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Hervé FERON refuse que ses concitoyens soient les cobayes de la firme Monsanto

Communiqué de presse


C’est avec une grande inquiétude que le Député Hervé FERON a pris connaissance de l’étude réalisée par des universitaires de Caen, sous l’autorité du Professeur Gilles-Eric Séralini, évaluant les effets néfastes d’un pesticide – le Roundup – et d’un maïs génétiquement modifié – OGM NK603 – de la firme Monsanto, sur un échantillon significatif de 200 rats. 

Les résultats alarmants suggèrent que la consommation de maïs OGM de la firme Monsanto provoque des effets dommageables pour la santé, comme des tumeurs mammaires, des troubles organiques des reins et du foie ainsi qu’une surmortalité.

Le maïs OGM NK603 est autorisé à l'importation en Europe et particulièrement en France, où il est utilisé dans l'alimentation du bétail que nous sommes amenés à consommer.

Soucieux de la santé de ses concitoyens, il refuse que ces derniers soient les cobayes de la firme Monsanto ! 

C’est ainsi que le Député adresse aujourd’hui une Question Ecrite à Monsieur le Ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt afin de lui signifier son inquiétude et de connaître les mesures que le gouvernement entend prendre pour s’assurer que les autorités sanitaires mettent en œuvre des phases de test davantage sécurisées faisant autorité. Il lui demande également les mesures que le gouvernement entend favoriser pour les procédures communautaires d’homologation des OGM soient plus strictes, dans un souci de prévention des risques et de garantie de la santé publique. 

Le gouvernement a saisi l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) pour évaluer la pertinence de cette étude, tout comme le Haut Conseil des Biotechnologies (HCB) et l'Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa).

Le député Hervé FERON souhaite que les résultats des enquêtes – qu’il espère réalisées par des autorités différentes de celles ayant autorisé préalablement ces produits vraisemblablement dangereux –, soient connus rapidement avec la plus grande transparence, afin d’envisager des décisions importantes, telles que l’arrêt des importations et la révision globale des procédures d’homologation en Europe.


Intervention télévisée du Président de la République

Le Président de la République a été tout à fait à la hauteur de la fonction et de la situation, sur TF1, hier soir. 

Il a rappelé ses objectifs, son cap, dans un contexte de situation économique particulièrement dégradé par des années de gestion sarkoziste, auquel s’ajoute le contexte international, plus défavorable encore qu’on avait pu l’imaginer.

La croissance est trop faible, et les emplois et nombreux plans sociaux préparés avant l’élection présidentielle se sont multipliés.

Les médias ne font pas de cadeau à ce Président, et ses adversaires politiques, qui ont très peu de mémoire et qui assument sans honte le bilan Sarkozy, l’ont vivement critiqué au lendemain même de son élection.

Alors 100 jours après, il ne faut pas attendre une attitude républicaine de la part de tous ces beaux parleurs. Alors qu’ils devraient soutenir massivement le Président de la République, dans une démarche de solidarité nationale, il est l’objet de critiques incessantes, et après son intervention, on a eu droit à une kyrielle de petites phrases, bien préparées avant même que le Président ne se soit exprimé à la télévision.

Beaucoup de choses ont été faites en urgence, lors de la session extraordinaire du mois de juillet, et dès cette semaine à l’Assemblée Nationale, de nouvelles mesures seront votées.

On est dans l’urgence, et François Hollande s’est donné 2 ans pour relever la France. C’est à cela que tous ensemble nous devons contribuer.

A titre personnel, dans un contexte encore plus compliqué que prévu, je pense qu’il serait souhaitable d’être plus volontariste quant au coût du travail. Je suis pour que le capital soit taxé au même niveau que le travail, ce qui permettrait de taxer moins fort le travail, ce qui créerait bien sûr de l’emploi, de la consommation et de la croissance, ce qui aiderait les petites entreprises aussi.

Mais l’heure n’est pas à la critique. L’heure est à la solidarité. Face à la difficulté, nous devons aider le Président qui fait preuve de courage et de détermination.

François Hollande et Hervé Féron

Mado...

Depuis des années, dans la plupart de nos réunions du Parti Socialiste, dans la plupart de nos moments de combat, de fête, de campagne, nous croisions une personnalité étonnante, que tout le monde appréciait, et que chacun appelait Mado.

C’est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès de Madeleine Gnaedig à l’âge de 91 ans. Mado a très souvent soutenu mes campagnes. Elle était encore là lors de nos législatives. Elle était la doyenne d’âge au Parti Socialiste, mais elle était également doyenne en années d’adhésion. Les jeunes du P.S. avaient également beaucoup d’affection pour elle. Ils la surnommaient « la mamie des MJS ».

Mado avait toujours des choses à raconter, pleine de vie et d’espoir, elle était un modèle pour tous. Cette petite personne aux cheveux blancs et aux yeux bleus qui pétillaient de malice avait eu une vie faite de combats, de valeurs et de convictions.

Fille d’un boulanger des mines du Pays Haut, Mado aimait raconter la période où elle travaillait à la Metro-Goldwyn-Mayer. Elle a connu 1936, elle s’est toujours engagée pour le droit des femmes et pour la justice sociale. Chacun avait plaisir à l’écouter, tant elle avait de choses à nous apprendre. Même à la fin de sa vie, Mado souhaitait rester indépendante, autonome, pour se déplacer, pour venir aux réunions, alors que sa santé se dégradait. C’est une vraie force qui s’est éteinte. Nous avions beaucoup d’amitié et de tendresse pour elle. On n’est pas prêt d’oublier Mado. Nous sommes tristes…

La fin de la PEC ( prise en charge)

La presse locale ne vous en parle pas trop, mais en tant que député, il m’est arrivé de produire certains rapports qui finissent par être efficaces.

J’avais dénoncé dans un premier rapport, en 2009, sur l’action extérieure de l’Etat, le scandale de la prise en charge (la PEC) dans les lycées français à l’étranger.

Vous trouverez ci-joint la note récapitulative que j’avais faite en 2010 : "L'essentiel sur la PEC".


J’avais participé ensuite, avec deux députés UMP (à cause desquels les conclusions ont dû être plus soft) à la rédaction d’un nouveau rapport à ce sujet en 2010. 

Aujourd’hui, François Hollande, fidèle à ses engagements et sur la base du travail que j’avais produit, a supprimé la PEC. Les députés UMP m’ont beaucoup attaqué à ce sujet au mois de juillet. 

Vous trouverez ci-dessous un lien pour lire un article très instructif du Monde Diplomatique. Prenez le temps de le lire. Tout est dit dans cet article :


Au lycée français de New-York, la fin d'un privilège (Le Monde Diplomatique)


                                                                                                                             Hervé FERON

A propos du non cumul.

Je me suis expliqué très largement. Vous êtes très nombreux à me témoigner votre soutien et à me dire que j’ai raison sur le fond et sur la forme. 

Les journalistes locaux, qui ne relaient jamais mes communiqués de presse, qui ne sont absolument pas intéressés par tout ce que je fais quotidiennement en tant que député et en tant que maire, et qui souvent ont soutenu la campagne de mon adversaire UMP aux législatives, se sont emparés de ce débat pour mettre de l’huile sur le feu et développer l’idée d’une soi-disant fracture au sein du PS. 

Et bien sûr, ceux qui jouent les étonnés candides et qui déclarent qu’il ne devrait pas y avoir d’attaque personnelle, sont ceux-là même qui fonctionnent de façon clanique, et qui nous attaquent personnellement depuis des mois, nous, parlementaires socialistes, comme si nous étions des pestiférés.

Pour information, le Parti Socialiste, au niveau national, a lancé une pétition contre nous. Ils ont réuni à ce jour 2.468 signatures au NIVEAU NATIONAL ! Sur ma seule circonscription, j’ai été élu par 21.803 électeurs… 

Par ailleurs, je vous laisse juge de cette phrase écrite par Martine Aubry : « Tout élu (socialiste), parlementaire, qui abandonnera son mandat exécutif local, devra avoir préparé avec le Parti les modalités de sa succession ».

Je suis scandalisé par ses propos, je suis un Républicain, respectueux du vote des électeurs. Il n’appartient pas à un parti de désigner le successeur d’un maire. Cela choquera une grande majorité des citoyens dans ce pays. Ces façons de fonctionner ne sont pas des méthodes républicaines. 

Merci à vous tous, très nombreux, qui me soutenez.

 

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Hervé Féron avec Najat Vallaud-Belkacem
et la réalisatrice yéménite, Khadija Al-Salami

 

 

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