Mercredi 13 décembre à 18 h à l’Espace Jean Jaurès à Tomblaine, la nouvelle salle de boxe sera dénommée
« salle René Cordier » en hommage à ce grand entraineur qui a formé tant de champions et qui y a travaillé en
atelier comme ajusteur-tourneur, pendant plusieurs années, au temps où l’Espace Jean Jaurès était une usine,
l’usine Bouyer (où l’on fabriquait des motoculteurs Bouyer).
Il y aura de l’émotion, mais aussi de belles surprises qu’on ne peut pas dévoiler à l’avance… Venez nombreux,
si vous êtes de nos amis, vous y êtes cordialement invités !
Mois : décembre 2017 (Page 11 de 16)
Mercredi 13 décembre à 18 h à l’Espace Jean Jaurès à Tomblaine, la nouvelle salle de boxe sera dénommée
« salle René Cordier » en hommage à ce grand entraineur qui a formé tant de champions et qui y a travaillé en
atelier comme ajusteur-tourneur, pendant plusieurs années, au temps où l’Espace Jean Jaurès était une usine,
l’usine Bouyer (où l’on fabriquait des motoculteurs Bouyer).
Il y aura de l’émotion, mais aussi de belles surprises qu’on ne peut pas dévoiler à l’avance… Venez nombreux,
si vous êtes de nos amis, vous y êtes cordialement invités !
Le Conseil Municipal de Tomblaine a duré plus de deux heures et tout a été voté à l’unanimité.
Avant d’ouvrir la séance, j’ai présenté, avec à l’appui un power point, le projet de
réalisation des 36 logements Batigère avenue de la Paix et boulevard Barbusse. Ce projet
avait été déjà présenté au Conseil très en amont, c’était là un point d’information pour ce
projet qui est en cours. Le journaliste n’en a pas parlé.
Excellent climat, pas de problème.
Si vous lisez encore l’Est Républicain, vous pouvez croire que cela s’est passé différemment.
Le journaliste est arrivé très en retard, il est reparti en avance.
Il sous-titre : « un conseil municipal dense qui a vu s’opposer deux conceptions opposées sur
le travail du dimanche » (sic ! « s’opposer deux conceptions opposées » c’est tout un style ! Chez
ces gens-là, on n’a pas peur des répétitions ou des fautes de style !)
La réalité, c’est qu’une conseillère municipale qui détenait un pouvoir a souhaité s’abstenir (et
non pas s’opposer, c’est donc un mensonge de plus que d’écrire cela) sur le sujet de l’ouverture
d’Auchan le dimanche. Je lui ai donné mon avis, cela n’a pas duré plus de deux minutes sur les
deux heures de Conseil Municipal. Cette délibération a été votée à l’unanimité.
Mais le besogneux journaliste commente quand même »une position qui a irrité le maire… »
Le Conseil Municipal est le lieu où l’on peut débattre, si on ne peut plus donner un avis sans que la presse
vous dise « irrité », il faut supprimer les Conseils Municipaux et il faut que le correspondant local écrive à
l’avance les compte-rendus des Conseils (comme cela se pratique à chaque Conseil de Métropole…).
Je n’étais pas irrité, ce qui m’irrite ce sont les journalistes qui se servent de notre actualité très dense, pour
vivre et tenter de vendre leur journal, mais qui la rapportent à leur façon en étant mal intentionnés.
Ce sont ceux qui sont absents pendant les débats, ceux qui ne comprennent pas, ceux qui boycottent
certains acteurs de la vie publique,… C’est vrai ces méthodes m’irritent et vous êtes nombreux à me témoigner
que vous pensez comme moi à ce sujet.
Il est temps qu’un Conseil Supérieur de la Déontologie Journalistique soit créé dans ce pays pour tenter de
sauver la PQR, mais surtout pour tenter de sauver la démocratie et la pluralité de l’information.