Je suis ravi de voir que ce que je disais et j'écrivais il y a un certain temps est révélé aujourd'hui.
La presse en parle avec précision, même si je continue à penser qu'il ne s'agit pas d'une participation
à l'investissement de 25 Millions, mais de 30 M d'€ (car il faut ajouter les 5 M d'€ annoncés par la
Région...)
Si on considère qu'il était prévu une participation aux dépenses annuelles de 1,3 M d'€ (et non pas
1,5), et qu'on évoque aujourd'hui plutôt 3 M d'€ par an , cela représente un dérapage de 1,7 M d'€
par an, par rapport à ce qui avait été annoncé.
1,7 M d'€ X 30 ans = 51 M
51 M + 30 M = 81 M d'€ qu'on ne nous avait pas annoncés !
J'ai demandé une réunion pour donner à tous les élus de la Métropole les informations qui fuitent
actuellement et auxquelles ils n'ont jamais eu droit. Une réunion pour discuter de la pertinence
de ce projet en l'état (relisez ci-dessous l'article que j'avais écrit : je proposais de tout remettre à plat
pour se demander d'abord comment on va financer tout ça ? Mais le projet en lui même est certainement
à reconsidérer, qui ne s'inscrit pas dans la volonté d'allier thermalisme et milieu urbain en cohérence avec
l'histoire du site, le patrimoine, l'Ecole de Nancy... J'ai fait des propositions concrètes en terme de méthode
en reprenant sa copie, histoire de redevenir un bon élève... à l'Ecole de Nancy.
1) comment financer ? 2) si ça nous coûte cher, autant que ce soit discuté, partagé et...réussi ?
Cette Ville qui était si belle...
J'ai une proposition concrète et réaliste pour le projet Grand Nancy Thermal :
Et si on reprenait tout à zéro ?
Ce serait sagesse et bon sens. Quand un projet n'est pas partagé, quand il n'est pas cohérent et quand
il doit coûter beaucoup plus cher que ce qui avait été annoncé, il vaut mieux tout remettre à plat, plutôt
que de s'entêter à commettre une erreur irréversible et qui engagerait terriblement l'avenir...
Prenez une Métropole dont l'assemblée est composée de deux groupes politiques, le président du groupe minoritaire (moi), constatant qu'on va droit dans le mur avec ce projet, écrit au Président de la Métropole le 22 février. Il lui demande alors, en prenant les formes pour ne pas être désagréable, de bien vouloir
organiser une réunion spécifique avec l'ensemble des Conseillers Métropolitains, pour leur donner tous les éléments d'information et pour qu'un débat serein et constructif puisse avoir lieu autour de ce projet.
Que pensez-vous du fonctionnement de cette Métropole, si je vous dis que le Président ne daigne même pas me répondre...
=> Grand Nancy Thermal est un projet déjà ancien, mais depuis toujours le Conseil de Communauté, puis de Métropole a été informé a minima. Les premières délibérations liées au forage et à la qualité de l'eau datent de 2007, et les premières études aussi. En 2014 l'agrément thermal a été obtenu. En 2016, la procédure de DSP (délégation de service public) a été lancée...
=> Il a toujours été annoncé que la totalité du financement de l'investissement (50 M€) serait supportée par le délégataire, et qu'il n'y aurait rien à la charge du Grand Nancy.
=> La Métropole s'est engagée à une participation aux dépenses annuelles de fonctionnement à hauteur de 1,3M€, ce qui équivalait, nous avait-on dit, aux dépenses annuelles de la piscine actuelle... Déjà là, je trouvais cela étrange. En effet, il me semblerait plus normal, dans le cadre d'une DSP, de donner une subvention annuelle au délégataire qui équivaudrait aux dépenses actuelles moins les recettes actuelles ?
=> Et puis, le temps passant et les discussions aussi auxquelles nous ne sommes pas associés, ce n'est plus 1,3M€ dont on parle dans les salons, mais 3M€ annuels que le Grand Nancy devrait verser...
=> Je m'étais étonné lors du Débat d'orientation Budgétaire 2018 de lire dans ce document que par incidences, le Grand Nancy envisageait de "fermer une ou deux piscines" ! Quand, chacun le sait, il n'y a pas assez de piscines sur le Grand Nancy pour répondre dans de bonnes conditions aux besoins des scolaires. J'ai demandé en Conseil si on pouvait nous préciser cette intention et quelles piscines on imaginait fermer. Aucune réponse ni verbale, ni écrite... Leurs auteurs regrettent peut-être d'avoir dévoilé leurs intention dans ce document du DOB ?
=> Et puis, il y a eu le coup de pub... Le Président de la Région Grand Est a été invité à visiter Nancy Thermal, les journalistes aussi, les élus de droite du Grand Nancy (et encore pas tous...) pour qu'ils soient souriants sur la photo... J'avais dit et écrit regretter que Bertrand Masson, par exemple qui est Conseiller Métropolitain, membre du jury de concours, mais aussi Conseiller Régional, n'ait même pas été invité...
Ce jour là, il a été annoncé triomphalement une aide de la Région (5M€) au Grand Nancy... pour cet investissement !
Alors, là, je me suis dit qu'il y avait un loup... (au bout d'un moment, il s'agit d'une vraie meute). Pourquoi la Métropole sollicitait-elle la Région pour une aide à l'investissement, si comme promis, elle ne devait rien avoir à payer en investissement ???
=> Et voilà, que le Grand Nancy depuis quelques temps organise des visites (souhaite-t-on nous préparer psychologiquement à une annonce ? Ou bien nous prend-on pour des touristes en visite d'un site thermal ?). Et on entend dire qu'il y aurait des "imprévus"... des effondrements sous l'actuelle piscine découverte Louison Bobet et sous la Piscine Ronde. Cela justifierait une augmentation du coût d'investissement. On nous parle de 25M€ que le Grand Nancy devrait verser au délégataire. Mais
j'ai bien l'impression qu'il vaut mieux dire 30M€ (25+ les 5M€ attribués par la Région) !Il faut savoir que ces 5 Millions si on les reçoit sur ce projet, on aurait pu les recevoir sur un autre projet (comme la ligne 1 du tram par exemple ?).
=> Cela change tout. Nous sommes en difficultés pour imaginer le développement de services au public, comme les transports en commun. Avons-nous les moyens de nous engouffrer dans de telles dépenses ? Il est urgent de nous informer, et qu'on en parle posément. Que chacun des élus ait accès à l'information et ait le droit de s'exprimer.
Si on vient me dire que j'exagère, ou bien que mes affirmations sont fausses, qu'on nous donne les bonnes informations...
=> Plus grave encore : ce projet est contre nature et sans ambition pour Nancy. Un projet thermal ? Ce n'est pas nouveau, le premier projet date de 1908, en même temps que l'Exposition Internationale de l'Est de la France. Mais à l'époque, cela avait du sens, car on n'avait pas commencé par imaginer le projet sous l'angle économique. On s'était d'abord interrogé sur le rayonnement de Nancy
et l'attractivité qui résulterait d'un tel projet. Et pour cela, il avait fallu prendre en considération l'histoire et le site patrimonial dans sa globalité.
Là, l'approche économique a précédé l'approche patrimoniale et met donc en péril l'attractivité pérenne de ce projet. Françoise Hervé l'avait dit, l'avait écrit. Sur son insistance, il a été demandé à un bureau d'étude de produire un "diagnostic architectural et patrimonial".
Mais cette approche est beaucoup trop réductrice ! Il aurait fallu considérer le site patrimonial dans sa globalité et également l'histoire de tout le site, dans son contexte artistique, patrimonial et végétal. C'est ce que préconisait Françoise Hervé. Ce diagnostic a été livré en septembre 2016 ! Alors que le projet dans ses intentions et son cahier des charges était largement engagé. On appelle ça un alibi !
On peut peut-être s'étonner aussi que ce diagnostic architectural n'ait pas révélé ces fameux effondrements ?
C'est un manque d'ambition, un manque d'imagination, de créativité. L'ambition aurait été d'allier thermalisme et milieu urbain et de le mettre en relation avec l'histoire du site et le mouvement artistique de l'Ecole de Nancy. Serait-il stupide d'imaginer achever le projet
de Palais Thermal tel qu'il avait été imaginé par Lanternier avant la première guerre mondiale ?
Alors, si on considère que cela va nous coûter cher, très cher, pour un projet en panne d'ambition, je propose de tout remettre à plat.
Françoise Hervé, encore elle, s'était proposée de réaliser une exposition pour porter à la connaissance du grand public les richesses et les
potentialités du site. Pourquoi ne pas recommencer par ça ? Et organiser la concertation ? Est-on vraiment pressé par le temps ? Ne vaut-il
mieux pas perdre du temps pour élaborer un beau projet fonctionnel, qui valorise le patrimoine et l'histoire de cette ville qui était si belle ?
C'est très intéressant, c'est gratuit, c'est à Tomblaine.
Espace Jean Jaurès vendredi 13 avril à 19h pour tout public.
A une petite remarque écrite sur Facebook (FB) par le Colonel (er) Olivier Sastre, l'attaché parlementaire d'un député LREM de Vendée croit malin d'insulter le colonel (er) Olivier Sastre qui évoquait simplement (et fort courtoisement) une petite imprécision sémantique dans le discours d'Emmanuel Macron lors des funérailles du Colonel Beltrame.
Devant le ton agressif voire insultant, on lira avec intérêt la réponse argumentée tout en finesse, sérénité et délicatesse de l'ancien commandant d'une Promotion de l’Ecole Militaire Interarmes (EMIA).
A. T. : Quel intérêt de s’adresser au Président de la République via Facebook excepté pour faire polémique ou travailler son ego ?
Avec tout mon respect, j’espérais que votre rang était synonyme d’intelligence, aujourd’hui, je confirme que l’habit ne fait pas le moine...
Olivier Sastre Monsieur l’attaché parlementaire,
Vous avez bien voulu me faire l’honneur de commenter une publication sur mon mur Facebook, laissant une question ouverte, celle de l’intérêt de ma démarche, et un constat subséquent, celui de mon intelligence déficiente. Je vous remercie d’avoir pris ce temps et vous prie d’excuser une réponse aussi tardive, qui n’est pas due à mon manque d’intérêt pour votre critique, mais au simple désir que j’avais, de profiter avec les miens du long week-end pascal.
« Quel intérêt de s’adresser au Président de la République via Facebook excepté pour faire polémique ou travailler son ego ? » vous demandez-vous de façon liminaire, en regrettant d’emblée que, comme dans la plupart des démocraties, ce droit de commentaire public du discours public d’un homme public puisse faire jaillir une polémique, et de la même façon que ce commentaire puisse être bénéfique à mon ego.
Ce droit de commentaire public, je l’enfourche parce que je pense sincèrement qu’une polémique, même vigoureuse, est une manifestation de bonne santé dans une démocratie, pour peu qu’elle soit constructive et qu’elle ne se focalise pas sur les hommes ou les femmes, mais bien sur les faits et les décisions qui peuvent avoir du poids dans la construction de l’avenir de notre pays. C’est le premier intérêt que je distingue dans le fait de m’être adressé au président de la République. Je suis navré que cela vous peine.
Vous observerez avec moi, que je me montre touché par la solennité du discours du président. Il a rendu un très bel hommage au Colonel Beltrame, à sa famille et à ses compagnons d’armes et je le souligne. Il a mis un nom sur l’ennemi, clairement, courageusement et sans se cacher derrière son petit doigt. Plaçant le colonel Beltrame dans la lignée des grands Résistants, il en a fait un héros national et c’est une belle image.
En revanche, en faisant de cet officier de gendarmerie une figure qui nous exhorte à résister, je crois qu’il se trompe. Résister, c'est ce qu'ont été forcés de faire les Français qui voulaient chasser l'envahisseur nazi, parce que la montée de ce péril n'avait pas pu être jugulée quand elle aurait pu l’être.
De nombreux hommes politiques ont porté une très lourde responsabilité dans la défaite qui a d’abord été morale : adoption et diffusion d'un pacifisme irréfléchi entraînant des choix stratégiques inadaptés ( ligne Maginot), torpeur devant le réarmement de l’Allemagne, attentisme et coupable inaction devant la politique agressive du Reich, aveuglement diplomatique et dépréciation de la voix de la France promouvant la mentalité "munichoise", impréparation industrielle et humaine de la guerre...
Aujourd'hui, nous nous trouvons encore dans la possibilité de combattre notre ennemi, sur notre sol comme à l’extérieur. Oui, nous sommes encore dans le temps du combat, et pas dans celui de la Résistance. Et quel que soit mon respect pour la Résistance (mes deux grands-pères ont été résistants, l'un d'entre eux déporté), je pense que la Résistance, c'est ce qui vient trop tard, quand on n'a pas eu le courage de combattre à temps. Or, il est encore temps et le chef des armées de la République ne doit pas s’y tromper.
Le président a présenté le lieutenant-colonel Beltrame comme un élève-officier de Saint-Cyr. Ce qui peut paraître un détail pour l’auditeur moyen de BFMTV, voire le bon bourgeois informé, n’en est pas un en vérité. L’Ecole Militaire Interarmes (EMIA), dont est issu cet officier valeureux est distincte de Saint-Cyr par son recrutement. Elle symbolise mieux qu’une autre l’élitisme du creuset républicain. Elle s’adresse aux sous-officiers et aux militaires du rang qui, recrutés par concours, peuvent ainsi servir comme officiers. Pour les meilleurs d’entre eux, c’est un peu comme si un fonctionnaire de catégorie C achevait sa carrière comme administrateur civil hors classe. C’est une école qui permet, à ceux qui n’ont pas eu la chance de faire une classe préparatoire aux grandes écoles, ou qui sont issus d’un milieu qui n’a pas favorisé leurs études de rattraper un train qu’ils n’avaient même pas entendu passer.
Lorsque le Président de la République annonce qu’Arnaud Beltrame est saint-cyrien, il oublie que lui-même est fils de médecins, qu’il a fait de bonnes études à Henri IV avant de faire Sciences-Po Paris et l’ENA, de rejoindre l’inspection des finances, puis une banque d’affaires américaine. Se rend-il compte qu’en commettant cette erreur, que vous pensez vénielle, il affiche un profond mépris pour tous ceux qui sont devenus officiers sans être « sortis de Saint-Cyr ». Il raye d’un trait les quelque 25 000 officiers de recrutement « semi-direct » qui sont morts pour la France, avant Arnaud Beltrame.
Alors, Monsieur l’attaché parlementaire, et c’est précisément le second intérêt de ma démarche : par fidélité à ce que fut Arnaud Beltrame, à l’Ecole qui l’a formé et dont il a été fièrement le major et le porte-drapeau, j’ai cru utile de replacer de vrais mots sur de vraies gens et de vrais choix. Et je l’ai fait en dehors de toute idée polémique, par esprit de justice et par goût de la vérité.
Je passerai rapidement sur la perspective que vous évoquez et selon laquelle je travaillerais mon ego. Je connais trop peu le sabir des psychologues de comptoir pour avoir une idée de ce que « travailler son ego » peut signifier. Je viens d’un monde où seuls le groupe et sa cohésion valent. L’estime de mes chefs, la camaraderie de mes pairs et de mes subordonnés m’ont suffi jusqu’ici sans que j’aie à chercher le moindre assentiment dans le monde politique. Vous comprendrez que je reste sur cette ligne et que votre opinion m’importe assez peu.
J’en viens maintenant à un intérêt auquel vous n’avez peut-être pas songé. S’adresser au Président de la République de façon respectueuse, au nom de la vérité, a également l’avantage de faire sortir du bois des gens comme vous, ce qui renseigne assez bien sur les mœurs politiques. Vous pensez sans doute être un bon chien de garde de votre parti, la République en marche. Vous pensez le servir en montrant que vous veillez à ce qu’on ne commette pas le crime de lèse-majesté en s’adressant à votre président. Vous auriez pu réfléchir à ce que cette lettre pouvait apprendre au Président de la République là où vous n’avez songé qu’au Président de « La République en Marche ». Vous savez que la majorité parlementaire confortable de votre parti l’expose à suivre la pente de la facilité. De nombreuses critiques lui reprochent une personnification du pouvoir, un autoritarisme, une opacité dans les processus d’organisation interne (cf. l’élection de M. Castaner) et le recours facile au gouvernement par ordonnances, avec des députés formant une majorité « godillot » où le débat est occulté.
Tout dans votre attitude vient donner corps à ces analyses et montrer combien elles sont fondées. C’est pourquoi, à tout prendre, je me demande si vous avez raison d’apparaître ainsi sur les réseaux sociaux pour décrédibiliser quelqu’un qui ne cherche qu’à rendre hommage à un camarade disparu héroïquement et à attirer l’attention du chef de l’Etat sur le manque de délicatesse et de précision de son discours. Les quelques lecteurs de ce « post » auront pu au passage se rendre compte que pour l’attaché parlementaire de la République en marche « L'esprit de parti abaisse les plus grands hommes jusques aux petitesses du peuple » comme l’avait remarqué La Bruyère, qui s’y connaissait en caractères.
Un petit parallèle me vient même à l’esprit un instant, avant que je le chasse : Auriez-vous courageusement voulu vous « payer » sans risque un colonel, comme vos chefs, MM. Macron et Castaner ne se sont pas privés de se « payer » le Général Pierre de Villiers, chef d’Etat-major des armées ? Je sais tout ce que cette hypothèse peut avoir d’immodeste pour moi, mais je vous la propose pour deux raisons : la première, c’est que le chef d’escadrons Pierre de Villiers a formé le lieutenant Sastre à Saumur de 1988 et 1989 et que cette proximité me permet de l’évoquer comme un clin d’œil. La seconde est que Pierre de Villiers est un grand soldat, un grand Français, un grand Vendéen, dévoué au service de sa Patrie, et que vous avez eu tort de traiter par le mépris et par l’insulte.
Vous aurez sans doute apprécié que je vous laisse le bénéfice du doute en employant à votre intention les mots « grands hommes » quoique vous n’ayez pas eu pour moi la même libéralité. Du haut de vos certitudes d’attaché parlementaire, il vous a semblé de bon aloi de mettre en doute mon intelligence. Je ne vous en veux pas : je ne m’en sers plus guère, surtout sur les réseaux sociaux où elle est d’une faible utilité. J’ai beau savoir depuis longtemps que « passer pour un idiot aux yeux d’un imbécile est une volupté de fin gourmet », je n’en ai pas moins de peine pour vous. Ne sachant qui vous étiez, je suis allé me promener sur votre mur où vous pensez mériter les prébendes que vous octroie le député Pierre Henriet pour l’assister.
J’y ai découvert sous votre plume :
- le 15 décembre 2017 : « Il y a 51 ans, l’un des plus grand visionnaires que le monde moderne est connu nous quittait » (il s’agit de Walt Disney, j’espère que tous l’avaient reconnu)
- Le 13 décembre 2017 : « Et si on prenais le temps de réfléchir… »
- Le 15 novembre 2017 : « … la cathédrale de Luçon s’habillera bientôt de ses plus beaux atouts de lumière… » Vous vouliez sans doute parler d’atours : la belote vous aura trompé.
Je ne vais pas plus loin, car je suis accessible à une forme de mansuétude, de la même façon que vous devriez l’être à une forme de modestie.
Je vous souhaite bien le bonsoir.
Hervé Féron avec Najat Vallaud-Belkacem
et la réalisatrice yéménite, Khadija Al-Salami
Intervention d'Hervé Féron en Séance Publique pour les victimes de la répression
de la Commune de Paris
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