Agir pour vous et avec vous

Jour : 11 juin 2020

Vous observez l’arrivée de vélos dans les massifs de fleurs à Tomblaine… 

C’est parce que la Commune se prépare à accueillir la Mirabelle Classic !  
Le 11 octobre prochain, la Ville de Tomblaine sera Village départ de la 
Mirabelle Classic, une course cycliste nationale féminine. 
C’est un grand évènement !

Le rendez-vous sera donné dès 8h30 sur la Place des Arts, devant l’Espace 
Jean Jaurès, pour un grand moment festif (village départ, concerts, présentation 
des équipes sur écran géant, challenges).
Deux courses exclusivement féminines seront disputées ce jour afin de vivre 
une journée du cyclisme « 100% filles », en présence de Miss Lorraine 2019 
ainsi que la Responsable du cyclisme féminin Marie Françoise Potereau. Les 
coureuses s’élanceront de la Place des Arts à 11h pour une arrivée prévue au 
centre-ville de Damelevières à 13h30. 
Les deux courses partiront avec 2 minutes d’intervalle : la première est inscrite 
au calendrier en élite nationale de 112km pour les 1ères, 2èmes et 3èmes catégories 
et la seconde pour toutes les autres de 56km. 
Les championnes du Grand Est des années 80/90 seront aussi là pour l’événement.

 

 

Vous observez l’arrivée de vélos dans les massifs de fleurs à Tomblaine… 

C’est parce que la Commune se prépare à accueillir la Mirabelle Classic !  
Le 11 octobre prochain, la Ville de Tomblaine sera Village départ de la 
Mirabelle Classic, une course cycliste nationale féminine. 
C’est un grand évènement !

Le rendez-vous sera donné dès 8h30 sur la Place des Arts, devant l’Espace 
Jean Jaurès, pour un grand moment festif (village départ, concerts, présentation 
des équipes sur écran géant, challenges).
Deux courses exclusivement féminines seront disputées ce jour afin de vivre 
une journée du cyclisme « 100% filles », en présence de Miss Lorraine 2019 
ainsi que la Responsable du cyclisme féminin Marie Françoise Potereau. Les 
coureuses s’élanceront de la Place des Arts à 11h pour une arrivée prévue au 
centre-ville de Damelevières à 13h30. 
Les deux courses partiront avec 2 minutes d’intervalle : la première est inscrite 
au calendrier en élite nationale de 112km pour les 1ères, 2èmes et 3èmes catégories 
et la seconde pour toutes les autres de 56km. 
Les championnes du Grand Est des années 80/90 seront aussi là pour l’événement.

 

 

« Votre nom restera associé à l’histoire de la presse, comme un général Nivelle, chamarré d’incompétence, précipitant des centaines de familles dans la précarité. Vous resterez le député Garcia, fossoyeur de la presse écrite. »
Voilà ce qu’écrivent les travailleurs de la SAD de Jarville et les retraités de Presstalis !
 
Laurent Garcia, on le sait, n’est ni très présent, ni très actif à l’Assemblée. Mais il s‘est vu confier un rapport « dont il n’aurait pas imaginé les conséquences »…
Pour les personnes qui ne connaissent pas le sujet, en quelques mots, la Loi Bichet a été instituée en 1947, après guerre, comme beaucoup de grandes conquêtes sociales, pour garantir le pluralisme et l’accès démocratique à l’information. Et bien, le petit député Meurthe et Mosellan, Rapporteur de la Loi de modernisation de la distribution de la presse (comme tout cela est bien dit, en termes choisis, aurait dit Harpagon !), vient d’organiser à lui tout seul le démantèlement de la filière… Résultat 518 licenciés en France, mais avec 80000 emplois du rédacteur au vendeur de journaux, les dégâts collatéraux vont être encore plus terribles.
Prestallis, la maison mère est en redressement judiciaire et les filières sont liquidées…
A Jarville, ce sont 14 titulaires et 7 intérimaires, qui travaillaient le jour, la nuit, les dimanches, les jours fériés… On les jette ! Ajoutez les 25 chauffeurs qui desservaient les 400 points de vente autour de Nancy, Epinal, Chaumont, St Dizier, les 28 employés de l’imprimerie à Jarville avec qui travaillait la SAD… Voilà pourquoi on parle de démantèlement de la filière. Depuis plus d’un mois de nombreux marchands n’ont plus de quotidiens nationaux à vendre.
 
Et, cerise sur le gâteaux, les 14 employés de la SAD de Jarville ont reçu leur lettre de licenciement le 5 juin, alors que les repreneurs de l’activité n’ont pas encore été choisis… Ce qui fait qu’ils n’auront pas l’obligation de reprendre ces salariés. Le procédé est pervers, mais efficace ! Un scandale, dont vous n’avez certainement pas entendu parler, c’est l’omerta dans ce pays…
 
Avec le sénateur Olivier Jacquin, nous avons demandé hier une rencontre avec monsieur le Préfet de Meurthe et Moselle à ce sujet. Monsieur le Préfet a écouté avec la plus grande attention et va tenter de faire remonter au plus haut niveau qu’il faut que l’Etat pèse de tout son poids pour que les repreneurs de l’activité reprennent également les salariés et au même statut (ce ne sont pas des salaires mirobolants pour une grande pénibilité). Au moins, on aura essayé de faire quelque chose.
 
Olivier Jacquin, le représentant du personnel de la SAD et moi-même avons exprimé ce souhait à monsieur le Préfet…
 
Ah oui, j’oubliais… la droite avait été également invitée. Le Maire de Jarville JP Hurpeau est intervenu pour se plaindre … d’avoir appris tout cela par la presse ! (On se serait cru dans une cour de récréation d’école maternelle). L. Garcia est intervenu au début pour tenter d’exister et montrer qu’il connaissait le sujet (et pour cause), mais il n’a défendu aucune proposition pour sauver les salariés qu’il a même oublié de citer dans son intervention ! Puis, il a dû partir en cours de réunion pour aller à l’Assemblée…
L. Binsinger, conseiller départemental du canton de Jarville, est intervenu… pour dire que des liquidations il y en avait toutes les semaines ! Et l’adjoint au maire de Jarville a demandé la parole pour s’étonner que n’aient pas été invités deux acteurs économiques essentiels… la Métropole du grand Nancy et la Région Grand Est… Un cauchemar ! Cette droite là est médiocre, cynique et incompétente.
 
Je voulais vous donner ces informations, faites circuler, partagez sur les réseaux sociaux qui sont aujourd’hui ce qu’était le maquis pour la Résistance, à l’époque où la plus grande partie du patronat de la presse collaborait avec l’occupant… mais cela c’était avant la Loi Bichet de 1947…
 
 
 
« Votre nom restera associé à l’histoire de la presse, comme un général Nivelle, chamarré d’incompétence, précipitant des centaines de familles dans la précarité. Vous resterez le député Garcia, fossoyeur de la presse écrite. »
Voilà ce qu’écrivent les travailleurs de la SAD de Jarville et les retraités de Presstalis !
 
Laurent Garcia, on le sait, n’est ni très présent, ni très actif à l’Assemblée. Mais il s‘est vu confier un rapport « dont il n’aurait pas imaginé les conséquences »…
Pour les personnes qui ne connaissent pas le sujet, en quelques mots, la Loi Bichet a été instituée en 1947, après guerre, comme beaucoup de grandes conquêtes sociales, pour garantir le pluralisme et l’accès démocratique à l’information. Et bien, le petit député Meurthe et Mosellan, Rapporteur de la Loi de modernisation de la distribution de la presse (comme tout cela est bien dit, en termes choisis, aurait dit Harpagon !), vient d’organiser à lui tout seul le démantèlement de la filière… Résultat 518 licenciés en France, mais avec 80000 emplois du rédacteur au vendeur de journaux, les dégâts collatéraux vont être encore plus terribles.
Prestallis, la maison mère est en redressement judiciaire et les filières sont liquidées…
A Jarville, ce sont 14 titulaires et 7 intérimaires, qui travaillaient le jour, la nuit, les dimanches, les jours fériés… On les jette ! Ajoutez les 25 chauffeurs qui desservaient les 400 points de vente autour de Nancy, Epinal, Chaumont, St Dizier, les 28 employés de l’imprimerie à Jarville avec qui travaillait la SAD… Voilà pourquoi on parle de démantèlement de la filière. Depuis plus d’un mois de nombreux marchands n’ont plus de quotidiens nationaux à vendre.
 
Et, cerise sur le gâteaux, les 14 employés de la SAD de Jarville ont reçu leur lettre de licenciement le 5 juin, alors que les repreneurs de l’activité n’ont pas encore été choisis… Ce qui fait qu’ils n’auront pas l’obligation de reprendre ces salariés. Le procédé est pervers, mais efficace ! Un scandale, dont vous n’avez certainement pas entendu parler, c’est l’omerta dans ce pays…
 
Avec le sénateur Olivier Jacquin, nous avons demandé hier une rencontre avec monsieur le Préfet de Meurthe et Moselle à ce sujet. Monsieur le Préfet a écouté avec la plus grande attention et va tenter de faire remonter au plus haut niveau qu’il faut que l’Etat pèse de tout son poids pour que les repreneurs de l’activité reprennent également les salariés et au même statut (ce ne sont pas des salaires mirobolants pour une grande pénibilité). Au moins, on aura essayé de faire quelque chose.
 
Olivier Jacquin, le représentant du personnel de la SAD et moi-même avons exprimé ce souhait à monsieur le Préfet…
 
Ah oui, j’oubliais… la droite avait été également invitée. Le Maire de Jarville JP Hurpeau est intervenu pour se plaindre … d’avoir appris tout cela par la presse ! (On se serait cru dans une cour de récréation d’école maternelle). L. Garcia est intervenu au début pour tenter d’exister et montrer qu’il connaissait le sujet (et pour cause), mais il n’a défendu aucune proposition pour sauver les salariés qu’il a même oublié de citer dans son intervention ! Puis, il a dû partir en cours de réunion pour aller à l’Assemblée…
L. Binsinger, conseiller départemental du canton de Jarville, est intervenu… pour dire que des liquidations il y en avait toutes les semaines ! Et l’adjoint au maire de Jarville a demandé la parole pour s’étonner que n’aient pas été invités deux acteurs économiques essentiels… la Métropole du grand Nancy et la Région Grand Est… Un cauchemar ! Cette droite là est médiocre, cynique et incompétente.
 
Je voulais vous donner ces informations, faites circuler, partagez sur les réseaux sociaux qui sont aujourd’hui ce qu’était le maquis pour la Résistance, à l’époque où la plus grande partie du patronat de la presse collaborait avec l’occupant… mais cela c’était avant la Loi Bichet de 1947…