Agir pour vous et avec vous

Mois : décembre 2021 (Page 9 de 19)

Il est très pressé, car il est en tournée, il s’arrête à peine pour prendre des photos
à distance… Le Père Noël est accompagné de la Mère Noël, ils sont motards, car le
renne du Père Noël était un peu fatigué. Ils font cette semaine le tour des écoles de
Tomblaine, aujourd’hui, c’était l’école Jules Ferry !
Mireille Jacquot et Gérard Philippe nous disaient d’ailleurs « sacré Père Noël ! Ils nous
étonnera toujours ! »
 
En juin dernier, lors du championnat d’Europe de football, en plein match, un joueur Danois Christian ERIKSEN s’est effondré sur la pelouse, victime d’un malaise cardiaque. Pris en charge immédiatement par ses coéquipiers, puis par une équipe médicale qui ont su lui porter les gestes justes, Christian ERIKSEN a été sauvé. Le monde entier a été bouleversé par ces images.
La ville de Tomblaine s’est engagée depuis de nombreuses années dans l’achat de défibrillateurs et dans la formation aux utilisateurs potentiels.
Chaque fois que cela se justifie, nous avons doté nos bâtiments publics de défibrillateurs.
Pour ce qui concerne le club de footbal local, le GSAT, il nous a semblé qu’une nouvelle formation serait nécessaire, y compris pour des personnes déjà formées il y a quelques années. Le club se modernise, progresse sur le plan sportif comme au niveau des équipements mis à disposition par la commune. Plus que jamais, il faut penser à la sécurité des personnes. C’est pourquoi, nous avons proposé aux dirigeants du club et aux joueurs séniors ou vétérans qui le souhaitaient, une formation gratuite qui aura lieu Dimanche 19 décembre 2021 de 10h00 à 13h00 à l’espace Jean Jaurès.
Vingt membres du GSAT se sont engagés et nous les remercions. C’est à nouveau un beau partenariat dans l’organisation entre la ville de Tomblaine
et le club, représenté par sa Présidente Hinde MAGADA.
Cette formation sera encadrée bénévolement par Ralph LALLEMAND, conseiller municipal, formateur SST et PSC1 et par Chloé LALLEMAND, formatrice PSC1. Il s’agit en fait d’une formation « aux gestes qui sauvent ». Seront abordés les cas :
– étouffement,
– fracture,
– saignements,
– utilisation du défibrillateur,
– massage cardiaque,
– malaise cardiaque,
– analyse de la victime.
 
En juin dernier, lors du championnat d’Europe de football, en plein match, un joueur Danois Christian ERIKSEN s’est effondré sur la pelouse, victime d’un malaise cardiaque. Pris en charge immédiatement par ses coéquipiers, puis par une équipe médicale qui ont su lui porter les gestes justes, Christian ERIKSEN a été sauvé. Le monde entier a été bouleversé par ces images.
La ville de Tomblaine s’est engagée depuis de nombreuses années dans l’achat de défibrillateurs et dans la formation aux utilisateurs potentiels.
Chaque fois que cela se justifie, nous avons doté nos bâtiments publics de défibrillateurs.
Pour ce qui concerne le club de footbal local, le GSAT, il nous a semblé qu’une nouvelle formation serait nécessaire, y compris pour des personnes déjà formées il y a quelques années. Le club se modernise, progresse sur le plan sportif comme au niveau des équipements mis à disposition par la commune. Plus que jamais, il faut penser à la sécurité des personnes. C’est pourquoi, nous avons proposé aux dirigeants du club et aux joueurs séniors ou vétérans qui le souhaitaient, une formation gratuite qui aura lieu Dimanche 19 décembre 2021 de 10h00 à 13h00 à l’espace Jean Jaurès.
Vingt membres du GSAT se sont engagés et nous les remercions. C’est à nouveau un beau partenariat dans l’organisation entre la ville de Tomblaine
et le club, représenté par sa Présidente Hinde MAGADA.
Cette formation sera encadrée bénévolement par Ralph LALLEMAND, conseiller municipal, formateur SST et PSC1 et par Chloé LALLEMAND, formatrice PSC1. Il s’agit en fait d’une formation « aux gestes qui sauvent ». Seront abordés les cas :
– étouffement,
– fracture,
– saignements,
– utilisation du défibrillateur,
– massage cardiaque,
– malaise cardiaque,
– analyse de la victime.
 
Il fallait en avoir du courage pour assumer, en tant que femme, les fonctions de Maire, en milieu rural, tout en exploitant sa ferme et en élevant ses 5 enfants. Paule Durand nous a quittés, à l’âge de 94 ans.
Elle avait été maire du village de Gellenoncourt pendant 31 ans. J’ai tellement de souvenirs qui me reviennent en mémoire. Paule était déterminée, elle ne reculait pas face à l’adversité, son village, elle le défendait.
Lorsque je me suis présenté pour la première fois aux élections cantonales, sur les 12 communes qui formaient le canton de Tomblaine, seuls deux maires avaient eu le courage de me soutenir : Job Durupt et Paule Durand. A l’époque, j’étais jeune et je n’avais pas beaucoup de chance d’être élu. J’ai gagné, grâce à eux. On est toujours resté amis et solidaires avec Paule, partageant quelques complicités. Son mari, Gilbert, agriculteur, était un passionné de boxe, premier supporter d’Anne-Sophie Mathis, à l’époque championne du monde et Tomblainoise. Ce qui nous rapprochait encore un peu plus.
Lorsqu’une fois par an , la réunion annuelle des Maires du canton se concluait par un repas convivial. Le Préfet de Meurthe et Moselle présidait la réunion, puis le repas. Paule, seule femme maire, était assise à côté de monsieur le Préfet et moi, Conseiller Général, j’étais positionné juste en face…
Paule était aussi facétieuse et connaissait bien ma terrible addiction pour le chocolat au lait. Je me souviens, qu’en plein repas, elle me donnait un petit coup de pied dans le tibia, elle me faisait un clin d’œil complice et elle me glissait sous la table une plaque complète de chocolat au lait ! Elle aurait pu me la donner à un autre moment, mais c’était tellement plus drôle de faire ça, à l’insu du Préfet, en ce moment protocolaire !
Quand elle n’a plus été maire, même lorsqu’elle était en maison de retraite, il n’est pas rare qu’au moment de Noël ou de Pâques, Paule me fasse passer une plaque de chocolat au lait, ou même un St Nicolas en chocolat au lait, comme on en offrirait à un enfant ! Chaque fois j’étais ému et chaque fois cela me faisait rire, c’était notre complicité qui durait. Je revois encore ses petits yeux bleus qui pétillaient, elle avait de l’humour, de la force, du caractère. Une belle personne. Je présente mes sincères condoléances à ses enfants et ses petits enfants.
 
Il fallait en avoir du courage pour assumer, en tant que femme, les fonctions de Maire, en milieu rural, tout en exploitant sa ferme et en élevant ses 5 enfants. Paule Durand nous a quittés, à l’âge de 94 ans.
Elle avait été maire du village de Gellenoncourt pendant 31 ans. J’ai tellement de souvenirs qui me reviennent en mémoire. Paule était déterminée, elle ne reculait pas face à l’adversité, son village, elle le défendait.
Lorsque je me suis présenté pour la première fois aux élections cantonales, sur les 12 communes qui formaient le canton de Tomblaine, seuls deux maires avaient eu le courage de me soutenir : Job Durupt et Paule Durand. A l’époque, j’étais jeune et je n’avais pas beaucoup de chance d’être élu. J’ai gagné, grâce à eux. On est toujours resté amis et solidaires avec Paule, partageant quelques complicités. Son mari, Gilbert, agriculteur, était un passionné de boxe, premier supporter d’Anne-Sophie Mathis, à l’époque championne du monde et Tomblainoise. Ce qui nous rapprochait encore un peu plus.
Lorsqu’une fois par an , la réunion annuelle des Maires du canton se concluait par un repas convivial. Le Préfet de Meurthe et Moselle présidait la réunion, puis le repas. Paule, seule femme maire, était assise à côté de monsieur le Préfet et moi, Conseiller Général, j’étais positionné juste en face…
Paule était aussi facétieuse et connaissait bien ma terrible addiction pour le chocolat au lait. Je me souviens, qu’en plein repas, elle me donnait un petit coup de pied dans le tibia, elle me faisait un clin d’œil complice et elle me glissait sous la table une plaque complète de chocolat au lait ! Elle aurait pu me la donner à un autre moment, mais c’était tellement plus drôle de faire ça, à l’insu du Préfet, en ce moment protocolaire !
Quand elle n’a plus été maire, même lorsqu’elle était en maison de retraite, il n’est pas rare qu’au moment de Noël ou de Pâques, Paule me fasse passer une plaque de chocolat au lait, ou même un St Nicolas en chocolat au lait, comme on en offrirait à un enfant ! Chaque fois j’étais ému et chaque fois cela me faisait rire, c’était notre complicité qui durait. Je revois encore ses petits yeux bleus qui pétillaient, elle avait de l’humour, de la force, du caractère. Une belle personne. Je présente mes sincères condoléances à ses enfants et ses petits enfants.
 
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