettant de fabriquer du plastique à partir de fécule de pommes de terre, mais pour cela, il fallait que le décret interdisant l’usage des sacs en matières plastiques à usage unique soit signé au plus tard pour le 31 mars 2016 pour une mise en application au 1er janvier 2017. Ce décret avait été repoussé à plusieurs reprises et il n’était pas question pour le groupe d’investir autant d’argent sans avoir l’assurance que le marché allait s’ouvrir par le fait de cette obligation. Alors pourquoi le 31 mars ? Parce qu’il fallait bien une dizaine de mois pour commander ces machines, pour les installer, pour apprendre à les faire fonctionner et mettre en route tout le dispositif pour être prêt avant le 1er janvier 2017.

J’ai attiré votre attention Madame la Ministre sur l’importance de ce dossier et sur son urgence. Malheureusement, en France, lorsque certains lobbys font pression pour que la loi n’évolue pas, trop souvent on prend prétexte d’une incompatibilité avec les règle européennes. Mais c’était sans compter sur votre détermination, je me souviens que vous m’avez répondu immédiatement, par écrit puis oralement, que vous étiez convaincue de l’importance de signer ce décret pour le 31 mars, vous en avez pris l’engagement. Je veux dire ici, publiquement, qu’à plusieurs reprises lors de ce mandat je vous ai sollicitée personnellement sur des sujets différents et chaque fois vous avez été d’une efficacité impressionnante. Cette fois-ci encore votre détermination et votre sens de l’engagement ont fait que le 31 mars 2016 vous avez signé ce décret. C’est énorme pour préserver des emplois dans l’Entreprise Schweitzer, c’est énorme pour des milliers de créations d’emplois en France, dans l’industrie et dans l’agriculture et c’est énorme pour l’avenir de notre planète, par l’efficacité écologique qui en résultera.

Satisfait, je le suis parce que j’ai vraiment l’impression qu’il y a eu, dans l’intérêt général, un travail d’équipe avec Monsieur Lebon le Directeur, avec John Persenda, Président Directeur Général du groupe Sphère avec l’appui inconditionnel de Monsieur le Préfet de Meurthe-et-Moselle et avec votre réactivité et votre efficacité Madame la Ministre, nous avons réussi cela ensemble.

Quelques sujets demeurent, je veux vous les exposer en quelques mots. Bien évidemment on ne change pas tout par la loi, il faut continuer à éduquer les gens. Conscient de l’impact des plastiques en mer, catastrophique pour notre planète, Le groupe Sphère a mis au point, à partir de ses recherches, un film plastique qui est à la fois résistant à l’eau de pluie ET assimilé par les micros organismes des fleuves ou de mers ET sans danger pour les animaux aquatiques qui peuvent l’ingérer et l’assimiler sans problème, cela s’appelle le BLUE PLAST, il me semble que c’est l’avenir et qu’il faudra les soutenir. Ca n’est pas votre domaine de compétence madame la Ministre mais je veux revenir sur un sujet récurrent, chaque fois que je suis en contact avec un chef d’entreprise, j’entends dire qu’il ne trouve pas de personnels qualifiés à embaucher sur certains métiers dont il a pourtant grand besoin. L’Entreprise Schweitzer a besoin, régulièrement de mécaniciens, d‘électromécaniciens, d’exstrudeurs. Il persiste une inadéquation entre les formations proposées sur un territoire dans le cadre de l’Éducation Nationale et les besoins réels constatés par des entreprises sur ce même territoire. Dans ces domaines nous avons encore beaucoup à progresser. Surtout lorsque des entreprises savent se tourner vers des technologies d’avenir

Une journée avec Benoît Hamon sur la 2ème circonscription et à Tomblaine

Benoît Hamon a fait un véritable marathon hier, mercredi 26 octobre, avec Hervé Féron sur le Grand Nancy. Il a d’abord rencontré les syndicats de la Société Générale à la permanence du Député à Nancy. On se souvient qu’Hervé Féron avait été le premier à interpeller le Premier Ministre sur les grandes inquiétudes des personnels de la Société Générale dès le mois de février 2016. Benoît Hamon a donné des interviews à France Bleu, à l’Est républicain, à Hebdo 54. Il a participé au journal de France 3 Lorraine. Benoît Hamon a déjeuné à Nancy avec une dizaine d’élus socialistes puis il s’est rendu à Villers-lès-Nancy à la Maison de la Solidarité, épicerie solidaire qui avait été mise en place par le Maire PS, Pascal Jacquemin, et Elisabeth Picaud, la Présidente. Malheureusement, aujourd’hui, l’actuel maire veut déménager cette épicerie solidaire et les bénévoles sont en grand désaccord avec ce projet.

À 16h, Benoît Hamon a rencontré les associations et les fédérations d’Éducation Populaire à la maison du Charmois à Vandoeuvre.

Stéphane Hablot, Maire de Vandoeuvre, a accueilli les participants à cette réunion

Puis à 18h30, un moment très émouvant a réuni près de 200 personnes. En effet, le 26 octobre était le 100ème anniversaire de la naissance de François Mitterrand qui nous a quittés il y a 20 ans. C’est pourquoi, une vingtaine d’élus ont déposé 20 roses sous la plaque de la place François Mitterrand à Tomblaine. Il est vraiment regrettable que la presse n’ait pas annoncé cet évènement. Seul Hebdo 54 était présent et en informera ses lecteurs.

À Tomblaine, autour de Benoît Hamon, Julien Vaillant, Bertrand Masson, Hervé Féron, Olivier Jacquin, Mathieu Klein et Bertrand Kling.

Assemblée Générale du Comité de Villers-lès-Nancy FNACA

Une belle affluence comme chaque année pour cette assemblée générale sous la présidence de Bernard KLEIN.

En présence de Pierre Bauman conseiller départemental et de Jean-François Trassard conseiller municipal de Villers.
Cette assemblée générale a montré le grand sérieux et la qualité des travaux de cette association. Hervé FERON en tant que député est très présent lors de ces assemblées générales car il sait que ces associations d’anciens combattants jouent un rôle considérable pour le devoir de mémoire, ils ont également mission de resserrer le lien social et défendre les droits des retraités et pensionnés militaires. Il a été relevé comme chaque année les excellentes relations que la FNACA entretient avec le député. Chaque fois qu’il interpelle le Ministre, il adresse copie de ses courriers et des réponses aux Présidents des comités FNACA.

(Hervé FERON et le Président Bernard KLEIN)


Il faut dire que ce gouvernement a un beau bilan il a élargi l’accès à la carte du combattant pour que de nouveaux publics puissent bénéficier de la retraite du combattant, il a augmenté le budget social de l’ONAC de 31 pour cent depuis 2012 (de 25,4 millions d’euros en 2016 à 26,4 millions d’euros en 2017), c’est sous ce gouvernement que la date du 19 mars 1962 a été reconnue officiellement par la loi comme anniversaire de la fin de la Guerre d’Algérie (ce que Nicolas Sarkozy propose d’annuler) et sur le projet de loi de Finances 2017 il est prévu une revalorisation de la retraite du combattant de + 11 pour cent.

Le Maire de Jarville, Vice-Président de la Métro-pomme

Comme chaque année, dimanche 9 octobre, avait lieu la fête des pommes à Jarville et comme chaque année le Député de Jarville, Hervé Féron, y était présent. Contrairement aux autres années, les candidats de droite aux élections législatives étaient présents, campagne oblige. Et on retrouve les bonnes vieilles méthodes de droite, le Maire prend la parole, ne donne surtout pas la parole au Député mais il la donne au Président de la Métropole, André Rossinot, dont le leitmotiv actuel est de marteler « je n’ai plus de scrutin devant moi je suis étonnamment libre ». Personne n’est dupe de rien, la méthode reste la même : clanique.

À aucun moment, le Président de la Métropole ne citera le Député dans sa prise de parole. Par contre, il trouve le moyen de saluer le travail de V. Debord comme Vice-Présidente du Grand Nancy Métropole puis, sur un autre sujet, comme Vice-Présidente de la Grande Région, il a oublié de saluer son action comme Vice-Présidente du CCAS de la ville de Nancy, etc. …

Si ça ne s’appelle pas faire de la politique partisane, on n'y comprend rien. Nul doute qu’on va retrouver la même méthode à la saison des vœux au mois de janvier où tous les Maires de droite salueront la Vice-Présidente déléguée aux vices-présidences, donneront la parole au Président de la Métropole qui continuera à lui dérouler un tapis rouge et auront bien du mal à saluer la présence du Député. Le système reste honteux, c’est pour cela qu’il y a toujours jouissance à gagner les élections face à ces gens-là.

 

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Hervé Féron avec Najat Vallaud-Belkacem
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