Agir pour vous et avec vous

Jour : 6 septembre 2012

Mado…

Depuis des années, dans la plupart de nos réunions du Parti Socialiste, dans la plupart de nos moments de combat, de fête, de campagne, nous croisions une personnalité étonnante, que tout le monde appréciait, et que chacun appelait Mado.

C’est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès de Madeleine Gnaedig à l’âge de 91 ans. Mado a très souvent soutenu mes campagnes. Elle était encore là lors de nos législatives. Elle était la doyenne d’âge au Parti Socialiste, mais elle était également doyenne en années d’adhésion. Les jeunes du P.S. avaient également beaucoup d’affection pour elle. Ils la surnommaient « la mamie des MJS ».

Mado avait toujours des choses à raconter, pleine de vie et d’espoir, elle était un modèle pour tous. Cette petite personne aux cheveux blancs et aux yeux bleus qui pétillaient de malice avait eu une vie faite de combats, de valeurs et de convictions.

Fille d’un boulanger des mines du Pays Haut, Mado aimait raconter la période où elle travaillait à la Metro-Goldwyn-Mayer. Elle a connu 1936, elle s’est toujours engagée pour le droit des femmes et pour la justice sociale. Chacun avait plaisir à l’écouter, tant elle avait de choses à nous apprendre. Même à la fin de sa vie, Mado souhaitait rester indépendante, autonome, pour se déplacer, pour venir aux réunions, alors que sa santé se dégradait. C’est une vraie force qui s’est éteinte. Nous avions beaucoup d’amitié et de tendresse pour elle. On n’est pas prêt d’oublier Mado. Nous sommes tristes…

Choucroute municipale des séniors à Villers

Hervé Féron, à l’invitation de Pascal Jacquemin, maire de Villers-lès-Nancy, a eu le plaisir de partager la choucroute annuelle des séniors, à la salle des Ecraignes à Villers-lès-Nancy, aux côtés des adjoints et conseillers municipaux de Villers, et de Mme Blandine Souvay, Présidente du Comité des Fêtes.

300 séniors lundi à midi, 300 séniors mardi à midi, et beaucoup de bonne humeur !

Choucroute des séniors à Villers

A propos du non cumul.

Je me suis expliqué très largement. Vous êtes très nombreux à me témoigner votre soutien et à me dire que j’ai raison sur le fond et sur la forme. 

Les journalistes locaux, qui ne relaient jamais mes communiqués de presse, qui ne sont absolument pas intéressés par tout ce que je fais quotidiennement en tant que député et en tant que maire, et qui souvent ont soutenu la campagne de mon adversaire UMP aux législatives, se sont emparés de ce débat pour mettre de l’huile sur le feu et développer l’idée d’une soi-disant fracture au sein du PS. 

Et bien sûr, ceux qui jouent les étonnés candides et qui déclarent qu’il ne devrait pas y avoir d’attaque personnelle, sont ceux-là même qui fonctionnent de façon clanique, et qui nous attaquent personnellement depuis des mois, nous, parlementaires socialistes, comme si nous étions des pestiférés.

Pour information, le Parti Socialiste, au niveau national, a lancé une pétition contre nous. Ils ont réuni à ce jour 2.468 signatures au NIVEAU NATIONAL ! Sur ma seule circonscription, j’ai été élu par 21.803 électeurs… 

Par ailleurs, je vous laisse juge de cette phrase écrite par Martine Aubry : « Tout élu (socialiste), parlementaire, qui abandonnera son mandat exécutif local, devra avoir préparé avec le Parti les modalités de sa succession ».

Je suis scandalisé par ses propos, je suis un Républicain, respectueux du vote des électeurs. Il n’appartient pas à un parti de désigner le successeur d’un maire. Cela choquera une grande majorité des citoyens dans ce pays. Ces façons de fonctionner ne sont pas des méthodes républicaines. 

Merci à vous tous, très nombreux, qui me soutenez.