Agir pour vous et avec vous

Mois : août 2017 (Page 3 de 5)

(1ère partie : « En mission pour les banques »).

Quand on est banquier chez Rotschild, on ne devient pas Président de la République par hasard. On  le prévoit, on l’organise, tout est forcément savamment programmé. On est l’envoyé des banques, défenseur de leurs seuls intérêts, on a intérêt personnel à les défendre, on est chargé de mission. Qui aurait la naïveté de penser que cela pourrait se passer autrement ?
Alors, on fait campagne sur une image déjà bling-bling à s’égosiller, à grands coups de meetings à hurler le rêve à vendre à poumons perdus. On fait croire aux pauvres qu’on va s’occuper d’eux…

On fait rêver sur le terrain du populisme labouré depuis des années par les médias démagos (pléonasme ?), sur le thème du jeunisme, du dégagisme,… Macron ne propose rien de nouveau. On nous dit qu’il serait moderne, mais être moderne ne signifie pas être dans le progrès. Dans « moderne », il y a « mode »… Et dans l’histoire, la mode a toujours été ce qui peut arriver de pire au peuple, la mode abrutit le Peuple et lui fait gober n’importe quoi. Mais voilà, à trop s’égosiller, on finit par avoir une voix de fausset…

Alors, n’y a-t-il pas urgence à ce que les médias, qui nous ont vendu le phénomène, qui l’ont porté (et qui continuent à le faire), se réveillent par devoir citoyen et qu’on nous apporte de vraies informations ?

Le candidat des banques se moque du peuple, il n’a qu’un objectif : se ranger au diktat de Merkel, auquel François Hollande n’avait déjà que trop fait allégeance : pour résorber le déficit de la France (réduire le déficit public annuel à 3% du PIB) et ainsi mieux rembourser les banques… Ces mêmes banques que le gouvernement Sarkozy a renfloué (toujours avec vos impôts) sans contreparties, lors de la crise de 2008 !
La boucle est bouclée…

L’Etat avait alors apporté sa garantie aux banques pour leur permettre d’emprunter sur les marchés, mais sans entrer au capital de ces banques (comme l’avait fait Barack Obama) ce qui lui aurait permis d’avoir la main sur les orientations financières, d’orienter le financement des banques sur le développement économique et la relance de l’activité, plutôt que de choisir la spéculation financière qui, elle, ne crée pas d’activté…

Savez-vous que l’ensemble de l’impôt sur le revenu (donc votre argent) suffit tout juste à payer les intérêts de la dette qui est un des premiers budgets de la nation ?

Quelle pourrait-être la solution qui permettrait d’améliorer les conditions de vie du Peuple ?

Dans un rapport publié en 2013 par le think tank Génération Libre, il était proposé un moratoire de trois ans sur les taux d’intérêts : il suffirait que le Parlement vote l’introduction de Cacs (clauses d’action collective) dans les contrats obligataires pour que le gouvernement puisse ouvrir les pourparlers avec les détenteurs d’obligations, dont la perte réelle ne devrait pas dépasser 10 %. Pour être efficace et avoir une chance d’être accepté par le marché, il va sans dire que ce moratoire devrait s’accompagner d’un choc de libéralisation sans précédent, selon la logique du «payer pour réformer» (rachat des rentes). La charge d’intérêt «économisée», soit environ 170 milliards d’euros, serait donc consacrée au financement des réformes structurelles qu’aucun gouvernement n’a été capable de mettre en œuvre depuis trente ans. C’est la recette classique qui si souvent fut mise en œuvre pour les pays en voie de développement par… le Club de Paris !

Emmanuel Macron, chargé de mission des banques, infiltré dans le gouvernement Hollande-Valls, ministre de l’économie, porte largement sa part de responsabilités passées, aujourd’hui il les renie, mais il ne change pas de cap.
Le rêve est d’ores et déjà terni. Pour financer l’effort national qu’Emmanuel Macron nous imposera pour mener à bien son projet, les Communes et l’Education Populaire sont les premières variables d’ajustement budgétaire.
A suivre…

(1ère partie : « En mission pour les banques »).

Quand on est banquier chez Rotschild, on ne devient pas Président de la République par hasard. On  le prévoit, on l’organise, tout est forcément savamment programmé. On est l’envoyé des banques, défenseur de leurs seuls intérêts, on a intérêt personnel à les défendre, on est chargé de mission. Qui aurait la naïveté de penser que cela pourrait se passer autrement ?
Alors, on fait campagne sur une image déjà bling-bling à s’égosiller, à grands coups de meetings à hurler le rêve à vendre à poumons perdus. On fait croire aux pauvres qu’on va s’occuper d’eux…

On fait rêver sur le terrain du populisme labouré depuis des années par les médias démagos (pléonasme ?), sur le thème du jeunisme, du dégagisme,… Macron ne propose rien de nouveau. On nous dit qu’il serait moderne, mais être moderne ne signifie pas être dans le progrès. Dans « moderne », il y a « mode »… Et dans l’histoire, la mode a toujours été ce qui peut arriver de pire au peuple, la mode abrutit le Peuple et lui fait gober n’importe quoi. Mais voilà, à trop s’égosiller, on finit par avoir une voix de fausset…

Alors, n’y a-t-il pas urgence à ce que les médias, qui nous ont vendu le phénomène, qui l’ont porté (et qui continuent à le faire), se réveillent par devoir citoyen et qu’on nous apporte de vraies informations ?

Le candidat des banques se moque du peuple, il n’a qu’un objectif : se ranger au diktat de Merkel, auquel François Hollande n’avait déjà que trop fait allégeance : pour résorber le déficit de la France (réduire le déficit public annuel à 3% du PIB) et ainsi mieux rembourser les banques… Ces mêmes banques que le gouvernement Sarkozy a renfloué (toujours avec vos impôts) sans contreparties, lors de la crise de 2008 !
La boucle est bouclée…

L’Etat avait alors apporté sa garantie aux banques pour leur permettre d’emprunter sur les marchés, mais sans entrer au capital de ces banques (comme l’avait fait Barack Obama) ce qui lui aurait permis d’avoir la main sur les orientations financières, d’orienter le financement des banques sur le développement économique et la relance de l’activité, plutôt que de choisir la spéculation financière qui, elle, ne crée pas d’activté…

Savez-vous que l’ensemble de l’impôt sur le revenu (donc votre argent) suffit tout juste à payer les intérêts de la dette qui est un des premiers budgets de la nation ?

Quelle pourrait-être la solution qui permettrait d’améliorer les conditions de vie du Peuple ?

Dans un rapport publié en 2013 par le think tank Génération Libre, il était proposé un moratoire de trois ans sur les taux d’intérêts : il suffirait que le Parlement vote l’introduction de Cacs (clauses d’action collective) dans les contrats obligataires pour que le gouvernement puisse ouvrir les pourparlers avec les détenteurs d’obligations, dont la perte réelle ne devrait pas dépasser 10 %. Pour être efficace et avoir une chance d’être accepté par le marché, il va sans dire que ce moratoire devrait s’accompagner d’un choc de libéralisation sans précédent, selon la logique du «payer pour réformer» (rachat des rentes). La charge d’intérêt «économisée», soit environ 170 milliards d’euros, serait donc consacrée au financement des réformes structurelles qu’aucun gouvernement n’a été capable de mettre en œuvre depuis trente ans. C’est la recette classique qui si souvent fut mise en œuvre pour les pays en voie de développement par… le Club de Paris !

Emmanuel Macron, chargé de mission des banques, infiltré dans le gouvernement Hollande-Valls, ministre de l’économie, porte largement sa part de responsabilités passées, aujourd’hui il les renie, mais il ne change pas de cap.
Le rêve est d’ores et déjà terni. Pour financer l’effort national qu’Emmanuel Macron nous imposera pour mener à bien son projet, les Communes et l’Education Populaire sont les premières variables d’ajustement budgétaire.
A suivre…

Si j’étais le gynécologue de la planète, je lui ligaturerais les Trump !

 

Hervé Féron, pensées le 17/08/2017.

Si j’étais le gynécologue de la planète, je lui ligaturerais les Trump !

 

Hervé Féron, pensées le 17/08/2017.

En 2002, le Grand Nancy avait déposé un permis de construire pour des travaux de rénovation importants au Stade Marcel Picot. Dans ce permis de construire étaient prévus également des aménagements fonctionnels et esthétiques sur les extérieurs : des clôtures, un parvis qualitatif pour le différencier du trottoir devant les entrées principales,…

Mais surprise, lorsque les travaux ont été terminés, ces éléments qualitatifs extérieurs n’avaient pas été pris en compte. J’avais pourtant posé la question au Président du Grand Nancy par écrit, puis oralement en Conseil de Communauté Urbaine. Mais j’avais été remballé, comme toujours, le Président avait même précisé à l’époque que ces travaux avaient coûté suffisamment cher… L’engagement pris dans le cadre de ce permis de construire n’avait donc pas été tenu une fois de plus. L’avis du maire de la commune concernée n’était pas pris en considération comme d’habitude. . Et comme toujours la presse locale n’en avait pas dit un mot…
La vérité, c’est que les promesses prises à travers ce permis de construire prévoyait un traitement qualitatif, estimé ensuite par ces gens-là, trop beau pour Tomblaine.
Comme je ne voulais pas m’engager dans un nouveau combat inutile et bloquer la situation, j’avais accepté de signer le Certificat de Conformité pour ce permis, bien qu’il ne soit pas complètement finalisé.

Depuis 2002, je n’ai eu cesse de demander que les abords du stade soient améliorés. Il fallait démonter ces affreuses cahutes rouges qui ne servaient plus depuis longtemps au club et qui étaient source d’insécurité. Les horribles grilles donnaient l’impression de parquer les spectateurs comme dans un univers carcéral. Les soirs de matches, elles n’étaient pas un gage de sécurité, mais au contraire leur aspect inhospitalier participaient à créer un climat de tension. Le reste de la semaine, ces grilles servaient surtout à retenir les papiers et ordures diverses qui volaient au vent et venaient s’agglutiner à leur pied… Bonjour tristesse.

Je n’ai jamais cessé de demander ces aménagements qualitatifs, car je pense qu’un stade doit être un cadre apaisé et apaisant. Sans être entendu. L’ASNL exprimait également les mêmes demandes.

… Et voilà que quinze ans plus tard, le Président du Grand Nancy a entendu ma demande (peut-être pour s’assurer que le maire de Tomblaine faciliterait les travaux dus au changement de la pelouse, travaux qui ont généré tout l’été des nuisances subies par les riverains Tomblainois…). 
Les services du Grand Nancy ont très bien travaillé dans un temps record aussi contraint que l’enveloppe financière. Le projet a été concerté avec le club et les services de police pour apporter plus de sécurité à l’accueil des supporters nancéiens, comme des supporters des clubs visiteurs.

Et cette fois-ci, je dois reconnaître que j’ai été complètement associé au projet et au choix de la nouvelle clôture. Le résultat est celui que j’avais souhaité : des panneaux gris-blancs, métalliques pour la sécurité, disposés avec des claires-voies. Chacun de ces panneaux est perforé de multiples petits trous représentant en motif le Chardon Lorrain, emblème de la Lorraine et aussi de l’AS Nancy-Lorraine. Les cahutes rouges, moches et inutiles ont disparu. Cela vaut le coup d’être persévérant !

Devant l’entrée 2 du stade, ce n’est pas le traitement qualitatif qui avait été annoncé en 2002, mais ils ont réussi tout de même à réaliser dans la petite enveloppe financière un enrobé bitumeux rouge qui marque l’entrée de façon plus esthétique…

Les grilles de la rue Jean Moulin sont donc déjà oubliées, et c’est heureux sur une rue aussi passante qui mène à la cité scolaire fréquentée quotidiennement par 3000 élèves… Mais, n’oublions pas que le Président du Grand Nancy a accepté ces travaux en 2017 pour la rue Jean Moulin seulement, en annonçant que les grilles de la rue Louis Barthou seraient, elles, remplacées en 2018. 


 rue Louis Barthou : image misérabiliste

En attendant cela permet de faire la comparaison entre l’avant et l’après, mais espérons qu’il ne faudra pas attendre quinze ans de plus pour que la promesse soit tenue !

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