Manifestation originale à Tomblaine, jeudi 8 septembre, pour le lancement de la démolition de l'ancienne salle de gymnastique avant travaux. Monsieur le Préfet de Meurthe-et-Moselle honorait cette rencontre de sa présence (l'État est le premier partenaire de la Ville pour accompagner tous ses investissements dans le Quartier Prioritaire Politique de la Ville), ainsi que Frédéric Maguin, Vice-Président du Conseil Départemental, représentant le Président Mathieu Klein. De nombreux parents, gymnastes, partenaires, élus locaux étaient présents ainsi que le Maitre d'Oeuvre M. Poignon.
Les travaux consisteront en une restructuration complète du bâtiment pour la partie accueillant la gymnastique, l'agrandissement de la surface (de 320m2 à 700m2), l’augmentation du nombre d’agrès, l’installation d’un praticable et de fosses de réception. Ils permettront aussi une meilleure accessibilité : accueil des visiteurs (jusqu’à 150), et notamment des personnes à mobilité réduite.
Ces travaux dureront 12 mois pour un montant TTC de 1 447 900 €.
Sous forme de clin d’œil, la manifestation a consisté à ce qu’un petit gymnaste avec une petite masse et une grande gymnaste avec une grande masse, tous les deux casques de chantier sur la tête, entreprennent la démolition du mur. C’est Romain Cavallero, tomblainois, champion de France avenir (11 ans) et Océane Grandclerc, tomblainoise, 3ème du championnat de France national B (13 ans), qui ont entrepris cette démolition. Pour être honnête, ils ont eu besoin d’un coup de main de leurs entraineurs, Boris Noack et Camille Hoelter puis les spectateurs ont eu le droit à une belle démonstration du club Rondade Salto.
Comme tous les ans, ce club a remporté de nombreux podiums. Une équipe de garçons est championne de France national A (10-11 ans), 19 gymnastes garçons et filles ont été qualifiés en individuels aux championnats de France, un titre de champion de France, deux vice-champions de France et quatre places de 3ème ont été remportés par le club. Les gymnastes tomblainois ont participé à différents stages avec l’équipe de Lorraine et le collectif France tout au long de l’année, ils représentent le quart du groupe de préparation des Jeux Olympiques 2024. Boris Noack fait partie des entraineurs des groupes France pour les stages. Le président Denis Hoelter et les entraineurs Sophie Hoelter, Boris Noack, Camille Hoelter, Dylan Hoelter et Damien Noblet sont particulièrement performants. Rondade Salto est identifié PES (Parcours Excellence Sportive) et club formateur en lien avec le CREPS et le comité régional. Sophie Hoelter enseigne la gymnastique dans toutes les classes de toutes les écoles élémentaires de Tomblaine et le club est en partenariat avec le collège Jean Moulin dans le cadre de classes sportives.
Avec de tels résultats, il fallait une belle salle d’entrainement. Ce sera le cas dans 12 mois.
Après les coups de masses, tout le monde a partagé le coup à boire.
Le Conseil Départemental tient actuellement ces rencontres dans chacun des six territoires de Meurthe-et-Moselle pour poursuivre l’engagement de renforcer le lien direct avec les acteurs territoriaux. Ce mercredi 7 septembre, cela se passait à la salle des fêtes de Vandoeuvre, les acteurs du territoire avaient répondu à ce rendez-vous très nombreux pour contribuer aux assises de la citoyenneté, de l’Éducation Populaire, du sport et de la culture. Ces rencontres ont été introduites par Stéphane Hablot, Vice-Président du Conseil Départemental et Maire de Vandoeuvre, puis par Valérie Beausert-Leick première Vice-Présidente du Conseil Départemental. Mathieu Klein, le Président, s’est adressé à l’assemblée en cours de soirée.
Les débats avaient été installés par tables rondes avec une méthode de participation et d’interactivité très bien pensée. Hervé Féron était là et, en tant que député et rapporteur sur le budget de la culture, la création, la transmission des savoirs et la démocratisation de la culture, il était bien évidemment très intéressé par ce sujet. Cette rencontre a été riche d’enseignements.
Nous avons l'air détendu... ils ont l'air soucieux.
Parmi les exposants, la Banque Alimentaire et sa sympathique Présidente Geneviève Pupil avaient eu l'idée originale de faire construire, par la maison du vélo du Grand Nancy, un vélo-mixeur. Le principe, vous pédalez, cela actionne un mixeur dans lequel des fruits sont transformés en jus de fruits délicieux. Le député a pédalé, sous les yeux attentifs de Pascal Jacquemin.
Grosse affluence comme chaque année à la traditionnelle fête des vendanges à Villers-lès-Nancy.
Hervé Feron, le député venait chaque année quand Pascal Jacquemin était Maire de Villers parce qu’à cette époque là il y était invité chaque année, il y était le bienvenu.
Depuis le début de ce mandat il n’avait jamais été invité à la fête des vendanges comme d’ailleurs à toutes les autres manifestations.
Et voici que cette année le Maire de Villers a invité le député à venir à 18h10. Comme Hervé FERON connaît bien le tissu associatif villarois, il est venu un peu plus tôt histoire de saluer les nombreux exposants.
Surprise en arrivant à 17h, le Maire de Villers avait commencé son petit tour de la fête. Avait-il oublié d’inviter le député ? ou bien n’avait-il pas envie de faire le tour de la fête avec lui ? Hervé FERON a donc retrouvé ses amis Pascal Jacquemin conseiller métropolitain, ancien Maire de Villers, Valérie Beausert-Leick Vice Présidente du Conseil Départemental, et Pierre Baumann, tous deux conseillers départementaux du canton de Villers-Laxou, et d’autres élus ou acteurs de la vie villaroise.
Les associations à Villers-lès-Nancy ont une belle vitalité, cette fête est l’occasion de belles rencontres, un beau moment de convivialité.
Et puis à 18h10, les élus sont appelés à monter sur le podium, le Maire de Villers prend la parole, salue d’abord ses amis élus de Droite, parmi lesquels plusieurs candidats aux prochaines législatives, puis il salue les élus de Gauche, les deux conseillers départementaux, et le député.
On ne peut pas parler d’un accueil véritablement Républicain, on ne peut pas parler non plus d’un accueil chaleureux. Heureusement que les villarois sont là nombreux pour montrer que le député est le bienvenu.
À l'occasion de la rentrée des sixièmes, Hervé Féron s'est rendu au collège Jean Moulin de Tomblaine, puis au collège Georges Chepfer sur sa circonscription à Villers-lès-Nancy, afin d'y rencontrer les élèves, les parents et les équipes pédagogiques.
Dès 8h30, au collège Jean Moulin, a eu lieu la répartition des nouveaux collégiens au sein de leurs différentes classes. Le collège va ainsi accueillir 584 élèves cette année et observera donc une évolution de ses effectifs, comme depuis plusieurs années. Cela est dû à l'attractivité et au développement de la ville de Tomblaine.
Après l'appel de tous les élèves, un café d'accueil a été organisé par Mme Chaleix, principale du collège Jean Moulin, pour les parents et dans une ambiance très chaleureuse. Cela fut l'occasion d'apprécier l'engagement de l'ensemble de l'équipe pédagogique en faveur de la coéducation et de l'accompagnement des jeunes élèves.
Hervé Féron en compagnie de Mme Chaleix et de M. Barriere - principal adjoint.
Ensuite, Hervé Féron a été accueilli par Mme Oget, principale du collège Georges Chepfer à Villers-lès-Nancy, à l'occasion d'une visite en compagnie de Mathieu Klein - Président du Conseil Départemental de Meurthe-et-Moselle, de M. Strugarek - Directeur Académique de Lorraine, de Pierre Baumann - Conseiller Départemental du Canton de Villers-Laxou ou encore de M. Anthony Caps - Vice-Président du Conseil Départemental délégué à l'Éducation.
Hervé Féron a échangé avec les élèves de sixième lors de leur premier cours de technologie. Il a par ailleurs pu observer l'avancement des travaux de rénovation. Commencés au début de cette année, ces travaux vont permettre la mise en place d'un bâtiment écologique, avec une faible consommation d'énergie, permettant un accueil plus chaleureux et plus agréable pour l'ensemble des élèves ainsi qu'un meilleur accompagnement des enseignants dans leurs projets pédagogiques. Avec un coût prévisionnel de plus de 10 millions d'euros, ces travaux sont la preuve de la grande ambition du Conseil Départemental pour l'ensemble des collèges de Meurthe-et-Moselle. Les travaux se terminant à la fin de l'année scolaire 2017-2018, Hervé Féron a tenu à apporter son soutien à l'ensemble du collège en cette période de transition.
Lors de la visite des locaux du Collège Georges Chepfer, en compagnie de Mme Oget, de M. Klein, de M. Strugarek et de Pierre Baumann.
Publication d'une tribune d'Hervé Féron sur Marianne.fr :
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Depuis plusieurs années déjà, les conflits en Irak, en Syrie ou en Libye sont régulièrement évoqués dans les médias, de même que les destructions de patrimoine qu’ils provoquent. Un autre pays est sous les bombes, mais personne ou presque n’en parle : il s’agit de l’ « Arabia Felix » ou Arabie Heureuse des Romains, l’actuel Yémen, théâtre d’une guerre civile depuis plus d’un an.
La guerre au Yémen a donné lieu à une véritable catastrophe civile et humanitaire. Depuis mars 2015, on compte plus de 6 000 morts dont la moitié sont des civils, avec plus de 30 000 blessés et deux millions et demi de personnes déplacées depuis le début du conflit. Les écoles et hôpitaux, y compris de Médecins Sans Frontières, ne sont pas épargnés par les bombes.
Mais un autre drame se déroule au Yémen, sur le plan historique et culturel. Depuis des mois, l’UNESCO tente d’alerter sur les dégâts subis, en vain : les pourparlers n’aboutissent à aucun cessez-le-feu durable et les bombardements continuent, touchant détruisant des sites culturels et historiques d’exception ne présentant pas d’intérêt militaire stratégique.
Si les dégâts sont difficiles à évaluer dans un pays dont nous parviennent si peu d’informations, on sait qu’au moins 47 sites et monuments archéologiques ont été endommagés ou réduits à zéro depuis le début des attaques aériennes de la coalition menée par l’Arabie saoudite.
Le Grand Barrage de Ma’rib, véritable chef-d'œuvre d'ingénierie construit vers 750 à 700 avant J.-C., a été sévèrement endommagé et il subit toujours des assauts. Le site de Sirwah, haut lieu religieux du royaume de Saba, est également le théâtre de violents combats, et la muraille extérieure de son remarquable temple Almaqah, jusqu’alors incroyablement préservée, a été endommagée. Dans Baraqish, ville fortifiée la mieux préservée du Yémen, le Temple minéen de Nakrah, qui constitue l'un des plus beaux vestiges datant du premier millénaire avant J.-C., semble également avoir subi des dommages à la suite d'un bombardement aérien.
En outre, organisé de manière de plus en plus professionnelle, le pillage est en plein essor : l’un après l’autre, les sites sont minutieusement pillés, en particulier dans les régions où le gouvernement central n'exerce plus de contrôle. Dans certains cas, ces sites sont systématiquement pilonnés par des bulldozers, laissant derrière eux des champs de désolation.
L'anéantissement de ce patrimoine est d'autant plus tragique qu’il est au cœur de l'identité du peuple yéménite. Or, ces œuvres et monuments sont ciblés en tant que tels et pour ce qu’ils représentent. Car il n’y a pas d’identité sans mémoire ; ainsi, dans son Histoire universelle de la destruction des livres, Fernando Baez développe la notion de « mémoricide », qui désigne toute politique visant à effacer les traces de la mémoire d’un peuple à travers sa culture afin de reconfigurer son identité dans un but de soumission. Il n’y a pas d’hégémonie religieuse, politique ou militaire sans hégémonie culturelle.
Malgré l’évidente entreprise de destruction, voire de dépeçage, perpétrée par la coalition saoudienne, qui n’empêche pas le développement, au sol, d’une guerre de position entre islamistes et Houthis menaçant la société yéménite de nouvelles divisions, la communauté internationale reste désespérément inactive. On ne peut pas ne pas voir derrière cela les intérêts commerciaux qui musèlent si fortement les porte-parole des pays occidentaux.
Nos amitiés avec certaines puissances ne doivent pas nous faire perdre notre lucidité et il est indispensable que la France participe activement à la résolution de ce conflit qui détruit de nombreuses vies mais aussi un patrimoine irremplaçable, mémoire de civilisations millénaires s’étant succédé en Mésopotamie, lieu de naissance de l'écriture et des premières cités-Etats.
Pour mettre fin à la crise qui ravage le Yémen, l’une des plus graves au monde, seuls des efforts conjoints de la communauté internationale permettront de trouver une solution durable afin de faire en sorte que le Yémen redevienne l’« Arabie Heureuse » d’il y a deux mille ans.
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Voici deux articles parus dans la presse où je suis cité, je ne sais pas où les journalistes ont trouvé que je serais plus Aubryste qu'autre chose... Toujours le besoin de coller des étiquettes !
Hervé FERON
Fustigeant l'effacement du clivage entre la gauche et la droite, selon lui poussé à son paroxysme par le président de la République, et rejetant l'idée selon laquelle les gauches seraient "irréconciliables", comme le disent Manuel Valls et Jean-Luc Mélenchon, M. Hamon s'est efforcé d'apparaître comme "le meilleur candidat pour rassembler toute la gauche".
"Je me mets au service de l'unité et du rassemblement de la gauche", sans lesquels il est "totalement illusoire de penser que la gauche puisse être au second tour de l'élection présidentielle", a affirmé l'ancien ministre de l'Education, au terme d'un discours de près d'une heure et demi, salué par les applaudissements nourris de quelque 500 de ses partisans, réunis dans un ancien site industriel converti en lieu évènementiel, L'Usine.
Pour le député des Yvelines, qui a oeuvré à des convergences rouges-roses-vertes à l'Assemblée, notamment à l'occasion du débat sur la loi Travail, "jamais un programme commun de la gauche n'a été si facile, ne serait si facile à écrire".
Défense d'une "économie altruiste" et respectueuse de l'environnement, de la réduction du temps de travail, d'un revenu universel d'existence versé à chaque citoyen français; promotion d'une VIe République instaurant une dose de proportionnelle et le non-cumul des mandats dans le temps; aide gratuite au devoir pour tous les écoliers et collégiens... le candidat a semé les marqueurs de gauche dans son discours.
Sans atteindre la virulence d'un Arnaud Montebourg la semaine dernière, l'ancien ministre de François Hollande n'a pas pris de gant pour dénoncer "l'échec du quinquennat" du président de la République: en reprenant à la droite ses idées plutôt que celles pour lesquelles elle avait été élue, la gauche a "ajout(é) à l'échec économique et social la défaite morale", a-t-il dénoncé.
M. Hamon a par ailleurs une nouvelle fois vivement critiqué l'interdiction dans certaines communes du burkini et l'attitude de l'exécutif dans cette polémique. "J'ai le sentiment qu'aujourd'hui en France, aux yeux de nombreux dirigeants politiques et de nombreux Français +un bon musulman, c'est un musulman qui n'est pas musulman+ (...) Un musulman invisible", a-t-il dit.
- "Ne pas se tromper d'adversaire" -
Sans le nommer, M. Hamon s'est par ailleurs efforcé de se démarquer d'Arnaud Montebourg, entré en campagne la semaine dernière.
"Je veux ici rappeler mon hostilité à l'exploitation des gaz de schiste et mon engagement à réduire la part du nucléaire dans le mix énergétique", a-t-il affirmé, sous les applaudissements de la salle. M. Hamon a également pris soin de souligner la dimension "collective" de sa démarche, loin de la posture d'homme providentiel endossé par son ancien comparse, et son engagement clair dans le processus de primaire décidé par le PS -là où M. Montebourg maintient l'ambiguïté.
Enfin, sur le plan européen, M. Hamon a souligné la nécessité, au-delà du "volontarisme qu'on affiche", de proposer une "méthode (...) pour nouer des alliances et bâtir des coopérations seules capables d'inverser les rapports de force existants".
Selon l'entourage du candidat, une vingtaine de parlementaires lui ont apporté son soutien, dont de nombreux frondeurs mais pas seulement: les députés Hervé Féron (aubryste) et Alexis Bachelay (motion D) étaient notamment présents, de même que le président du jeunes socialistes Benjamin Lucas, a-t-on indiqué.
Une convergence sera-t-elle possible entre MM. Hamon et Montebourg comme le souhaite le chef de file des frondeurs, Christian Paul ' "L'idée est de se retrouver, affirme une élue francilienne. Il ne faut pas se tromper d'adversaire. Ce n'est pas Arnaud Montebourg, mais la droite, la gauche de gouvernement".
"Ce qui a été acté, c'est une convergence. Aura-t-elle lieu avant le premier tour ' Au second tour '", confirme un proche de M. Hamon.
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Benoît Hamon réunit ses soutiens à Saint-Denis ce week-end
Benoît Hamon, candidat PS à la primaire de la Belle Alliance populaire, réunit ses soutiens à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) samedi et dimanche, premier acte d'une candidature qui se veut "collective".
L'ancien ministre de l'Education prononcera un discours dimanche à midi, après un propos d'ouverture de son directeur de campagne, le député de Seine-Saint-Denis Mathieu Hanotin, et des cartes blanches à des personnalités de la société civile, dont le résistant, banquier et économiste Claude Alphandéry, et Elisa Lewis, représentante du collectif Démocratie ouverte.
La veille, les participants auront planché sur le terrorisme djihadiste ("Que dit-il de nous ? Quelles politiques par-delà la réponse sécuritaire?"), sur la crise démocratique, sur la croissance ("Courir après quelques dixièmes de croissance a-t-il un sens ?), sur le projet européen, sur les discriminations, sur l'éducation et sur la stratégie présidentielle.
Le député des Yvelines, qui est l'un des chefs de file des frondeurs, revendique le parrainage d'une vingtaine de parlementaires, parmi lesquels les députés Régis Juanico, Pascal Cherki, Barbara Romagnan, ou Gérard Sebaoun, et les députés européens Guillaume Balas et Isabelle Thomas.
Des proches de Martine Aubry le soutiennent aussi, comme les députés Hervé Féron et Gwenegan Bui.
M. Hamon avait pris de vitesse la semaine dernière son ancien comparse Arnaud Montebourg, en annonçant quelques jours avant lui sa candidature à la présidentielle, via la primaire de la BAP.
Parmi les points qui les distinguent, une question de fond -M. Hamon, loin du productivisme de M. Montebourg, ne "comprend pas qu'on s'attache à un modèle de développement qui suppose un tel coût social, un tel coût pour l'environnement"-, et une question stratégique: son entourage ne juge "pas sérieux" le flou entretenu par l'ancien ministre de l'Economie sur sa participation ou non à la primaire.
M. Hamon veut aussi faire de sa candidature une démarche "collective", loin de la posture d'homme providentiel endossée par un Jean-Luc Mélenchon ou même un Arnaud Montebourg.
Représentant des frondeurs, M. Hamon a oeuvré ces derniers mois à des convergences "rouge-rose-Verts", notamment sur la loi travail, et se targue d'être le mieux placé dans son camp pour nouer des alliances avec les communistes et les écologistes.
Interrogé par l'AFP, un cadre communiste se montre pourtant plutôt sévère par rapport à cette candidature. Autant Arnaud Montebourg "a mis des choses sur la table sur lesquels on peut converger", autant la candidature de M. Hamon a "fait pschitt", selon ce responsable du PCF.
"Hamon, on est au niveau bac à sable du congrès PS. Ce n'est pas à la hauteur des enjeux du pays", raille cette source.
Hervé Féron avec Najat Vallaud-Belkacem
et la réalisatrice yéménite, Khadija Al-Salami
Intervention d'Hervé Féron en Séance Publique pour les victimes de la répression
de la Commune de Paris
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