Agir pour vous et avec vous

Mois : septembre 2013 (Page 3 de 13)

Un petit encart dans l’Est Républicain, fort bien écrit, rend hommage à Maurice Olls qui vient de nous quitter. Maurice Olls est un grand poète, il a consacré toute sa vie à la chanson française de qualité. Cette qualité qui faisait qu’il n’a jamais été médiatisé et qu’il a plus fréquenté les scènes régionales, mais le métier le connaissait et le reconnaissait. Au-delà de ses belles chansons, il y avait l’homme si attachant. Maurice Olls nous a quittés, on gardera longtemps encore le souvenir de ce personnage écorché-vif mais attachant, on gardera encore longtemps dans la tête ses chansons.

 

 

Un petit encart dans l’Est Républicain, fort bien écrit, rend hommage à Maurice Olls qui vient de nous quitter. Maurice Olls est un grand poète, il a consacré toute sa vie à la chanson française de qualité. Cette qualité qui faisait qu’il n’a jamais été médiatisé et qu’il a plus fréquenté les scènes régionales, mais le métier le connaissait et le reconnaissait. Au-delà de ses belles chansons, il y avait l’homme si attachant. Maurice Olls nous a quittés, on gardera longtemps encore le souvenir de ce personnage écorché-vif mais attachant, on gardera encore longtemps dans la tête ses chansons.

 

 

Le match Metz-Nancy a été bien évidemment très dur à vivre pour qui supporte l’équipe de l’AS Nancy-Lorraine. Cette équipe qui manifestement n’avait pas le niveau de la Ligue 1 aujourd’hui semble avoir quelques faiblesses pour la Ligue 2 : manque d’engagement, trop de petits gabarits… Mais ça, c’est le sport et on ne peut que souhaiter à Patrick Gabriel et à son équipe de redresser la barre très vite.

En marge du sport, je devrais dire même dans un domaine qui n’a rien à voir du tout avec le sport, il y a le comportement honteux  de 200 pseudo-supporters. Rien n’excuse ce comportement lamentable. Le match a été interrompu quelques minutes au bout de 3 minutes de jeu à cause d’imbéciles qui ne méritent pas d’avoir le droit d’entrer dans une enceinte sportive. Quand on insulte, quand on profère des menaces, ou des insultes racistes ou homophobes, quand on bombarde d’objets divers les joueurs de l’équipe adverse ou les supporters, quand on arrache les sièges du stade pour s’en servir de projectiles, quand on introduit des fumigènes et des pétards si puissants qu’on pourrait considérer que ce sont des armes, on ne mérite pas le qualificatif de supporter. Ce n’est en aucun cas le niveau de l’équipe de footballeurs nancéen qui a gâché la fête mais le comportement de ces quelques dizaines de spectateurs

 A cause d’eux, le club sera sanctionné mais plus que cela, à cause de ce genre d’énergumènes, d’importants moyens doivent être mobilisés. Quand on voit une compagnie de CRS sur place, les nombreux stadiers, les policiers, toutes ces personnes qui sont menacées, insultées par ces pseudo-supporters, on a honte de voir ce que l’on voit. Je parle d’un comportement primaire, bestial. Il faut interdire l’accès aux tribunes de tous ces énergumènes, même s’ils sont 150 ou 200. Dans une société civilisée, un tel comportement délictuel et systématique est inadmissible. Ayons le courage de le dire, ayons le courage de le faire.

Quand après le match ces énergumènes sont parqués jusque tard dans la nuit pour éviter que les incidents ne dégénèrent encore plus à l’extérieur du stade, ils sont raccompagnés depuis Metz jusqu’au stade Marcel Picot à Tomblaine, encadrés par de nombreuses voitures de police devant et des véhicules de CRS derrière. Convoi officiel avec gyrophare. Je pose une question toute simple : qui paie la note, combien tout cela coûte-t-il au contribuable ? Je ne demande pas à ce que ce soit le club qui soit en plus pénalisé, je rêve tout simplement que l’on nous fasse la note et que les casseurs de ce mardi soir soient identifiés et se partagent la facture. Chiche ?

 

Le match Metz-Nancy a été bien évidemment très dur à vivre pour qui supporte l’équipe de l’AS Nancy-Lorraine. Cette équipe qui manifestement n’avait pas le niveau de la Ligue 1 aujourd’hui semble avoir quelques faiblesses pour la Ligue 2 : manque d’engagement, trop de petits gabarits… Mais ça, c’est le sport et on ne peut que souhaiter à Patrick Gabriel et à son équipe de redresser la barre très vite.

En marge du sport, je devrais dire même dans un domaine qui n’a rien à voir du tout avec le sport, il y a le comportement honteux  de 200 pseudo-supporters. Rien n’excuse ce comportement lamentable. Le match a été interrompu quelques minutes au bout de 3 minutes de jeu à cause d’imbéciles qui ne méritent pas d’avoir le droit d’entrer dans une enceinte sportive. Quand on insulte, quand on profère des menaces, ou des insultes racistes ou homophobes, quand on bombarde d’objets divers les joueurs de l’équipe adverse ou les supporters, quand on arrache les sièges du stade pour s’en servir de projectiles, quand on introduit des fumigènes et des pétards si puissants qu’on pourrait considérer que ce sont des armes, on ne mérite pas le qualificatif de supporter. Ce n’est en aucun cas le niveau de l’équipe de footballeurs nancéen qui a gâché la fête mais le comportement de ces quelques dizaines de spectateurs

 A cause d’eux, le club sera sanctionné mais plus que cela, à cause de ce genre d’énergumènes, d’importants moyens doivent être mobilisés. Quand on voit une compagnie de CRS sur place, les nombreux stadiers, les policiers, toutes ces personnes qui sont menacées, insultées par ces pseudo-supporters, on a honte de voir ce que l’on voit. Je parle d’un comportement primaire, bestial. Il faut interdire l’accès aux tribunes de tous ces énergumènes, même s’ils sont 150 ou 200. Dans une société civilisée, un tel comportement délictuel et systématique est inadmissible. Ayons le courage de le dire, ayons le courage de le faire.

Quand après le match ces énergumènes sont parqués jusque tard dans la nuit pour éviter que les incidents ne dégénèrent encore plus à l’extérieur du stade, ils sont raccompagnés depuis Metz jusqu’au stade Marcel Picot à Tomblaine, encadrés par de nombreuses voitures de police devant et des véhicules de CRS derrière. Convoi officiel avec gyrophare. Je pose une question toute simple : qui paie la note, combien tout cela coûte-t-il au contribuable ? Je ne demande pas à ce que ce soit le club qui soit en plus pénalisé, je rêve tout simplement que l’on nous fasse la note et que les casseurs de ce mardi soir soient identifiés et se partagent la facture. Chiche ?

 

Comme convenu, Chaynesse Khirouni et moi-même avions rendez-vous avec des collaborateurs de la Ministre de la Santé ce mercredi à 17h au Ministère. L’entretien s’est déroulé dans d’excellentes conditions, nous avons vraiment eu le sentiment d’une part d’être entendus, d’autre part que les collaborateurs de la Ministre et la Ministre elle-même étaient parfaitement au courant de la situation du CHU de Nancy et qu’ils se sont appropriés le problème depuis longtemps.

Nous avons pu expliquer notre position, nous avons entendu au Ministère qu’il a été remarqué la grande inélégance d’André Rossinot lorsque « celui-ci a communiqué dans la presse locale sur le fait qu’il aurait eu un rendez-vous avec le Premier Ministre à propos du CHU ». André Rossinot était à Matignon comme nous-mêmes le jour de la présentation du Pacte Lorrain mais en aucun cas il n’a eu de rendez-vous avec le Premier Ministre pour parler du CHU. Au Ministère, on nous parle « d’inélégance sur une mise en scène d’un rendez-vous qui n’a jamais eu lieu ». Tout cela est scandaleux quand on connaît la responsabilité personnelle d’André Rossinot sur l’endettement du CHU, de la ville de Nancy et de la Communauté Urbaine en cumulé. Mais, il continue à donner des leçons.

Sur consigne de la Ministre, il nous a été dit à Chaynesse Khirouni et moi-même que l’IGAS était missionnée non pas pour un contrôle mais bien pour appuyer le Directeur du CHU dans son travail face aux difficultés actuelles. Il nous a été promis un prochain rendez-vous directement avec la Ministre de la Santé. C’est d’ailleurs ce que nous souhaitions puisqu’il était clair que ce premier rendez-vous avec les collaborateurs de la Ministre visait à préparer une rencontre la plus directe possible au sujet du CHU de Nancy. Il nous a été affirmé qu’il y aurait une aide nationale, le COPERMO du mois de novembre (le COPERMO est le Comité Interministériel de la Performance et de la Modernisation de l’Offre de Soins Hospitaliers) permettra d’identifier le montant de l’aide qui devrait être vraisemblablement contractualisée sur 3 années.

En résumé, on se félicite de la qualité de l’écoute et de l’échange et sans faire de promesses inconsidérées, le Gouvernement a clairement affiché son soutien au CHU de Nancy et sa volonté de participer à la recherche d’une solution enfin efficace.

 

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