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Jour : 12 septembre 2013 (Page 1 de 2)


 50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014.

Le Président Rossinot veut tout maîtriser et, pour ce faire, il a une capacité à empêcher les initiatives, ou à geler les projets de développement, il distribue les avantages à ses amis pour tenter de conserver une majorité, il organise un traitement inégalitaire des communes et des quartiers sur l’agglomération nancéienne. Tout cela va à l’encontre de l’intérêt public et de la cohésion sociale. Les Grands Nancéiens souffrent. Nous développerons d’ici à 2014, « 50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014 », par la présentation de 50 dossiers, des petits dossiers, qui paraissent insignifiants, tant ils passent inaperçus, ou encore de gros dossiers… qui paraissent insignifiants tant ils passent inaperçus !


 

Dossier n° 22 – 12 septembre 2013

ENTRE MEURTHE-ET-CANAL, UN PROJET QUI TOMBE A L’EAU

 

 

Reconquérir les bords de Meurthe et redynamiser le centre-ville nancéien, c’était l’un des objectifs phares d’André Rossinot en matière d’aménagement et de développement économique. Cette ambition devait se concrétiser par la réhabilitation du secteur Entre Meurthe-et-Canal, une ancienne zone industrielle de près de 300 hectares sur le déclin depuis la seconde moitié du 20ème siècle.

L’idée était loin d’être mauvaise mais loin d’être inédite également puisqu’après des décennies où les centres-villes ont été désertés, on assiste à un réinvestissement progressif dans la plupart des grandes agglomérations françaises. Le projet était tellement attirant sur le papier que la déception quant aux réalisations est d’autant plus grande. Certes, Rome ne s’est pas construite en un jour, la reconquête de friches d’une telle superficie nécessite du temps, mais les résultats dans la pratique sont décevants après 40 ans d’études et de constructions effrénées. C’est ainsi le bilan que l’on peut tirer du projet-clé d’André Rossinot, malgré ses ambitions et son acharnement pour prioriser cette zone au détriment des autres secteurs de l’agglomération.

Ce qui était censé constituer une vitrine du Grand Nancy a tourné au fiasco malgré les propos de la majorité communautaire à son sujet. « Les Rives de Meurthe conjuguent harmonieusement espaces publics, habitat, équipement (faute d’orthographe comprise) culturels, sportifs et de loisirs, activités économiques et grandes écoles ». C’est ainsi que ce quartier était présenté au mois de novembre dernier par la CUGN dans son livret d’accueil à l’occasion des 40èmes journées des Communautés Urbaines de France à Nancy. Une présentation alléchante mais loin de concorder à la réalité.

 

En termes d’harmonie, on s’attendait à mieux. Il faut reconnaître que l’architecture est très différente suivant les secteurs. Les nouveaux bâtiments de la ZAC Stanislas Meurthe au niveau du boulevard de la Mothe sont certes modernes, avec certains édifices à l’architecture réussie ou du moins osée, limite futuriste (l’Ecole d’Architecture qui est implantée n’y est probablement pas étrangère). De là, à considérer cette zone comme esthétique, même l’entourage (ou l’ex-entourage) du Président de la CUGN ne s’y risque pas… Rappelons-nous quelques qualificatifs employés par Madame Hervé : « ce n’est pas Meurthe-et-Canal, c’est Meurtre-et-Canal » « qui ressemble davantage à une ZUP » Quelques espaces verts et la promenade le long de la Meurthe permettent de briser la monotonie de la ZAC. Cependant, l’essentiel de ce quartier se caractérise par sa banalité. Une succession de bâtiments identiques, collés les uns aux autres et alignés le long de la voirie existante, rien d’exceptionnel en somme. On est surtout frappé par le bétonnage massif et l’entassement généralisé qui domine ce secteur. Le contraste est par ailleurs saisissant quand on se dirige vers l’Est et la ZAC d’Austrasie – Marcel Brot. D’un quartier flambant neuf, on atterrit dans une zone qui apparaît sinistrée, délaissée bien qu’elle devait s’inscrire dans le prolongement des actions menées sur Stanislas Meurthe. La proximité de l’A330 n’aura pas suffi à redynamiser le quartier.

 

L’harmonie est discutable, pour les activités économiques, on repassera plus tard ! C’est là probablement que le bât blesse le plus. Alors que de nombreuses implantations de bureaux, de commerces et autres activités en tout genre étaient prévues par la Communauté Urbaine, force est de constater que les entreprises ne se sont pas bousculées pour investir le secteur. Certains immeubles sont aussi vides que l’immeuble Thiers, érigé à proximité immédiate de la Gare de Nancy, a pu l’être… Si plusieurs implantations ont toutefois eu lieu, on trouve de tout et n’importe quoi sans spécialisation précise alors que les pôles commerciaux de la périphérie ont su se tourner vers l’automobile ou les achats du quotidien.

Le quartier Stanislas-Meurthe, lui, s’est orienté vers la résidentialisation. A l’exception d’un centre commercial flambant neuf et de quelques commerces de proximité, on ne voit pas trop les activités économiques et industrielles présentes, probablement parce qu’elles sont inexistantes. Par contre, l’entassement est flagrant, les espaces verts absents. On concentre les gens sans songer à leur bien-être, ni prévoir les équipements nécessaires pour permettre à tous de cohabiter paisiblement dans un espace aussi réduit. On se rappelle ainsi de l’émotion des commerçants lorsqu’ils ont appris soudainement que le stationnement devenait payant dans leur quartier, boulevard d’Austrasie. Où est la qualité de vivre ensemble ? Le tram dessert effectivement la zone mais quand on connaît ses nombreux déboires qui alimentent régulièrement la chronique…

Un autre échec flagrant, c’est celui de la friche Alstom. Implantée de façon historique rue Oberlin, l’usine déménage au début des années 2000 sur le site de Champigneulles, laissant derrière elle un ensemble urbain composé de 12 bâtiments s’étendant sur près de 34.000 m². A cette époque, le Président de la Communauté Urbaine avait de grandes ambitions pour réhabiliter ce terrain. Aujourd’hui, à l’image des environs, bien peu de choses ont été entreprises pour redynamiser ce secteur. Certes, le site a été déblayé et dépollué pour un montant de 1,8 million d’euros mais quelles activités sont venues reconquérir le site ? Le bilan est bien maigre pour une « volonté » politique manifestée depuis plus de 10 ans ! Pourtant, la superficie et l’emplacement de ce terrain sont susceptibles d’accueillir des projets innovants, qui ne pourraient trouver ailleurs l’espace suffisant à leurs activités.

On tire le même constat pour le Technopole Renaissance, tout juste inauguré en juin dernier et en grande pompe. Que n’a-t-on pas entendu à cette occasion de la part du maire de Nancy ? « Exceptionnel moment d’invention », « j’ai dit que nous allions devenir une agglomération technopolitaine numérique ». Où est l’innovation, la créativité ? Concentrer sur un même site des activités déjà existantes ? Rien d’innovant à part peut-être à Nancy, on souhaiterait que les autres zones soient organisées suivant la même idée. On attend toujours pour la création d’emplois. Le regroupement pour former un « pôle métropolitain européen » en génie urbain ? Un pari et une ambition aussi démesurée que pour le reste de la zone.

 

Dans le même temps, les autres secteurs dits « à enjeux » attendent toujours le feu vert du Président Rossinot pour obtenir le droit de se développer alors que des projets à forte valeur ajoutée ont été proposés. A Tomblaine, la commercialisation de la ZAC du Bois-la-Dame a enfin pu débuter mais la croissance de la Plaine Flageul est toujours entravée. Profitant de sa compétence urbanistique, le Président de la Communauté Urbaine a tout fait pour favoriser la ville de Nancy et vanter ainsi son bilan en matière de développement économique sur cette commune à des fins électoralistes et au détriment des autres communes avoisinantes. Cependant, la situation a tourné au fiasco, avec un projet comme toujours conçu avec précipitation, sans réflexion approfondie préalable et sans vision à long terme, empêchant de faire les choix appropriés pour l’avenir du Grand Nancy.

André Rossinot a empêché le développement de l’ensemble de l’agglomération. En cette période d’incertitude et de grande souffrance, un tel comportement ne peut pas laisser indifférent les Grands Nancéiens, qui méritent mieux que ces tripatouillages et petits calculs politiques. Ces espaces auraient pu participer à la redynamisation de l’agglomération, mais cela reste pour le moment un flop et un échec retentissant pour le Président du Grand Nancy.

 

Une bonne raison de plus pour changer de majorité à la Communauté Urbaine en 2014.

 


 50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014.

Le Président Rossinot veut tout maîtriser et, pour ce faire, il a une capacité à empêcher les initiatives, ou à geler les projets de développement, il distribue les avantages à ses amis pour tenter de conserver une majorité, il organise un traitement inégalitaire des communes et des quartiers sur l’agglomération nancéienne. Tout cela va à l’encontre de l’intérêt public et de la cohésion sociale. Les Grands Nancéiens souffrent. Nous développerons d’ici à 2014, « 50 bonnes raisons pour que la droite ne soit plus majoritaire à la Communauté Urbaine du Grand Nancy en 2014 », par la présentation de 50 dossiers, des petits dossiers, qui paraissent insignifiants, tant ils passent inaperçus, ou encore de gros dossiers… qui paraissent insignifiants tant ils passent inaperçus !


 

Dossier n° 22 – 12 septembre 2013

ENTRE MEURTHE-ET-CANAL, UN PROJET QUI TOMBE A L’EAU

 

 

Reconquérir les bords de Meurthe et redynamiser le centre-ville nancéien, c’était l’un des objectifs phares d’André Rossinot en matière d’aménagement et de développement économique. Cette ambition devait se concrétiser par la réhabilitation du secteur Entre Meurthe-et-Canal, une ancienne zone industrielle de près de 300 hectares sur le déclin depuis la seconde moitié du 20ème siècle.

L’idée était loin d’être mauvaise mais loin d’être inédite également puisqu’après des décennies où les centres-villes ont été désertés, on assiste à un réinvestissement progressif dans la plupart des grandes agglomérations françaises. Le projet était tellement attirant sur le papier que la déception quant aux réalisations est d’autant plus grande. Certes, Rome ne s’est pas construite en un jour, la reconquête de friches d’une telle superficie nécessite du temps, mais les résultats dans la pratique sont décevants après 40 ans d’études et de constructions effrénées. C’est ainsi le bilan que l’on peut tirer du projet-clé d’André Rossinot, malgré ses ambitions et son acharnement pour prioriser cette zone au détriment des autres secteurs de l’agglomération.

Ce qui était censé constituer une vitrine du Grand Nancy a tourné au fiasco malgré les propos de la majorité communautaire à son sujet. « Les Rives de Meurthe conjuguent harmonieusement espaces publics, habitat, équipement (faute d’orthographe comprise) culturels, sportifs et de loisirs, activités économiques et grandes écoles ». C’est ainsi que ce quartier était présenté au mois de novembre dernier par la CUGN dans son livret d’accueil à l’occasion des 40èmes journées des Communautés Urbaines de France à Nancy. Une présentation alléchante mais loin de concorder à la réalité.

 

En termes d’harmonie, on s’attendait à mieux. Il faut reconnaître que l’architecture est très différente suivant les secteurs. Les nouveaux bâtiments de la ZAC Stanislas Meurthe au niveau du boulevard de la Mothe sont certes modernes, avec certains édifices à l’architecture réussie ou du moins osée, limite futuriste (l’Ecole d’Architecture qui est implantée n’y est probablement pas étrangère). De là, à considérer cette zone comme esthétique, même l’entourage (ou l’ex-entourage) du Président de la CUGN ne s’y risque pas… Rappelons-nous quelques qualificatifs employés par Madame Hervé : « ce n’est pas Meurthe-et-Canal, c’est Meurtre-et-Canal » « qui ressemble davantage à une ZUP » Quelques espaces verts et la promenade le long de la Meurthe permettent de briser la monotonie de la ZAC. Cependant, l’essentiel de ce quartier se caractérise par sa banalité. Une succession de bâtiments identiques, collés les uns aux autres et alignés le long de la voirie existante, rien d’exceptionnel en somme. On est surtout frappé par le bétonnage massif et l’entassement généralisé qui domine ce secteur. Le contraste est par ailleurs saisissant quand on se dirige vers l’Est et la ZAC d’Austrasie – Marcel Brot. D’un quartier flambant neuf, on atterrit dans une zone qui apparaît sinistrée, délaissée bien qu’elle devait s’inscrire dans le prolongement des actions menées sur Stanislas Meurthe. La proximité de l’A330 n’aura pas suffi à redynamiser le quartier.

 

L’harmonie est discutable, pour les activités économiques, on repassera plus tard ! C’est là probablement que le bât blesse le plus. Alors que de nombreuses implantations de bureaux, de commerces et autres activités en tout genre étaient prévues par la Communauté Urbaine, force est de constater que les entreprises ne se sont pas bousculées pour investir le secteur. Certains immeubles sont aussi vides que l’immeuble Thiers, érigé à proximité immédiate de la Gare de Nancy, a pu l’être… Si plusieurs implantations ont toutefois eu lieu, on trouve de tout et n’importe quoi sans spécialisation précise alors que les pôles commerciaux de la périphérie ont su se tourner vers l’automobile ou les achats du quotidien.

Le quartier Stanislas-Meurthe, lui, s’est orienté vers la résidentialisation. A l’exception d’un centre commercial flambant neuf et de quelques commerces de proximité, on ne voit pas trop les activités économiques et industrielles présentes, probablement parce qu’elles sont inexistantes. Par contre, l’entassement est flagrant, les espaces verts absents. On concentre les gens sans songer à leur bien-être, ni prévoir les équipements nécessaires pour permettre à tous de cohabiter paisiblement dans un espace aussi réduit. On se rappelle ainsi de l’émotion des commerçants lorsqu’ils ont appris soudainement que le stationnement devenait payant dans leur quartier, boulevard d’Austrasie. Où est la qualité de vivre ensemble ? Le tram dessert effectivement la zone mais quand on connaît ses nombreux déboires qui alimentent régulièrement la chronique…

Un autre échec flagrant, c’est celui de la friche Alstom. Implantée de façon historique rue Oberlin, l’usine déménage au début des années 2000 sur le site de Champigneulles, laissant derrière elle un ensemble urbain composé de 12 bâtiments s’étendant sur près de 34.000 m². A cette époque, le Président de la Communauté Urbaine avait de grandes ambitions pour réhabiliter ce terrain. Aujourd’hui, à l’image des environs, bien peu de choses ont été entreprises pour redynamiser ce secteur. Certes, le site a été déblayé et dépollué pour un montant de 1,8 million d’euros mais quelles activités sont venues reconquérir le site ? Le bilan est bien maigre pour une « volonté » politique manifestée depuis plus de 10 ans ! Pourtant, la superficie et l’emplacement de ce terrain sont susceptibles d’accueillir des projets innovants, qui ne pourraient trouver ailleurs l’espace suffisant à leurs activités.

On tire le même constat pour le Technopole Renaissance, tout juste inauguré en juin dernier et en grande pompe. Que n’a-t-on pas entendu à cette occasion de la part du maire de Nancy ? « Exceptionnel moment d’invention », « j’ai dit que nous allions devenir une agglomération technopolitaine numérique ». Où est l’innovation, la créativité ? Concentrer sur un même site des activités déjà existantes ? Rien d’innovant à part peut-être à Nancy, on souhaiterait que les autres zones soient organisées suivant la même idée. On attend toujours pour la création d’emplois. Le regroupement pour former un « pôle métropolitain européen » en génie urbain ? Un pari et une ambition aussi démesurée que pour le reste de la zone.

 

Dans le même temps, les autres secteurs dits « à enjeux » attendent toujours le feu vert du Président Rossinot pour obtenir le droit de se développer alors que des projets à forte valeur ajoutée ont été proposés. A Tomblaine, la commercialisation de la ZAC du Bois-la-Dame a enfin pu débuter mais la croissance de la Plaine Flageul est toujours entravée. Profitant de sa compétence urbanistique, le Président de la Communauté Urbaine a tout fait pour favoriser la ville de Nancy et vanter ainsi son bilan en matière de développement économique sur cette commune à des fins électoralistes et au détriment des autres communes avoisinantes. Cependant, la situation a tourné au fiasco, avec un projet comme toujours conçu avec précipitation, sans réflexion approfondie préalable et sans vision à long terme, empêchant de faire les choix appropriés pour l’avenir du Grand Nancy.

André Rossinot a empêché le développement de l’ensemble de l’agglomération. En cette période d’incertitude et de grande souffrance, un tel comportement ne peut pas laisser indifférent les Grands Nancéiens, qui méritent mieux que ces tripatouillages et petits calculs politiques. Ces espaces auraient pu participer à la redynamisation de l’agglomération, mais cela reste pour le moment un flop et un échec retentissant pour le Président du Grand Nancy.

 

Une bonne raison de plus pour changer de majorité à la Communauté Urbaine en 2014.

 

Nous venons d’apprendre le décès d’Albert JACQUARD. C’est pour moi une grande émotion, je l’avais rencontré une première fois à Paris puis à nouveau à Tomblaine et à Vandoeuvre.

Il était un grand philosophe humaniste et scientifique. Nous n’oublions rien de ses engagements et de son militantisme. Albert JACQUARD, éternellement confiant et enthousiaste, nous manque déjà.

 

Nous venons d’apprendre le décès d’Albert JACQUARD. C’est pour moi une grande émotion, je l’avais rencontré une première fois à Paris puis à nouveau à Tomblaine et à Vandoeuvre.

Il était un grand philosophe humaniste et scientifique. Nous n’oublions rien de ses engagements et de son militantisme. Albert JACQUARD, éternellement confiant et enthousiaste, nous manque déjà.

 

En fin de matinée, Hervé Féron s’est rendu au CHU de Nancy, où le personnel organisait une action visant à attirer l’attention des pouvoirs publics sur la situation financière de cette structure et sur la nécessité d’une intervention de l’Etat.

 

Hervé Féron rappelle la responsabilité d’André Rossinot en tant que président du Conseil de Surveillance dans ce naufrage financier. Depuis plusieurs années, le Maire de Nancy – Président de la Communauté Urbaine – Président du Conseil de Surveillance du CHU cumule les dettes dans l’exercice de ses différentes responsabilités. Hervé Féron a dénoncé cette situation à plusieurs reprises et depuis longtemps sur ce blog (voir « La petite bête qui monte qui monte qui monte… » et « Et l’on reparle de la dette« ).

Par ailleurs, André Rossinot, en tant que membre de l’ancienne majorité de droite, a toujours soutenu Nicolas Sarkozy qui a organisé le déficit de l’hôpital public avec la généralisation de la tarification à l’activité (T2A) en 2008.

Hervé Féron regrette aujourd’hui que la facilité dans la presse locale soit de mettre l’accent sur la difficulté dans laquelle le Gouvernement actuel se trouve sans poser la problématique de la mauvaise gestion d’André Rossinot.

 

Hervé Féron au CHU de Nancy

 

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