A quoi servent les député(e)s La République En Marche ? Les as de la bourde…
Jean-Michel Clément, qui pour l’instant n’a rien fait, se justifie :
« De toute manière, il n’y a pas beaucoup d’intérêt à siéger dans cette majorité pléthorique, où on nous impose un devoir de silence »Pour Mireille Robert, députée de l’Aude, c’est la fête! :
« Depuis que je suis députée, je suis allée à des cocktails et des cocktails
chez des ministres et dans de beaux endroits. Ce que j’apprécie, c’est qu’on nous sert essentiellement du vin et du champagne »Que dire de Claire O’Petit qui se permet d’ironiser sur la perte de 5 euros d’APL pour des milliers d’étudiants !
« On a un groupe qui dort, qui ne sait pas monter au créneau, qui est vautré. (…)
On a une responsable de texte qui est inexistante, c’est comme si elle était à Nouméa sur une chaise longue »,
a soufflé la présidente LREM de la commission des Lois en pleine séance, sans se rendre compte que son micro était allumé.Olivia Grégoire : « Je ne suis pas contre la justice sociale, ma grand-mère était couturière. »
Une saillie qui est à la lutte des classes ce que l’argument « j’ai un ami noir » est au racisme.Ce gouvernement fossoyeur du droit travail et au service des plus riches a besoin
d’un groupe de député(e)s godillots capables d’applaudir le premier ministre 55 fois en 1 heure de discours.Muriel Pénicaud, ministre du travail (!!), ancienne DGRH chez Danone
s’est enrichie d’un million d’euros en une journée grâce aux 900 licenciements qu’elle a organisé.Laurent Pietraczewski est rapporteur du projet de loi « renforcement du dialogue social » (re- !!).
Ancien DRH chez Auchan, il s’est illustré en 2002 avec la mise à pied d’une employée pour une erreur de 80 cents.Et pour finir sur Laurent Garcia, très peu présent dans l’hémicycle de tout l’été, aucune prise de parole.
A peine élu grâce à l’étiquette En Marche, il s’est déjà démarqué de Macron sur sa circonscription.
Quand il est interpellé à Vandoeuvre, pour se défiler, il répond « je n’ai jamais choisi Macron,
c’est Macron qui m’a choisi »… vous avez dit « usurpateur » ?